Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru)

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MessageSujet: Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru)   Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru) EmptyLun 2 Juil - 11:55

Le quartier d’affaire de Tokyo, un endroit où il n’est pas bon d’être un anti-Kira vu qu’il s’agit un peu de son quartier général. On y trouve d’ailleurs le commissariat de sa police et le bâtiment qui sert de quartier général pour la sphère divine. Tout est bien rangé dans ce quartier, il est propre et la discipline est bien visible. On a intérêt à rester sur le droit chemin dans ces parages au risque de voir la sentence de Dieu nous tomber dessus... Les pros-Kira sont en sécurité dans le quartier d’affaire du moins ils le croient. C’est aussi le cas de la silhouette qui s’avance dans une rue un grand sourire lumineux aux lèvres et l’air parfaitement serein. Cette silhouette est celle d’un jeune homme de vingt-cinq ans à l’allure simple, mais élégante. Il a des cheveux d’une étonnante couleur bleu et des yeux assortis même si de bons yeux peuvent détecter une trace de rouge sous ce bleu qui n’est que la couleur des lentilles de contact qu’utilise ce demi-shinigami pour cacher sa vraie nature. En effet en réalité il a des yeux rouges qui peuvent lire les noms et la durée de vie restante des gens. Mais il n’aime pas cette faculté alors il cache ses yeux maudits bien que cela ne l’empêche pas de voir les noms et les chiffres. Il porte une chemise blanche sous une veste de la même couleur que ses cheveux, un pantalon bleu clair et une paire de chaussures toute simple. De tout son être émane une sensation agréable, d’apaisement, de lumière, on ne peut que se sentir bien en sa présence c’est vraiment très étrange. Soudain cette personne s’arrête et tourne la tête vers une ruelle voisine très étroite et un peu sombre on peut y voir une jeune fille embêtée par deux pervers.

Les sourcils froncés la personne qui nous intéresse s’avance vers la scène et se racle la gorge. La jeune fille tourne un regard angoissé vers lui tandis que les pervers lui jettent un regard mauvais.
- Qu’est-ce que tu veux ? Aboie l’un d’eux.
- Laissez cette demoiselle tranquille messieurs, s’il vous plaît. Elle ne vous a sûrement rien fait.
Ils éclatent de rire et l’un d’eux s’avance avec un regard menaçant il est plus petit que notre homme, mais doit savoir se battre contrairement à lui. D’ailleurs il lance son poing en avant et frappe la mâchoire de notre demi-shinigami qui recule sous l’impact. La jeune fille en profite pour fuir alors Zakuro (notre demi-shinigami) est soulagé et commence à reculer doucement les mains levées tranquille malgré la douleur de sa mâchoire.
- Je ne veux pas d’ennuis...
Un des hommes lui bloque le passage et le plaque contre le mur attrapant ses mains avec les siennes avant de ricaner.
- Malheureusement nous on en veut... T’es plutôt mignon tu sais... Vu que la demoiselle s’est fait la malle on va s’occuper de toi d’accord ? Tu vas adorer.
Son camarade éclate de rire et dit une phrase dans une autre langue, de l’italien ou de l’espagnol... Ou du portugais. Qui sait. Celui qui tient Zakuro esquisse un sourire mauvais et répond à l’autre. Puis il attrape les cheveux bleus de notre héros et pose ses lèvres sur celles de Zakuro qui se fige de tout son être. Il commence à se débattre, mais on le gilfe alors il arrête les larmes aux yeux. C’est trop pour lui. Il déteste tant la violence et les choses impures... C’est impossible ça ne peut pas lui arriver... Il se fige encore plus et un son étranglé sort de sa gorge quand il sent qu’on enlève le bouton de son pantalon et qu’on descend la fermeture éclair. Non il n’allait pas se faire v... L’homme mit sa main là où il ne fallait pas et c’est ce qui causa sa perte. Leur perte. Un éclat dur traversa les prunelles de notre ami demi-shinigami et un hurlement de douleur se fit entendre tandis que du rouge giclait.

Quelques minutes plus tard deux cadavres traînent dans une mare de sang, notre ami s’entoure de ses bras tremblant de tous ses membres et tombant à genoux il vomit dans un coin avant de s’essuyer la bouche et de repartir chancelant. Il marche pendant quelques minutes la mine livide avant d’atteindre sa destination. Il espérait de tout cœur que la personne qu’il voulait voir et la seule capable de l’aider soit là et entre dans le commissariat. Un policier à l’accueil le voit et parle rapidement avec un autre, après tout Zakuro se rend souvent ici et les policiers savent tout de la marche à suivre quand il entre dans cet état... Ils ne posent pas de questions vu que l’homme qui s’occupe de ce type est un de leurs supérieurs. En tout cas on conduit Zakuro dans une salle d’attente et il s’installe sur une chaise le regard vide. Il finit par s’endormir la tête posée sur la table à côté de sa chaise dans une position tordue inconfortable. Qu’est-ce qu’il est mignon le mini dieu de la mort comme ça ! Les habits tâchés de sang, son petit corps tremblant comme une feuille et ses poings à moitié crispés.... Il est dans un drôle d’état et gare à celui qui s’approche de lui maintenant. En fait n’importe quelle personne qui entre dans cette pièce en ce moment est en danger... de mort. Toutes sauf une. Le frère de cœur et le meilleur ami de Zakuro Daemon peut l’approcher sans craindre de perdre un membre ou d’être mis en pièce par la folie du demi-shinigami. Pour deux raisons. La première parce que Zakuro ne lui fera jamais de mal et la deuxième car même s’il essaie il n’y arrivera pas. La porte fermée s’ouvre à demi et deux yeux observent la scène.
Que va-t-il se passer ? Mystère...
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MessageSujet: Re: Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru)   Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru) EmptyMer 15 Aoû - 20:59

C'est un jour comme un autre. Ou peut être une nuit comme une autre. Cela fait trois bons jours et au moins deux nuit que je travaille sur ce classement de document et sur cette étude d'affaire. Des petites frappes bien sur, donc rien de très intéressant, mais c'est le travail qu'on m'a confié. Et que je suis du genre bête de somme j'ai décidé que je ne me reposerais que lorsque j'aurais terminé toute cette paperasse accumulée sur mon bureau! Ah, qui je suis? Bah.. Je vous dirait bien que ça vous regarde pas mais je suis trop flemmard pour ça. Donc je vais me présenter, c'est plus simple que d'argumenter trois heures comme quoi mon identité ne concerne que moi. Je me nomme Axel Haru. Je suis un des dernier de ma longue lignée. Je suis un policier haut gradé qui n'aime pas bosser et qui n'est pas du genre à prendre des initiatives. Comme vous pouvez le voir j'ai mon propre bureau décoré comme on peut. Y'a un matelas qui traîne par là bas pour quand je suis trop fatigué pour rentrer dormir chez moi. Mais là n'est pas toute la déco hein. Il y a aussi des poster, un jeu de fléchette quand je m'ennuie vraiment trop. Je suis plutôt fort à ce jeu là, tout mes collègues me le disent! Les subordonnés, eux, me disent plutôt que c'est le bordel dans mon bureau. C'est assez vrai mais dans ces cas là je n'ai qu'un chose à leur répondre «moussaillon t'as pas vu mon port d'attache! Mon appart' c'est deux fois mon bureau pour te donner une idée». Là tout de suite les petits policier de bas étages me complimente sur comment je tien bien mon bureau! Mais revenons à nos moutons, moi je continue de bosser sur ses voyous. Il s'agit surtout de voyous qui agressent les passants. Vais-je devoir me déplacer, moi, un policier haut-placé? Quedal! Je ne bougerais mon cul que si personne n'arrive à remettre ces petits blancs-becs à leur place. Je regarde l'heure. Il est tard mais je n'ai pas fini. Pas tout à fait du moins. J'appelle ma collègue qui travaille au bureau juste à côté du mien et lui demander un café aromatisé et bien serré comme elle les fait si bien. Les femmes étant sensibles aux compliments elle rougit doucement et se dirige vers la petite cuisine du commissariat. Décidément, je sais pas si c'est parce que je suis «beau et craquant» mais c'est rare qu'une fille me résiste. La seule qui me fait des yeux aux lueurs dures parfois c'est ma sœur. Ma chère Anaïs. Mais ne parlons pas d'elle, je ne le veux pas.

Et me revoilà toujours entrain de feuilleter des papiers divers et varié. Mais cette fois quelque chose à changé. Et oui entre temps cette adorable collègue qu'est Anna est venue m'apporter mon café. Je le sirote donc, un stylo à la main et les yeux rivés sur mes copies. D'accord j'avoue que mon revolver me démange mais je n'ai pas le droit d'aller shooter tous les voyous de la ville sous prétexte qu'ils créent des emmerdes et font naître de petites affaires qui traînent trop à mon goût! Je grommelle, que faire contre ça? Pas grand chose, il faudrait les localiser et envoyer des policiers.. Je me prend la tête sur qui envoyer où et pourquoi. Je regarde toute cette paperasse qui traîne et soupire, j'ai déjà démêlé plus de la moitié de l'affaire et pourtant je suis encore bien loin de la fin.. J'ai pas envie de continuer.. Mais je sais très bien que si je laisse ce dossier sur mon bureau et que je l'abandonne bah je suis pas près de le reprendre en main.. Sauf quand mon supérieur direct me remontera les bretelles pour changer. Et oui moi et les savons c'est une grande, très grande histoire d'amour. Vous me direz comment ça se fait que je ne soit toujours pas viré? Bah d'abord parce que le boss m'aime bien, ensuite parce que je suis un tireur d'élite, et pour finir parce que je suis une vraie bête de somme quand je me met au boulot. Je regarde mes papier puis l'horloge. Purée.. 4 heures du matin et je suis toujours sur ce dossier à la con.. Je grommelle un charabia incompréhensible puis je me lève. Ras-le bol! Je sort de mon bureau et me dirige vers le sous sol du commissariat. J'ai besoin de tirer un peu..

Aaah rien de tel qu'une petite séance de tir pour vous faire comprendre que trois nuits blanches d'affilées c'est pas bon! Oui je rigole mais qu'à moitié, si dans la salle de tir il n'y avait pas de distributeur et que je n'avais pas pu me reprendre un café bien serré je n'aurais jamais tenu le choc. Je me rend compte que maintenant il est huit heures du matin. Je me sent nettement mieux après ça mais pas encore prêt ni a dormir ni a reprendre cette affaire qui me les brise menue menue. Enfin, je remonte dans mon bureau-chambre et je décide de faire un peu de sport.. Je me met donc à quatre pattes sur mon matelas et, après avoir ôté le haut de mon uniforme, je fais des pompes. Une fois ces dernières finies je fais des abdos. Après je me met aux tractions. Ensuite je fais une pause café et enquête. Je me remet à feuilleter les papiers qui constituent ces petites enquêtes de pacotille avant de sélectionner qui mettre sur l'affaire avec moi. Le temps s'écoule même si on ne le dirait pas. Hé bhé déjà midi! C'est l'heure de la pause dej'! Je vais pour sortir du commissariat, mon ventre s'exprimant dans sa langue et des cernes noires profond sous les yeux (signe distinctif d'un Axel qui n'a pas dormi depuis quatre jours et trois nuits) lorsque Anna m'intercepte. Elle me dit d'abord à la manière d'une femme qui apprécie l'autre que j'ai une sale gueule et que je devrais dormir plus si je veux être aussi efficace que d'habitude. Je la remercie rapidement de s'inquiéter pour moi et lui dit que si je ne vais pas manger maintenant je vais tomber dans les pommes. Elle me tend un bento pleins de bonne choses qui me fait saliver et me montre la salle d'interrogatoire:

«-On t'attends. Tu mangeras là bas.»

A se demander qui était le supérieur de qui.. Enfin je soupire, la remercie, et me dirige vers la salle où visiblement on m'attends. J'ouvre la porte et remarque alors une personne que je connais bien avachie sur la table avec les habits légèrement rouges. Je pose mon bento sur la table et caresse la tête de celui qui se nomme Zakuro Daemon. Il n'est autre que mon frère de cœur. Je le secoue doucement pour le réveiller, si il est venu ici c'est qu'il a besoin de me parler. Je pouffe de rire, va-t-il avoir peur de ma tête de dingue? Non il doit avoir l'habitude. En plus mes cheveux rouges en pétard n'ont plus été coiffé depuis la dernière fois que j'ai vu mon appartement soit il y a quatre jours. Je souris et m'assoit, murmurant à mon petit frère:

«-Bah alors Zaku, un soucis? Je suis tout ouïe.»

Je regarde mon repas avec envie mais ne l'entame pas. Mon protégé avant tout. Même avant moi, surtout avant moi en fait! Mais pas avant ma Anaïs.. Qu'il ne rencontrera jamais d'ailleurs. Je ne suis pas cruel, vous comprendrez en temps voulu. Je le regarde tendrement et lui caresse encore la tête, je suis assit juste à côté de lui j'attends qu'il se réveille..
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MessageSujet: Re: Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru)   Amitié en toute circonstance (PV Axel Haru) EmptyVen 17 Aoû - 13:38

Zakuro flottait en harmonie dans un lieu sans couleurs, il dormait sans rêve et sans cauchemar juste comme ça. Il sentit soudain une sensation de toucher sur son crâne, une sensation familière dû à une grande main qu'il connaissait bien. Il ouvrit un oeil et se redressa en bâillant et en se frottant les yeux. A.D.O.R.A.B.L.E était le mot pour désigner ce jeune homme encore tout endormi.

- Ax...

Il bailla derechef et s'étira de tout son long comme un chat avant d'adresser un sourire crispé à son meilleur ami.

- Désolé de m'être endormi. J'espère que tu n'attends pas depuis longtemps...

Il hésita ensuite, comment annoncer ce qu'il avait fait à son meilleur ami ? Celui à qui il devait tout ? Il avait tué ! Tué alors qu'il s'était juré de ne plus le faire... Bien sûr ce n'était pas entièrement sa faute, il ne contrôlait pas ses crises, il arrivait juste à les ralentir. Mais c'était comme une marmite à vapeur. La violence s'accumulait en lui, il l'empêchait de sortir pendant un moment, mais ensuite... Elle explosait avec une telle force qu'elle s'échappait de lui et il en résultait une poussée de violence qui le forçait à faire du mal ou à tuer... Mais il ne pouvait pas garder ça pour lui éternellement. Il était du genre à ne pas tenir le coup s'il ne se confiait à personne. Et Axel était son seul véritable ami donc il n'y avait pas à hésiter.
Le demi-shinigami prit une inspiration avant de parler.

- J'ai... De nouveau eu une crise... de violence.

Cela voulait tout dire. C'était pareil que d'annoncer "j'ai commis un meurtre". Axel était au courant de tout ce qui le concernait, enfin à part une chose, et il le connaissait par cœur. Surtout que la tête baissée du jeune homme montrait sa culpabilité. Il éclata en sanglots brusquement sa culpabilité grimpant en flèche. Il laissa son visage tomber dans le creux entre le cou et l'épaule de son "grand-frère" et continua de pleurer le corps secoués de sanglots et tremblant de tout son corps.

- Je... suis un monstre... Je mérite d'aller en prison... ou de me faire tuer...

La crise de pleurs reprit de plus belle, il finit par se calmer, mais respira alors avec difficulté complètement paniqué. Si on ne s'occupait pas vite de lui il allait vraiment faire une bêtise. D'ailleurs sa main se dirigea vers l'arme de Axel s'il disparaissait de ce monde cela irait mieux pour tout le monde...
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