Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 La confiance de la famille modèle [PV Light]

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MessageSujet: La confiance de la famille modèle [PV Light]   La confiance de la famille modèle [PV Light] EmptyMer 22 Oct - 11:55

Billie n'était pas encore rentrée depuis l'explosion qui avait provoqué la mort de tant de personnes, dont Beyond. Sayu se préparait à accueillir Apollo dans l'appartement. Elle avait tout rangé, du moins suffisamment pour que ce ne soit pas le bazar mais pas assez pour que ce soit trop carré et qu'elle ne soit pas à son aise. Voila, maintenant, il ne manquait plus que les courses. Oui parce que la pauvrette, si elle arrivait et qu'il n'y avait rien à manger, ce serait bien embêtant. La rouquine regarda sa montre. 19H. Elle avait encore un petit temps avant que le supermarché ne ferme. Enthousiasme comme à son habitude, elle se dépêcha de mettre ses chaussures, jambes en l'air, allongée sur le canapé. Puis elle se redressa, attrapant sa veste et le double des clés avant de partir en courant dans les escaliers, faisant claquer ses talons et protester les voisins.

La jeune fille courrait à toute allure dans les rues, sans se fatiguer avant d'arriver au supermarché. Bon c'était bien gentil, mais qu'est-ce qu'elle mangeait Apollo ? Des légumes ? Non non, il faut qu'elle reprenne des forces, pas de légumes, de la bonne viande c'est mieux. Beaucoup de nouilles, et beaucoup de riz, c'est consistant ! Au rayon poissonnerie, Sayu regarda les langoustes et écouta malgré elle les cries de l'enfant à côté d'elle qui hurlait que « les langoustes, c'est moche ». Prit d'une impulsion, elle en attrapa une avant de poursuivre l'enfant avec … Et de se faire engueuler par les parents du petit ainsi que par le commerçant. Rolalala si plus personne n'a de sens de l'humour, où va le monde. Elle joignit ses mains en signe de paix et s'inclina légèrement.

« Avé Kira. »

Loin d'apaiser les tensions, c'était clairement de foutage de tête et Sayu prit rapidement la fuite. Elle quitta le magasin avec son sac de course. Fiouu quelle aventure ! Levant les yeux au ciel, elle prit le chemin du retour, maintenant plus calme. Non loin de chez Billie, elle entendit des bruits de pas derrière elle. Fronçant d'abord les sourcils, elle hâta le pas, et remarqua que la personne derrière en faisait de même. Et merde ! Au détour d'une ruelle, Sayu se plaqua contre le mur, et sortit son taser de la poche intérieur de sa veste. Elle avait apprit à ne jamais sortir sans. Est-ce que quelqu'un l'avait reconnu ? La police de Kira ? Un membre de la Résistance ? Elle ne pouvait pas donner un coup de taser à l'aveuglette sans connaître son adversaire. Posant son sac de course derrière une poubelle, elle grimpa avec agilité sur le toit d'une maison basse et se coucha dessus pour être dissimulée au maximum. C'est alors qu'elle vit trois personnes s'engager dans la ruelle et s'arrêter pour regarder autour d'eux. En vue de leurs vêtements et de leur attitude, c'était clairement des mafieux. C'est quoi ça ? L'équipe de Mello ? Petit c*n!! Il avait donné sa parole de la laisser tranquille ! A moins qu'ils agissaient sans les ordres du blond ? Peu probable, comment est-ce qu'ils auraient connu son existence ? Est-ce qu'ils avaient été présent lors de l'assassinat de la fausse Sayu ? La rouquine sentit la couleur la gagner et sans prévenir, elle se redressa pour sauter du toit. Atterrissant sur le dos d'une des mafieux, elle lui donna un coup de taser contre le torse. L'homme gigotait puis tomba inerte sur le sol. Sayu se redressa et leva son taser en signe de menace.

« Vous feriez mieux de reculer !!! »

Malheureusement les deux autres ne montraient aucun signe de peur. Après tout, ils ont l'habitude de ce genre de situation. Un deux s'approcha en ricanant avant de prendre la parole avec mépris.

« Sayu Yagami toujours en vie. Décidément tu ne veux vraiment pas crever. Désolé ma petite, ce n'est pas contre toi, mais tu es la sœur de Kira, on ne peut pas te laisser en vie. »

Il sortit son poignard et lécha la lame, alors que Sayu reculait de quelques pas, se retrouvant rapidement contre le mur. Elle n'avait plus l'arme de son père, seulement ce taser qu'elle gardait serrer contre elle. Bon sang Matt, je croyais que tu t'occupais de tout. Qu'est-ce qu'elle aurait donné pour voir le rouquin apparaître au bout de la ruelle, clope au bec. Mais non, rien de tout ça. Matt ne pouvait être au courant de ce qui était en train de se passer. Les deux hommes s'approchèrent.

***

Sayu ouvrit ses yeux avec difficulté, les refermant rapidement. Elle renouvela la tentative plusieurs fois pour s'habituer à la lumière du jour. Tournant la tête sur la gauche, elle vit l'horloge indiquer 9H13. C'est le matin. … Minute. Elle ne connaissait pas cette horloge. Ni ce mur d'ailleurs. Elle regarda autour d'elle et compris rapidement qu'elle se trouvait dans une chambre d'hôpital. Une chambre impersonnelle aux murs blancs, un lit une place assez simple, et une table de chevet avec un vase sans aucune fleurs. Et l'odeur … L'odeur de l'hôpital. Qu'est-ce qu'elle fait ici ? Sayu essaya de se redresser et tout son corps endolori la fit pousser un crie de douleur. Ce qui ravira rapidement ses souvenirs. Elle s'était fait enlever. Des mafieux … Le blond … Son nom … Melli … Non  … Mello …. Ils voulaient tendre un piège à Papa … C'est ce qu'elle avait compris dans la discussion. Elle s'était certainement évanouie. Mais se réveiller ici était quelque part rassurant, cela voulait dire que Papa et Light l'ont délivré. Evidemment. Elle n'en attendait pas moins d'eux. Elle grimaça, enleva rapidement les tubes qui la gênait puis se releva en gémissant de douleur. Mon dieu, ce que ça fait mal. Allez courage ! Elle se déplaça dans la pièce en boitant légèrement avant d'ouvrir le placard qui refermait ses vêtements. Fouillant dans sa poche, elle attrapa un miroir et retourna s'asseoir sur le lit. Elle hésita avant de regarder les dégâts. Ses lèvres étaient fendues, laissant une traînée de sang, idem à l'arcade. Elle avait un bleu au visage et grimaça en posant un doigt dessus. Et autour de ses cheveux … roux ? … un bandage était maintenu, virant sur une couleur vermeille au niveau du front.  Puis elle baissa la tête et releva la blouse blanche pour grimacer à la vue de toutes les ecchymoses sur son corps et des plaies qui avaient l'air d'être faites au couteau. Ses genoux étaient en sang sécher sous leur pansement et ses jambes avaient quelques bleus. Et bien dit donc, on ne l'avait pas loupé.

La jeune adulte se recoucha et patienta. Sauf que voilà, au bout d'une heure, elle en avait marre d'attendre que son frère ou son père passe la porte de la chambre. Mais où est-ce qu'ils étaient ? Sayu se releva et tituba hors de la pièce. C'est dans le couloir qu'elle entendit nettement des touches d'ordinateur, tapé à toute vitesse. Intriguée, elle ouvrit la porte de la chambre à côté de la sienne, avec lenteur et discrétion pour voir …. Un jour homme assit sur son lit, qui semblait faire quelque chose de bien sérieux sur son ordinateur portable. En vue des mèches châtains clairs qui lui tombaient au dessus des yeux, elle reconnu rapidement …..

« LIIIIIGHT !!!! »

Oubliant sa douleur, elle ouvrit brusquement la porte et voulu courir à lui. Tout son corps lui fit mal et elle perdit l'équilibre pendant sa course, essayant de se rattraper à plusieurs reprises, et boum elle tomba sur son frère, passant ses bras autour de lui, hésitant entre pleurer de douleur ou rire de joie. Elle resserra son étreinte en cachant sa tête contre son torse.

« Papa et toi, vous êtes venus me délivrer c'est ça ? J'ai gardé confiance, je savais que je pouvais croire en toi, Light ! Mais pourquoi tu travailles ici ? Tu aurais pu venir me voir quand même ! » fit-elle sur un ton offensé, sans pour autant bouger.

La présence de son frère était rassurante et maintenant, elle se sentait protégée. Oui, elle savait que tant que Light était auprès d'elle, plus rien ne lui arriverait. Elle ravala ses larmes, se forçant à cesser ses sanglots, en resserrant encore son étreinte.

« J'ai eu si peur …. »
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MessageSujet: Re: La confiance de la famille modèle [PV Light]   La confiance de la famille modèle [PV Light] EmptyLun 8 Déc - 0:05

L'estime de soi, il suffit de tourner au coin du mur pour considérer le revers. La moindre tâche est un avilissant rappel d'une méprise, une erreur de jugement qui plus que de coûter de la fierté vient remettre en cause tout une façon d’appréhender des événements cruciaux. Cette éclaboussure est d'autant plus révoltante qu'elle s'inscrit sur une toile qui à pour vocation de rester pur. Quoi de plus insupportable que de savoir qu'une fresque en réalisation est menacé dans son intégrité par un élément perturbateur.

Le premier jour, à son réveil Yagami fit un travail de mémoire pour se reconstituer les éventements qui avait eu lieu. Cimetière, sa sœur aliénée, un pansement sur son estomac.
Une fois ces faits posés, il les analysa calmement et sobrement pour anticiper ses futurs actions.

La garce !!

Il posa une main crispé sur son menton, l'index replié devant ses lèvres en pleine réflexion. Seul un plie particulièrement marqué au dessus de l'arrête de son nez indiquait sa teneur désagréable.
J'ai fait l'erreur de ne pas l'éliminer quand j'en avais l'occasion. Non. Non... La seule erreur que j'ai faite était de la penser plus raisonnée qu'elle ne l'est en réalité. Ma sœur est un outil si facilement manipulable pour l'ennemi qu'elle est capable de faire beaucoup de dégât. Pas d'elle même, non, mais comme un rocher, il suffit de lui donner l'impulsion suffisante et elle dévaste tout sur son passage.

Le commissaire ignora le dieu de la mort qui découvrait avec émerveillement et moults commentaires le matériel médical.

« Light, pourquoi il y a un nom marqué sur ta perfusion. Light, pourquoi la télé ne marche pas ? Light, crois tu que je peux subtiliser une pomme en cuisine, si on la trouve on dira qu'elle est à toi. »

Le sourcil de Yagami tiqua légèrement, troublé dans ses pensées.

Car les infirmières signent les perfusions, il faut payer pour accéder aux chaînes et il m'est interdit de manger, c'est marqué juste devant toi, Ryuuk !
Sayu, tu risque de ne plus me laisser le choix, quand je sortirai de l'hôpital, je mettrai fin à ta vie, malgré tout mes efforts pour te préserver. Tu deviens trop dangereuse, tu es imprévisible et ta vie est en constant danger avec les malfrats en qui tu accorde ta confiance, je ne peux te laisser tenter une attaque kamikaze.


« Light, oï, Light, qu'est-ce que c'est que ça ? »

Alors que le commissaire essayait de relativiser une décision difficile, le dieu de la mort ne trouvait d'autres occupation que lui montrer toute sorte d'objet insolite, allant du pyjama, au cathéter qu'il avait du voler dans une salle à côté. Le châtain soupira, et encore embrumé par ce tueur d'intellect qu'était l'anesthésiant utilisé tantôt, il prit l'initiative de ferme ses yeux quelques minutes pour se les reposer un peu.

Le lendemain,

ce fut la visite du médecin qui le réveilla, quelques questions inintéressante auxquelles ses paroles répondirent de façon monotones. Quelle souffrance c'était d'être bloqué dans un lit, en observation.
Bien que son gouvernement était tout à fait à même de continuer d'agir grâce à ses directives préventives, il n'aimait pas quitter simultanément sa position en tant que Kira et son travail de commissaire, ça lui laissait peut de marge de manœuvre et il était obligé de s'en remettre à ses ministres. Il était nécessaire de relativiser et de le voir comme un moindre mal.

A la question de sa sortie, son homologue lui répondit que rien ne pressait. Ce fut tout, et le médecin alla voir les autres patients, autres victimes de la résistance, que ce soit des citoyens servant d’étendard sanglants à des rebelles voulant manifester leur mécontentement ou des personnes désœuvré s'engageant dans cette insurrection et servant à leur insu les dessein malintentionné de conservateurs dans la ligné de L dans le meilleur des cas, de chef terroriste dans le pire.

Pourtant, tout pressait. Peu importe cette blessure, il lui fallait mettre en œuvre l'élimination de Takeru Megumi dans le mois qui arrivait. Sortir aussi tôt de l'hôpital n'était pas une possibilité, un policier n'était pas autorisé à sortir contre avis médical et si cela se faisait, il y aurait signalement et on surveillerait ses capacitées -et si il y avait bien une chose qui était dérangeante, c'était la surveillance. Le commissaire était obligé de prendre son mal en patience.

Yagami Sayu se suicide dans un lieu qu'elle seule connaît.

Non, si son corps venait à être retrouvé, ne serait ce que par hasard, ce serait un drame. La noyade, peut être... Non, le soucis était le même.

Yagami Sayu se rend dans un endroit qu'elle seule connaît et s'immole par le feu.

Cela paraissait déjà plus prudent. Il fallait encore régler quelque soucis de risque d'incendie et il pourrait se débarrasser de cet échec cuisant qu'était sa sœur. Sa propre sœur était un obstacle à la création d'un monde plus sain et plus vertueux. Light comprenait ce fait de la résistance, de cette génération suivant les pas de L... Near, Mello et autres jeunesses corruptibles, mais il était déçu de sa famille qui se laissait aveugler par un système révolu et laxiste. Sa sœur était trop simple d'esprit pour réformer sa pensée, son père n'avait jamais envisagé de s'écarter du chemin balisé de la police japonaise et sa mère ne restait du bon côté de la justice que par la protection et le soutient que lui apportait son fils.

Passer le reste de la journée alité fut difficile, et le sommeil ne vint pas. Même la nuit, Yagami fixa le plafond, les yeux ouverts et fixant un point fixe, son esprit tournant à plein régime.


Le matin arriva,

et Light put sortir. Le fait que les hôpitaux manquait de place n'y été pas pour rien. Le commissaire put rentrer chez lui en début d'après midi, avec pour consigne de revenir régulièrement pour faire des contrôles fréquents de son état de santé.

Le commissaire fit un passage dans la demeure familiale pour rassurer sa mère, et surtout pour vérifier qu'elle ne sortait pas du rang. Mais comment imaginer qu'elle puisse le faire ? Cette femme qui n'était même pas au courant que son fils avait eu un accident car elle n'avait pas décroché le téléphone. Cela faisait très longtemps qu'elle ne sortait plus de cette maison et qu'elle vivait grâce aux ressources de Light. Il avait engagé une auxiliaire de vie pour l'aider dans ses tâches quotidiennes mais avait mit toute la maison sur écoute pour ne pas risquer que sa mère ne divulgue des informations dont elle même ne pourrait comprendre la porté.

Le mort de sa fille avait porté le coup de grâce à cette femme déjà profondément éprouvée.
Light enleva ses chaussures, posa des affaires sur la table à manger et alla prier devant l'autel de Sayu et celui de son père, comme à chaque fois qu'il rentrait. Il portait le deuil de ce qu'aurait pu être sa famille si ses membres avaient été plus éclairés.

Il passa toute la journée avec l'étrange créature déphasé qui fut sa mère auparavant, pas par générosité mais car il savait que la maison de sa mère n'était pas sous surveillance, contrairement à son appartement où il lui était impossible de vérifier rapidement. Il en profita pour jouer le fils aimant en congédiant l’auxiliaire de vie pour la soirée et en s'occupant du repas.

La soirée se passa calmement, dans le silence car le châtain ne prit pas la peine d'avoir l'air aussi aimable qu'habituellement : il n'y avait personne pour le voir, personne pouvant le mériter.

Passer la nuit dans son ancienne chambre le ramena 15 ans en arrière, quand les autorités s'affolaient, que les médias se déchiraient et que les réseaux sociaux l'adulaient. C'était d'ailleurs les mois où accomplir ses devoirs familiaux (faire ses corvées, aider Sayu à faire ses devoirs, être aimable et bien pensant) fut le plus agréable et en même temps le plus frustrant. Il était amusant d'ainsi jouer double jeu, d'avoir la satisfaction d'aider le monde dans l'ombre, mais tout ses devoirs sociaux le freinait dans son entreprise et prenait une part non négligeable de temps qu'il aurait pu mettre à contribution pour son action grandiose. Cela entama aussi son temps de sommeil et il dut faire des compromis et se freiner dans ses activités.

Et puis il y eu L. Et là le poids de sa famille disparu, il n'y eu plus qu'un jeu de faux semblants et de comédie. Et aussi vite que cela commença, tout se termina.

Puis il y eu Mello, et l'ennuie recommença à poindre. Sayu commença à poser problème, elle mit à mal ses plans mais aussi son rôle de frère modèle. Sa famille parfaite de deux parents et de deux enfants commença à se briser, et du prendre les bouts effilés d'une ancienne perfection et créa un beau tableau de famille brisé mais forte, plus que 3 membres.

Il fut satisfait de son assemblage habile où il se plaça en tant que fondation solide malgré les sinistres.

Heureux sont les ignorants, ils vivent leurs vies avec des œillères et brisent tout le travail des autres en esquivant les débris. Plus que 2 membres.

Light dû redoubler d'effort pour récupérer le peu qu'il avait à porté de main et se plaça en dernier rempart entre le déferlement qui s’abattait sur sa famille et l'esprit fragile de sa mère.

Le commissaire ouvrit le dernier tiroir de sa table de nuit et fit glisser le double fond qui se trouvait au bout. Il attrapa une petit caméra entre ses mains, oublié sur le sol de sa penderie par des enquêteurs peu attentif. Il passa son pouce dessus en réfléchissant.
Plus que 2 membres...

Une dizaine de jours plus tard,

et au grand mécontentement de Light, une visite s'acheva par une nuit en observation, car ses analyses étaient légèrement irrégulière. Avec autant d'incertitude, il était risible de ce dire que ce personnel avait de nombreuses années d'étude derrière lui. Mais il s'y plia et passa une nouvelle nuit oppressante dans cette chambre si peu sécurisé.

Le lendemain,

le commissaire attendait la venu de son camarade de perplexité qui devait l'éclairer sur ce que pouvait être ses « légère irrégularités » tout en consultant la presse et les sites d'actualités, du plus officiel au plus sensationnaliste.


« LIIIIIGHT !!!! »

Qu'était-ce que ce bruit strident ? Peut être une machine annonçant un arrêt cardiaque. Mais, il n'était pas en soin intensif. Le châtain voulu se tourner pour voir si il y avait de l'agitation mais un poids soudain lui coupa le souffle et la douleur qui le coupa en deux le fit serrer les dents.
Qu'était-ce que ce poids ? Une agression ? Avait il le temps d'appeler le personnel ? Devait il envisager de se défendre avec les objets qu'il avait sous la main ? Il devrait emmener son arme de service partout où il va. Sa blessure s'était rouverte, il en était convaincue.

Alors que son cerveau était en ébullition, ses sens reprenait leur droit, particulièrement sa vue. Sa sœur, Sayu. Il essaya de répondre à ses interrogations avec vivacité pour répondre en conséquence.

Une agression ? Possible, sa sœur était prête à tout pour suivre les préceptes de l'insurrection. Elle n'avait pas d'arme visible. Pas de bombe vraisemblablement. Elle portait d'ailleurs le kimono de l'hôpital, le même que celui qu'il portait lui même. Pas d'endroit pour dissimuler de l'arsenal.
Faisait elle diversion ? Venait elle trouver des informations ? C'était peu probable, pas en hurlant dans le couloir. Que voulait elle ? Cette fois ci, il ne lui donnera pas de seconde chance, elle n'en rechapera pas.

« Papa et toi, vous êtes venus me délivrer c'est ça ? J'ai gardé confiance, je savais que je pouvais croire en toi, Light ! Mais pourquoi tu travailles ici ? Tu aurais pu venir me voir quand même ! »


C'était de la démence. Que tentait elle de faire, plaider la folie ne l'aiderait pas. Il ne pouvait plus placer d'espoir en son bon sens, alors il était préférable de mettre fin à ce petit jeu dans les plus bref délai. Enfin... Les jeux, c'étaient ce qu'il lui manquait, alors pourquoi ne pas continuer un peu et voir ce qui en résultait.

« Et moi donc, Sayu, tu étais enfermé dans un bunker à l'autre bout de l'océan. C'est papa qui est allez te sauver. Il a été héroïque, il s'est dressé contre Mello, ton ravisseur et il t'a fait sortir d'ici... et il, et il... sauf que... Sayu, comment vas tu ? Es-tu blessé ?
Cela fait longtemps que tu es endormis, maman s'est fait un sang d'encre. »
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