L'Île au trésor...[pv Arashi]
@ Takeshi Saitô
Age : 33
Localisation : Dans le QG du gouvernement
- Spoiler:
- J'ai repris le type que tu recherchais, dans ton premier post. Je ne sais pas ce que tu comptais faire du code, mais j'en ai fait le rendez-vous entre Hadès et Jil.
Hadès inspira silencieusement, osant à peine poser un pied après l'autre. Le couvre-feu avait été déclaré, il faisait nuit noire. Les rares réverbères qui brillaient encore il y avait quelques heures avaient été éteints, et les seules lumières que l'on pouvait distinguer dans les horizons, c'était les yeux des chats qui éclairaient de manière éphémère les environs. Si Hadès était là, ce n'était pas par hasard ; bien sûr, car il ne se serait jamais risqué à l'extérieur, sinon. Armé de son sabre, il avançait prudemment et sans escorte. Quelqu'un qui l'aurait éclairé de sa lampe torche aurait vu un air déterminé et sans pitié sur son visage. Aujourd'hui, le temps n'était pas à la compassion. Si un membre de la Brigade de Kira croisait son chemin, Akira ressemblerait un peu plus à son frère en lui ôtant la vie, lui le philosophe roublard qui y tenait pourtant tellement. Ce qu'il cherchait, c'était un môme. Un môme qui avait fui un des camps de cet être immonde et devait être réfugié par ici, d'après les derniers signaux qu'avaient émis son portable.
Il n'était pas nouveau que ses services, de même pour le groupe des Hackeurs, réussissaient à hacker les données de la police. Ils devaient bien sûr considérablement se méfier, cela pouvait être un piège mais pour un dossier qui avait l'air si banal, Hadès n'avait même pas pris la peine d'informer les autres et s'y était rendu tout seul. C'était un garçon qui s'appelait Jil. Il n'était lié en aucun cas à Hadès mais ses compétences l'avaient intéressé : un hackeur de plus, c'était toujours intéressant, et puis si il était en fuite, ils étaient en mesure de le protéger. Hadès ne se cachait-il pas tous les jours de son frère jumeau, après tout ? Il n'avait pas tardé à localiser ce garçon et lui avait lui-même envoyé un message codé sur son portable pour lui donner rendez-vous ici. Hadès savait que c'était dangereux. Si cela se trouvait, le garçon n'existait même pas et tout cela n'était qu'un piège d'Arashi. Même le code était vraiment très dur à résoudre et seul un garçon aussi doué que Jil (ou Matt bien sûr) serait capable de le déchiffrer. Et puis Hadès avait un peu étudié la vie qu'il avait pu avoir, or, quelques éléments du code étaient en rapport avec le nom de sa sœur.
Cette fois-ci, il n'était pas déguisé. Si Ishtar l'avait vu sortir comme cela, il n'y avait aucun doute qu'elle l'aurait engueulé. Il voulait montrer à ce Jil qu'on pouvait assumer sa véritable identité et puis la nuit camouflait suffisamment bien son visage pour qu'il puisse s'en sortir sans aucun problème. Alors Akira se cachait. Derrière une poubelle, certes, mais dans cette partie de Tokyô, il n'y avait pas tellement d'endroit où se cacher. Au bout d'un moment, il entendrait sûrement quelques pas marcher vers lui et là, enfin, lorsqu'il entendrait une voix et le code qu'il devait dire, Hadès sortirait de son trou. Pour l'instant, il tentait de calmer sa respiration un peu agitée, comme si son cerveau avait conscience de faire quelque chose de bien dangereux. Quelqu'un d'extérieur aurait pu dire qu'il tentait de prouver sa supériorité par rapport aux autres, mais il n'en était rien. Akira se reconnaissait un peu en Jil et il désirait vraiment le rencontrer en premier. Avant que la brigade de Kira ne l'attrape, bien sûr.
Un bruit, à droite ! Akira arrêta de respirer, serrant la poignée du katana.
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L'information avait fait le tour des bureaux, ce soir descente dans les quartier de Tokyo en concordance avec le dossier de ce jeune Jil, fraîchement évadé de sa prison doré. Arashi avait réunit une quinzaine d'hommes de sa brigade, ce n'était qu'un gamin après tout, que pouvait il bien faire tout seul, sauf si ce tout seule viendrait à se transformer en troupe de la résistance. Un briefing de plus d'une heure par les bons soins d'Arashi pour mettre les choses au clair, pas de mort ce soir, discrétion absolue, et si résistants il y avait, une demande de Kira avait été formulé pour les faire prisonniers, si en plus on pouvait acquérir de nouvelles informations, elles seraient les bienvenues. Arashi n'avait qu'une seule hâte finir le boulot de cette nuit pour rentrer chez lui terminer de préparer les dossiers pour le lendemain. Mais encore, rien ne lui permettait d'affirmer que la nuit allait-être courte.
C'est devant la grande porte du bâtiment que l'on chargea le fourgon des unités mobiles avec à son bord Arashi comme meneur, la nuit était tombée, et les phares étaient la seule lumière éclairant la route qui devait les mener droit vers leur jeune prodige. Une fois entrée dans les quartiers, on avait pour ordre d'étendre les phares, de décharger à moins d'un kilomètre, de fixer un périmètre de sécurité ainsi qu'un point de ralliement une fois le sujet intercepté. Grâce à leur transmetteur d'image thermique, ils pouvaient tous assez aisément retrouver la trace du jeune, encore fallait-il que ce soit le bon, certes les rues étaient désertent une fois le couvre feu installé, mais il y avait toujours quelques malins qui s'amusaient à transgresser la loi, ceux-là étaient directement arrêtés puis enfermé dans le fourgon. Arashi avait décider de s'entourer seulement de deux hommes laissant les autres se disperser dans les quartiers de la zone de recherche.
Arashi, courait accompagné de ses deux acolytes, suivant de prêt un signal qu'il tenait depuis 2 minutes maintenant sur son radar. Il se déplaçait plutôt vite, mais n'était-ce pas surprenant pour un jeune, essayant de fuir les bras qui lui sont tendus, à cette age là on ne réalise pas la chance que l'on peut avoir en étant choisis par Kira pour servir dans ses troupes, Arashi était fière de son statut et c'est avec cette image triomphante qu'il accéléra la cadence pour ne pas perdre le signal, n'ayant qu'une seule pensé en tête ne pas décevoir Kira. Puis il s’arrêta brusquement deux rues à l'opposé du signal s'étant stabilisé, cependant quelque chose n'allait pas, quel était cet autre point rouge quelques mètres plus loin de se premier, ce n'était pas un de ses gars, sinon il serait marqué d'une lumière verte, là une pensée le traversa et si c'était ce qu'il avait pensé ou enfin essayé de prendre en considération la possibilité que quelqu'un d'autre se soit invité sans avoir reçut d'invitation de sa part. De plus si cette personne était celle qui le rebutait le plus.
Faisant signe à ses deux hommes, l'un se rapprochant d'une ruse du signal ou des deux signaux vu que la donne avait changé, puis au second de faire le tour de celle ci pour se mettre à l'opposé de celle-ci, comme cela si l'un des deux essayait de s’enfuir, l'un des deux hommes saura lui mettre le grappin dessus, quand à Arashi celui ci se dirigea droit vers le premier signal, distingua une silhouette au loin, fluet si ce n'est rachitique, élancé, si il s'agissait du jeune qu'il recherchait il n'allait pas tarder à être fixer, pattes de velours il se dirigea vers ce qui semblait être le jeune homme, tout en regardant une dernière fois avant d'agir son radar, ses deux hommes s'étaient positionné et étaient prêt à intervenir.
C'était bien lui, le jeune prodige, mais l'autre signal n'était pas loin, il était même très proche, très proche, ce qui titillait Arashi au plus haut point, comme une nuisance qui n'aurait jamais du être là, à ce moment, dans cette ruelle à trois pas de son objectif.
Attrapant le jeune par l'arrière, lui mettant la main sur la bouche pour éviter qu'il ne parle, il lui fit plier les genoux, atterrissant sur le bitume, sorti de sa poche à toute allure une seringue contenant un anesthésiant, effet immédiat garanti par les scientifiques de son département. Le jeune tenta de se défendre, mais sans plus comme si il savait que le piège venait de se refermer sur lui, sans l'avoir vu venir ou peut-être que si, puis cessa de bouger une fois la seringue retirée déposant le corps du jeune Jil au sol pour ensuite appuyer sur son émetteur qui donnerait le signale à tous les autres soldats, les informant que la cible venait d'être atteinte et sous contrôle. Il ne restait plus qu'a régler le problème de ce second signal, et au plus vite.
C'est devant la grande porte du bâtiment que l'on chargea le fourgon des unités mobiles avec à son bord Arashi comme meneur, la nuit était tombée, et les phares étaient la seule lumière éclairant la route qui devait les mener droit vers leur jeune prodige. Une fois entrée dans les quartiers, on avait pour ordre d'étendre les phares, de décharger à moins d'un kilomètre, de fixer un périmètre de sécurité ainsi qu'un point de ralliement une fois le sujet intercepté. Grâce à leur transmetteur d'image thermique, ils pouvaient tous assez aisément retrouver la trace du jeune, encore fallait-il que ce soit le bon, certes les rues étaient désertent une fois le couvre feu installé, mais il y avait toujours quelques malins qui s'amusaient à transgresser la loi, ceux-là étaient directement arrêtés puis enfermé dans le fourgon. Arashi avait décider de s'entourer seulement de deux hommes laissant les autres se disperser dans les quartiers de la zone de recherche.
Arashi, courait accompagné de ses deux acolytes, suivant de prêt un signal qu'il tenait depuis 2 minutes maintenant sur son radar. Il se déplaçait plutôt vite, mais n'était-ce pas surprenant pour un jeune, essayant de fuir les bras qui lui sont tendus, à cette age là on ne réalise pas la chance que l'on peut avoir en étant choisis par Kira pour servir dans ses troupes, Arashi était fière de son statut et c'est avec cette image triomphante qu'il accéléra la cadence pour ne pas perdre le signal, n'ayant qu'une seule pensé en tête ne pas décevoir Kira. Puis il s’arrêta brusquement deux rues à l'opposé du signal s'étant stabilisé, cependant quelque chose n'allait pas, quel était cet autre point rouge quelques mètres plus loin de se premier, ce n'était pas un de ses gars, sinon il serait marqué d'une lumière verte, là une pensée le traversa et si c'était ce qu'il avait pensé ou enfin essayé de prendre en considération la possibilité que quelqu'un d'autre se soit invité sans avoir reçut d'invitation de sa part. De plus si cette personne était celle qui le rebutait le plus.
Faisant signe à ses deux hommes, l'un se rapprochant d'une ruse du signal ou des deux signaux vu que la donne avait changé, puis au second de faire le tour de celle ci pour se mettre à l'opposé de celle-ci, comme cela si l'un des deux essayait de s’enfuir, l'un des deux hommes saura lui mettre le grappin dessus, quand à Arashi celui ci se dirigea droit vers le premier signal, distingua une silhouette au loin, fluet si ce n'est rachitique, élancé, si il s'agissait du jeune qu'il recherchait il n'allait pas tarder à être fixer, pattes de velours il se dirigea vers ce qui semblait être le jeune homme, tout en regardant une dernière fois avant d'agir son radar, ses deux hommes s'étaient positionné et étaient prêt à intervenir.
C'était bien lui, le jeune prodige, mais l'autre signal n'était pas loin, il était même très proche, très proche, ce qui titillait Arashi au plus haut point, comme une nuisance qui n'aurait jamais du être là, à ce moment, dans cette ruelle à trois pas de son objectif.
Attrapant le jeune par l'arrière, lui mettant la main sur la bouche pour éviter qu'il ne parle, il lui fit plier les genoux, atterrissant sur le bitume, sorti de sa poche à toute allure une seringue contenant un anesthésiant, effet immédiat garanti par les scientifiques de son département. Le jeune tenta de se défendre, mais sans plus comme si il savait que le piège venait de se refermer sur lui, sans l'avoir vu venir ou peut-être que si, puis cessa de bouger une fois la seringue retirée déposant le corps du jeune Jil au sol pour ensuite appuyer sur son émetteur qui donnerait le signale à tous les autres soldats, les informant que la cible venait d'être atteinte et sous contrôle. Il ne restait plus qu'a régler le problème de ce second signal, et au plus vite.
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@ Takeshi Saitô
Age : 33
Localisation : Dans le QG du gouvernement
Retenir son souffle n'allait peut-être pas suffire :en effet, les pas qu'Hadès entendait se diriger vers l'endroit où il était étaient beaucoup trop nombreux pour n'appartenir qu'à un seul homme – adolescent de surcroît. Les chances pour que les pieds concernés appartiennent à un bataillon de la police de Kira n'étaient pas négligeable. Maintenant, il devait lui rester environ deux minutes pour décider de ce qu'il allait faire. Il savait parfaitement que, tout comme eux, la Police disposait de moyens technologiques conséquents. Il y avait donc des chances pour qu'ils l'aient déjà localisés. Si ils ne venaient pas directement à lui, c'était certainement qu'il y avait autre chose qui avait détourné leur attention. Le cœur d'Hadès commença à battre à tout va. Jil ! Ils devaient avoir mis la main sur Jil ! Mais aucun moyen de savoir si c'était son esprit qui s'imaginait cela ou la vérité. Il devait maintenant choisir entre fuir et les affronter. Hadès n'était pas un couard. De plus, il était capable de fendre la majorité de ses gens mal-entraînés. Lui ne pensait pas du tout que son frère était sur le terrain : au contraire, il se l'imaginait à un bureau, tranquillement assis à donner des ordres. Au pire, il y avait toujours le taser dans la poche.
Hadès sortit de derrière la poubelle, fermant les yeux pour prendre en compte une technique que lui – ou plutôt que leur – avait enseigné leur grand-père. Si les yeux étaient fermés, quelques minutes plus tard, on s'apercevait de la présence d'autres sons. Hadès s'était entraîné longtemps pour maîtriser cette technique ardue. Lui n'avait aucun radar mais il s'approcha silencieusement de deux silhouettes. Leur odeur ne trompait pas : toujours celle de la mort, et si ils faisaient partie de la Résistance tout de même, ils auraient été un peu plus discrets, se collant aux murs. Le sabre partit de son fourreau pour frapper la nuque du premier, d'un coup sec et maîtrisé. Étonné par la chute de son acolyte, le deuxième ne tarda pas à subir le même sort. Tel un prédateur sauvage, Hadès se colla au mur le plus proche, soufflant.
Où était Jil ? Il se trouvait sûrement vers ces deux-là ! Et...si ces gardes bénéficiaient d'une technologie avancée, pourquoi Jil n'était-il pas avec eux ? Son instinct lui soufflait qu'il y avait quelque chose de louche et de pas normal. Vraiment. Ce même instinct lui criait même de prendre ses jambes à son cou tant qu'il en était encore temps, mais il essaya de garder son calme, se disant que Jil ne devait pas être bien loin et qu'il devait lui-aussi être prudent car les membres d'une Brigade ne se baladaient jamais par deux. Alors, il s'agissait également de se retenir d'appeler Jil, surtout que celui qu'il risquait de mener à lui n'était certainement pas la bonne personne. Hadès grimaça. Puis, lâcha le sabre, mettant à la va-vite une perruque noire. Il chopa également un de ceux qu'il avait assassiné, le traîna dans un coin un peu plus sombre que les autres et ne tarda pas à le déshabiller, faire de même pour lui en quelques secondes. C'était un Akira Darkwood déguisé en lieutenant de Kira qui sortit de la cachette.
Quant au sabre ? Il le tenait toujours à la main.
Il n'avait aucune idée d'où se situait son ennemi. Alors, il devait faire semblant d'être dans son camp. Akira se toucha sa cicatrice, anxieux.
Hadès sortit de derrière la poubelle, fermant les yeux pour prendre en compte une technique que lui – ou plutôt que leur – avait enseigné leur grand-père. Si les yeux étaient fermés, quelques minutes plus tard, on s'apercevait de la présence d'autres sons. Hadès s'était entraîné longtemps pour maîtriser cette technique ardue. Lui n'avait aucun radar mais il s'approcha silencieusement de deux silhouettes. Leur odeur ne trompait pas : toujours celle de la mort, et si ils faisaient partie de la Résistance tout de même, ils auraient été un peu plus discrets, se collant aux murs. Le sabre partit de son fourreau pour frapper la nuque du premier, d'un coup sec et maîtrisé. Étonné par la chute de son acolyte, le deuxième ne tarda pas à subir le même sort. Tel un prédateur sauvage, Hadès se colla au mur le plus proche, soufflant.
Où était Jil ? Il se trouvait sûrement vers ces deux-là ! Et...si ces gardes bénéficiaient d'une technologie avancée, pourquoi Jil n'était-il pas avec eux ? Son instinct lui soufflait qu'il y avait quelque chose de louche et de pas normal. Vraiment. Ce même instinct lui criait même de prendre ses jambes à son cou tant qu'il en était encore temps, mais il essaya de garder son calme, se disant que Jil ne devait pas être bien loin et qu'il devait lui-aussi être prudent car les membres d'une Brigade ne se baladaient jamais par deux. Alors, il s'agissait également de se retenir d'appeler Jil, surtout que celui qu'il risquait de mener à lui n'était certainement pas la bonne personne. Hadès grimaça. Puis, lâcha le sabre, mettant à la va-vite une perruque noire. Il chopa également un de ceux qu'il avait assassiné, le traîna dans un coin un peu plus sombre que les autres et ne tarda pas à le déshabiller, faire de même pour lui en quelques secondes. C'était un Akira Darkwood déguisé en lieutenant de Kira qui sortit de la cachette.
Quant au sabre ? Il le tenait toujours à la main.
Il n'avait aucune idée d'où se situait son ennemi. Alors, il devait faire semblant d'être dans son camp. Akira se toucha sa cicatrice, anxieux.
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@ Invité
C'était incompréhensible, ce signale qui il y a encore 1 minute immobile sur le radar venait tout simplement de se déplacer à toute vitesse vers les deux soldats envoyés par Arashi aux deux points stratégiques établit par celui-ci. Un totale de 13 et il diminué au fur et à mesure que les secondes s écoulaient, le point qui maintenant avec changé de couleur se déplacé de cible en cible les uns après les autres, Arashi fit parvenir les coordonnées du lieu ou se trouvé le corps du jeune Jil inanimé sur le sol, pour qu'une équipe vienne le chercher, il ne pouvait pas rester là sans rien faire et voir ses hommes se faire massacrer par cet entité dont il ignorait l'identité.
- Bon dieu, c'est bien ma veine.
Et c'est à toute allure qu'il se mit en chemin, préparant son katana à plonger dans la première cible ennemis venue. Les kilomètres le séparent de ses soldats décroissaient à toute vitesse mais à chaque kilomètre qui le rapprochait de la scène, le point lumineux s'éloignait faisant en sorte d'avoir toujours cette même distance entre Arashi et lui.
-C'est pas possible, c'est quoi ce délire.
La sueur perlée sur son front, il décida de couper par une ruelle en parallèle donnant directement sur la masse de point au nombre de 6 maintenant non 5, la ruelle semblait sans fin, quand il arriva au bout entendent des bruits de bousculade, de choc, de tir, de crie bref, c'était à en perdre la raison. Ils étaient en train de s'entre tuer ou quoi ? Pourquoi est ce que ses hommes se battaient entre eux, un détails échappa à Arashi, l'un d'entre eux était en possession d'un katana de taille moyenne, lame à priori coupante comme du rasoir à en juger par le massacre qu'il venait de laisser derrière lui, celui qui le maniait devait être un expert, c'est le cadavre d'un de ses soldats qui le sortit de ses pensées, s'armant de son sabre, il fonda sur l'ennemis situé à 4 mètres de lui, cela lui fit un choc de fondre sur un ennemis vêtu de la même tenue que les siens, une fois face à face, il riposta à plusieurs attaque passant de la défense à l'attaque, vociférant des ordres aux soldats encore debout, qui étaient d'aller récupérer le corps de Jil là ou il l'avait laissé et de rejoindre la patrouille de renfort certainement déjà dépêchée sur le terrain.
Laissant Arashi et l'agresseur en proie à leur frénésie meurtrière, enfin un peu d'action, il en avait besoin et sa lame aussi, le sourire aux lèvres, il était partagé entre deux sentiments, l’excitation et l’anticipation, voir des mouvements comme son adversaire était rare de nos jours, il état très doué sans aucun doute, et ce n'est qu'une fois les ennemis côte à côte qu'il cru apercevoir la chose qu'il redoutait tant, est-ce une cicatrice, il n'en était pas sur, les mouvements étant très rapides et l’intervalle entre les deux très rapproché il ne pouvait confirmer ce qu'il pensait avoir vu comme étant une cicatrice jusqu'au moment ou il enchaîna un Itto Ma qui érafla son ennemis déchirant son col permettant ainsi à Arashi de constater que l'homme à qui il avait affaire n'était autre que celui à qui il avait infligé cette cicatrice, son frère.
-... J'aurais du m'en douter que ce sabre cette technique ne pouvait venir que de toi ...
- Bon dieu, c'est bien ma veine.
Et c'est à toute allure qu'il se mit en chemin, préparant son katana à plonger dans la première cible ennemis venue. Les kilomètres le séparent de ses soldats décroissaient à toute vitesse mais à chaque kilomètre qui le rapprochait de la scène, le point lumineux s'éloignait faisant en sorte d'avoir toujours cette même distance entre Arashi et lui.
-C'est pas possible, c'est quoi ce délire.
La sueur perlée sur son front, il décida de couper par une ruelle en parallèle donnant directement sur la masse de point au nombre de 6 maintenant non 5, la ruelle semblait sans fin, quand il arriva au bout entendent des bruits de bousculade, de choc, de tir, de crie bref, c'était à en perdre la raison. Ils étaient en train de s'entre tuer ou quoi ? Pourquoi est ce que ses hommes se battaient entre eux, un détails échappa à Arashi, l'un d'entre eux était en possession d'un katana de taille moyenne, lame à priori coupante comme du rasoir à en juger par le massacre qu'il venait de laisser derrière lui, celui qui le maniait devait être un expert, c'est le cadavre d'un de ses soldats qui le sortit de ses pensées, s'armant de son sabre, il fonda sur l'ennemis situé à 4 mètres de lui, cela lui fit un choc de fondre sur un ennemis vêtu de la même tenue que les siens, une fois face à face, il riposta à plusieurs attaque passant de la défense à l'attaque, vociférant des ordres aux soldats encore debout, qui étaient d'aller récupérer le corps de Jil là ou il l'avait laissé et de rejoindre la patrouille de renfort certainement déjà dépêchée sur le terrain.
Laissant Arashi et l'agresseur en proie à leur frénésie meurtrière, enfin un peu d'action, il en avait besoin et sa lame aussi, le sourire aux lèvres, il était partagé entre deux sentiments, l’excitation et l’anticipation, voir des mouvements comme son adversaire était rare de nos jours, il état très doué sans aucun doute, et ce n'est qu'une fois les ennemis côte à côte qu'il cru apercevoir la chose qu'il redoutait tant, est-ce une cicatrice, il n'en était pas sur, les mouvements étant très rapides et l’intervalle entre les deux très rapproché il ne pouvait confirmer ce qu'il pensait avoir vu comme étant une cicatrice jusqu'au moment ou il enchaîna un Itto Ma qui érafla son ennemis déchirant son col permettant ainsi à Arashi de constater que l'homme à qui il avait affaire n'était autre que celui à qui il avait infligé cette cicatrice, son frère.
-... J'aurais du m'en douter que ce sabre cette technique ne pouvait venir que de toi ...
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@ Takeshi Saitô
Age : 33
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Être sans pitié. Executer les moindres soldats qui arrivaient vers lui, sans même penser à leurs femmes, leurs enfants qui les attendaient sûrement au chaud chez eux. Les yeux d'Hadès étaient déterminés à en finir. Ce gosse, Jil, il le sauverait. Il lui montrerait que dans ce monde, il y avait des gens qui méritaient d'être côtoyés. C'était pour cela qui enfonçait pour la sixième fois de la journée, très exactement, sa lame dans la gorge d'un homme. Il n'aimait pas cela, c'était sûr et affirmer le contraire eut été mentir. Ces hommes, juste avant de mourir le regardaient, trop éberlués de voir un de leurs semblables les attaquer. Surtout avec un sabre alors que le temps était venu au bon vieux pistolet de la mort qui tue qui vous immobilise un rebelle à deux-cent mètres. Pratique, comme cela, pas besoin de se mouiller les mains. Un tout cas, maintenant, plus besoin de se déplacer pour anéantir cette brigade. Ceux qui venaient en attendant qu'il leur passe le sabre dans le corps faisaient suffisamment de bruit pour alerter le reste de la brigade.
Il restait juste à espérer qu'il n'y eut pas de big boss de fin.
Prière ratée, Hadès ne devant pas assez prier le Dieu mondial. Une silhouette floue ne tarda pas à bondir sur Hadès et lui à comprendre qu'étant donné l'énergie des coups donnés, les feintes qu'il avait déjà du mal à esquiver et le noir faisaient qu'il ne tiendrait sûrement pas longtemps. Heureusement, la pleine Lune sans ses nuages devant éclairait déjà un peu mieux tout ce petit monde et Hadès se rendit soudainement compte que l'individu qu'il affrontait n'était autre que son frère. Sa surprise fut une faute et Arashi réussit à lui porter un coup et déchirer un peu son col. Lui-aussi n'avait pas tardé à le reconnaître, alors, Akira recula de quelques pas, enleva la perruque qui ne le mettait pas parfaitement à l'aise.
« Et moi donc...Arashi...Qui donc d'autre se balade dans cette ville avec un sabre ? »
Il passa de nouveau à l'attaque, sachant parfaitement qu'étant donné leur différence de niveau, il allait bientôt devoir fuir. Faire diversion, et courir vers l'opposé de la rue. Très vite. Hadès désirait certes poser une foule de question à son frère mais il n'était certainement pas masochiste. Au contraire. Il était conscient de risquer finir enfermé pendant une longue période, jusqu'à ce qu'on décide de son exécution. Arashi en aurait sans doute le cran. Après tout, il n'était que le mauvais fils de la famille, non ? Aucun de ses coups ne portaient, ils étaient tous parés par Arashi et la tendance s'inversait. Lui paraît beaucoup plus et reculait tandis que son frère l'attaquait. Le rouquin commençait à être vraiment essoufflé comment il allait pouvoir faire diversion. Il se recula soudainement de trois pas, osant jeter un regard vers la droite qui aurait pu lui être fatal.
« Ju', va-t-en ! C'est dangereux ici ! »
Il fit ensuite une roulade et partit en courant. Il...il était essoufflé, il ne tiendrait pas longtemps. Il fallait qu'il se repose, du moins qu'il arrête de faire des efforts, ne serait-ce que pour deux secondes. Malheureusement, il s'avérait qu'Arashi aurait de toutes façons une supériorité physique sur lui, même s'il était assez fort. Convaincu qu'il ne pourrait pas le repérer d'une quelconque manière et persuadé de le voir courir loin, Hadès se glissa dans une ruelle adjacente, se cachant dans l'ombre.
Il restait juste à espérer qu'il n'y eut pas de big boss de fin.
Prière ratée, Hadès ne devant pas assez prier le Dieu mondial. Une silhouette floue ne tarda pas à bondir sur Hadès et lui à comprendre qu'étant donné l'énergie des coups donnés, les feintes qu'il avait déjà du mal à esquiver et le noir faisaient qu'il ne tiendrait sûrement pas longtemps. Heureusement, la pleine Lune sans ses nuages devant éclairait déjà un peu mieux tout ce petit monde et Hadès se rendit soudainement compte que l'individu qu'il affrontait n'était autre que son frère. Sa surprise fut une faute et Arashi réussit à lui porter un coup et déchirer un peu son col. Lui-aussi n'avait pas tardé à le reconnaître, alors, Akira recula de quelques pas, enleva la perruque qui ne le mettait pas parfaitement à l'aise.
« Et moi donc...Arashi...Qui donc d'autre se balade dans cette ville avec un sabre ? »
Il passa de nouveau à l'attaque, sachant parfaitement qu'étant donné leur différence de niveau, il allait bientôt devoir fuir. Faire diversion, et courir vers l'opposé de la rue. Très vite. Hadès désirait certes poser une foule de question à son frère mais il n'était certainement pas masochiste. Au contraire. Il était conscient de risquer finir enfermé pendant une longue période, jusqu'à ce qu'on décide de son exécution. Arashi en aurait sans doute le cran. Après tout, il n'était que le mauvais fils de la famille, non ? Aucun de ses coups ne portaient, ils étaient tous parés par Arashi et la tendance s'inversait. Lui paraît beaucoup plus et reculait tandis que son frère l'attaquait. Le rouquin commençait à être vraiment essoufflé comment il allait pouvoir faire diversion. Il se recula soudainement de trois pas, osant jeter un regard vers la droite qui aurait pu lui être fatal.
« Ju', va-t-en ! C'est dangereux ici ! »
Il fit ensuite une roulade et partit en courant. Il...il était essoufflé, il ne tiendrait pas longtemps. Il fallait qu'il se repose, du moins qu'il arrête de faire des efforts, ne serait-ce que pour deux secondes. Malheureusement, il s'avérait qu'Arashi aurait de toutes façons une supériorité physique sur lui, même s'il était assez fort. Convaincu qu'il ne pourrait pas le repérer d'une quelconque manière et persuadé de le voir courir loin, Hadès se glissa dans une ruelle adjacente, se cachant dans l'ombre.
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@ Invité
C'était tout lui, la feinte, il était passé maître dans son art, et Arashi si était laisser prendre, il n'était pas peu fière, mais chacun des faiblesses ne dit-on pas ? Le voyant courir au loin puis disparaître, il était tiraillé entre deux choix, rejoindre son équipe qui vu l'heure devait déjà avoir ramassé le corps du jeune homme dans le fourgon de renfort, les gars auraient très probablement sécurisé toute la zone n'attendant plus que le signale pour plier bagage, Arashi profita de se moment de pause pour envoyer sa position et demander des hommes en renforts qui ne tardèrent pas à arriver, pour une fois il était surpris de leur efficacité, mais il le regrettèrent très vite en voyant la colère monter dans les yeux d'Arashi. Celui leur ordonna de se diviser en deux groupe l'un parti avec Arashi et l'autre dans le sens opposé, il avait décidé de poursuivre celui qu'il avait fuit depuis de nombreuses années. Cette fois il savait que le signal se trouvant isolé dans une ruelle de la même couleur que la sienne, une fois sur l'écran de son radar se verrait prit au piège par les deux groupes de soldats, les coordonnées étant retransmises en directe aux deux groupes dirigés par Arashi, ils n'auraient aucun mal à le capturer, mais il savait que son frère avait plus d'un tour dans son sac, et qu'il fallait s'attendre à tout de la part d'un rebelle de son espèce. Le signal était dans une petite ruelle qui, si l'on regardait le plan, mené quelques kilomètres plus loin à une impasse, cette fois il est prit comme un rat, un sourire au coin des lèvres, le signal était donné, cette fois il ne s'échappera pas se dit-il.
Il avança d'abord seul et aperçu son frère haletant désireux de retrouver une respiration normale, l'avait-il mal mené à se point se dit-il rigolant intérieurement en voyant celui-ci. Le désignant de la pointe de son sabre, il fait signe de la main à ses soldats qui se positionnaient en deux lignes, la première 4 hommes genoux à terre, fusil de pointe sur leurs épaules, et la seconde 4 hommes debout arme en joue. Tout en fixant son frère, il comprit à son regard qu'il n'avait aucune chance de s'en sortir de là sans se faire prendre, et après tout il avait certainement du se préparer à l’éventualité de se faire piéger à un moment ou à un autre.
Rengainant son sabre il sortit de sa poche arrière une paire de menotte, s'approcha de son frère et la première rangé de soldat de releva et couru en direction de celui-ci se plaçant devant et derrière pour lui laisse aucune issue.
- Bienvenue en enfer.
c'est la dernière phrase qu'il dit avant de passer les menottes à un soldats, qui à son tour les fit passer autour des poignets de son frère, puis une main sur le dos, l'autre tenant les deux poignets, formation carré pour le reste des soldats qui entourèrent ce dernier en direction de la route se situant à quelque mettre, là attendait un fourgon, les portes grandes ouvertes, on le fit grimper à l’intérieur, 4 soldats à son bord, puis les portes se refermèrent. donnant comme dernière visions à chacun des deux frère la vision de l'autre.
Arashi regarda le fourgon s'éloigner suivit de celui contenant le jeune Jil puis un dernier avec à son bords le reste des hommes et les quelques délinquants qui avaient osé braver le couvre feu.
Quand à lui, il monta dans la voiture de fonction rapatriée pour l'occasion avec à son bord une enveloppe avec un K majuscule en lettre gothique. Puis le voiture finit pas disparaître dans l'obscurité de la nuit, on ne saurait dire qui s'était le milieu ou la fin de celle-ci.
Il avança d'abord seul et aperçu son frère haletant désireux de retrouver une respiration normale, l'avait-il mal mené à se point se dit-il rigolant intérieurement en voyant celui-ci. Le désignant de la pointe de son sabre, il fait signe de la main à ses soldats qui se positionnaient en deux lignes, la première 4 hommes genoux à terre, fusil de pointe sur leurs épaules, et la seconde 4 hommes debout arme en joue. Tout en fixant son frère, il comprit à son regard qu'il n'avait aucune chance de s'en sortir de là sans se faire prendre, et après tout il avait certainement du se préparer à l’éventualité de se faire piéger à un moment ou à un autre.
Rengainant son sabre il sortit de sa poche arrière une paire de menotte, s'approcha de son frère et la première rangé de soldat de releva et couru en direction de celui-ci se plaçant devant et derrière pour lui laisse aucune issue.
- Bienvenue en enfer.
c'est la dernière phrase qu'il dit avant de passer les menottes à un soldats, qui à son tour les fit passer autour des poignets de son frère, puis une main sur le dos, l'autre tenant les deux poignets, formation carré pour le reste des soldats qui entourèrent ce dernier en direction de la route se situant à quelque mettre, là attendait un fourgon, les portes grandes ouvertes, on le fit grimper à l’intérieur, 4 soldats à son bord, puis les portes se refermèrent. donnant comme dernière visions à chacun des deux frère la vision de l'autre.
Arashi regarda le fourgon s'éloigner suivit de celui contenant le jeune Jil puis un dernier avec à son bords le reste des hommes et les quelques délinquants qui avaient osé braver le couvre feu.
Quand à lui, il monta dans la voiture de fonction rapatriée pour l'occasion avec à son bord une enveloppe avec un K majuscule en lettre gothique. Puis le voiture finit pas disparaître dans l'obscurité de la nuit, on ne saurait dire qui s'était le milieu ou la fin de celle-ci.
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@ Takeshi Saitô
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Akira Darkwood s'était adossé au mur, n'arrivant plus du tout à ordonner à son cœur de battre correctement. Le visage d'Arashi...cela faisait si longtemps, non ? Il l'avait toujours fui, depuis ce jour-là, se perfectionnant à cause de lui dans l'art du déguisement. Rien de plus qu'une lâcheté de plus. Il s'essuya la figure avec la manche et s'apprêta à partir lorsque...lorsqu'il les vit. Eux. Une meute de soldats dont plusieurs le braquaient, prêts à faire feu. Akira ne s'était jamais préparé à l'idée d'être un jour capturé : oui, chez lui, il y avait ce petit côté héros de roman qui faisait qu'il était persuadé, au fond de lui que celui du côté de la justice gagnait toujours. Car n'oublions pas que celui qu'ils nommaient Kira n'était rien d'autre qu'un vulgaire criminel. Il grimaça en voyant son frère s'approcher de lui et lâcha le sabre, leur indiquant qu'il n'était pas nécessaire de tirer, qu'il n'allait pas vainement se défendre. Il devait parler à Arashi et gagner ce combat avant cela. La mort ne le dérangeait pas tellement, tant qu'il réglait toutes ses petites affaires avant.
Ce chef de la résistance laissa donc un jeune soldat lui passer les menottes qui le firent aussitôt frissonner et les suivit, dignement, même s'il trouvait que la petite troupe déployée tout autour de lui était un peu exagérée. Un tout petit peu, comme s'il risquait de s'échapper alors qu'Arashi était dans les environs. Après tout, qu'est-ce qui lui avait pris de sortir à l'air libre sans personne pour l'accompagner – non, il avait tout de même laissé un mot sur son bureau des fois que – et guetter l'arrivée de ce jeune ? Il avait cru apercevoir sa silhouette, à ce garçon-là, et il n'enviait non plus ce à quoi il était destiné. Un jeune garçon aussi doué, Arashi et ses collègues allaient sans doute essayer d'en faire un de leurs sbires, voire le casser et le forcer à leur obéir. Ce qu'il détestait ces méthodes.
Le voyage dans la voiture se déroula sans trop d'encombres. Il eut juste à déplorer le confort, le manque de discussion des soldats autour de lui. Au moins quatre le braquaient de leur arme tandis que deux maintenaient ses bras. Il n'était pas Terminator, non plus ? Arashi leur avait fait si peur, en leur parlant de lui ? Une fois, il essaya de leur parler mais se ramassa un manche de mitraillette dans la visage, ce qui le fit taire et naître une rougeur bizarre sur la joue. Il comprit la leçon et n'ouvrit plus la bouche du voyage. Au bout d'une demie-heure, la voiture s'arrêta et un homme passa un bandeau sur ses yeux. Ne pas montrer qu'il était effrayé, ne pas leur faire ce plaisir. Mine de rien, son cœur battait à cent à l'heure. Il avait toujours peur de l'inconnu et cette fois était encore pire que les autres. On le mena dans un couloir – du moins le supposait-il –, cette drôle de chose lui bandant les yeux. Finalement, on le poussa quelque part – ce devait être une cellule – et ferma la porte. Un ou deux gardes devaient être restés avec lui, il les entendait respirer. Leur présence lui fut même confirmée lorsque, affolé, il tenta de se relever et un pied lui écrasa la tête pour l'inciter à rester sur le sol.
Comment dire...Il était dans la merde ? Non. Il mourrait en digne héros. Point.
Ce chef de la résistance laissa donc un jeune soldat lui passer les menottes qui le firent aussitôt frissonner et les suivit, dignement, même s'il trouvait que la petite troupe déployée tout autour de lui était un peu exagérée. Un tout petit peu, comme s'il risquait de s'échapper alors qu'Arashi était dans les environs. Après tout, qu'est-ce qui lui avait pris de sortir à l'air libre sans personne pour l'accompagner – non, il avait tout de même laissé un mot sur son bureau des fois que – et guetter l'arrivée de ce jeune ? Il avait cru apercevoir sa silhouette, à ce garçon-là, et il n'enviait non plus ce à quoi il était destiné. Un jeune garçon aussi doué, Arashi et ses collègues allaient sans doute essayer d'en faire un de leurs sbires, voire le casser et le forcer à leur obéir. Ce qu'il détestait ces méthodes.
Le voyage dans la voiture se déroula sans trop d'encombres. Il eut juste à déplorer le confort, le manque de discussion des soldats autour de lui. Au moins quatre le braquaient de leur arme tandis que deux maintenaient ses bras. Il n'était pas Terminator, non plus ? Arashi leur avait fait si peur, en leur parlant de lui ? Une fois, il essaya de leur parler mais se ramassa un manche de mitraillette dans la visage, ce qui le fit taire et naître une rougeur bizarre sur la joue. Il comprit la leçon et n'ouvrit plus la bouche du voyage. Au bout d'une demie-heure, la voiture s'arrêta et un homme passa un bandeau sur ses yeux. Ne pas montrer qu'il était effrayé, ne pas leur faire ce plaisir. Mine de rien, son cœur battait à cent à l'heure. Il avait toujours peur de l'inconnu et cette fois était encore pire que les autres. On le mena dans un couloir – du moins le supposait-il –, cette drôle de chose lui bandant les yeux. Finalement, on le poussa quelque part – ce devait être une cellule – et ferma la porte. Un ou deux gardes devaient être restés avec lui, il les entendait respirer. Leur présence lui fut même confirmée lorsque, affolé, il tenta de se relever et un pied lui écrasa la tête pour l'inciter à rester sur le sol.
Comment dire...Il était dans la merde ? Non. Il mourrait en digne héros. Point.
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Arrivé devant les portes de son bâtiment, les voitures se séparèrent, les fourgons d'un côté emmenant les résistants dans des cellules séparées, puis la voiture d'Arashi, s’arrêta devant l'entrée, ouvrant la portière, il se hissa dehors, l'enveloppe à la main contenant certainement quelque chose qui ne lui plaisait pas à en juger son expression, il semblait plus frustré et contrarié qu'autre chose, décidément rien ne s'était passé comme il l'avait prévu, dommage il aura du retard dans les ses dossiers qui de nouveau s'empileront sur ses bureaux. s’engageant dans le grand hall , il prit l’ascenseur direction le vingt-troisième étage où se situé son bureau, deux gardes postés à l'entrée de celle-ci, c'était plus qu'étrange, d'habitude quand une pièce était aussi bien gardé c'était que ... Non ce n'est pas possible, il se dirigea en courant et ouvrit la porte de son bureau vide, il cru un instant que Kira l'attendait patiemment dans son bureau, erreur de sa part, Kira ne se déplaçait pas pour si peu. sur son bureau, une deuxième enveloppe, décidément, il avait l'impression de jouer à un jeu de piste orchestré par Kira, se sentant aussi faible qu'un pantin entre les mains de son manipulateur, il claqua la porte, se dirigea vers son bureau sur lequel il balança la première enveloppe avant de frapper violemment ses deux mains sur celui-ci, laissant une forte chaleur se répandre jusqu'aux extrémités de chacun de ses doigts. Il respira un bon coup, prit cette deuxième enveloppe, l'ouvrit et y découvrit ses nouvelles instructions, avec celles-ci se trouvait un minuscule objet dans ces petits sachets qui utilisait deux bandes transparentes s’emboîtant l'une dans l'autre pour se fermer. Il s'agissait tout simplement d'un mini émetteur, lequel une fois déposé dans l'organisme du receveur, retransmettait sa position en temps réel. Quel idée tout de même, implanter un émetteur, mais ce qu'il lu le surprit d'autant plus: "Je suis au courent pour votre capture, mes félicitations, mais il ne faut pas s'arrêter en si bon chemin, la quette d'information est primordiale dans ce genre de mission, il vous est donc impératif, de recueillir toutes les informations possibles venant du sujet, je vous laisse le soin de vous en charger personnellement, si cela s'avère productif, je tacherais de récompenser vos actions servants la bonne cause qui est celle de Kira et de la sécurité." La lettre était signée "K", il avait donc la mission d'extraire toutes les informations possible de son frère, coûte que coûte et peut importe les manières employées, à la fin le résultat devait être assez satisfaisant pour pouvoir s'accorder encore une fois les bonnes grâces de Dieu.
Il sorti de son bureau enveloppe en mains et se dirigea vers l’ascenseur qui le mènerait à la cellule ou était retenu son otage, il lui fallait pour cela, descendre jusqu'aux sous terrains, longer plusieurs longs couloirs où l'odeur de mort quasi omniprésente jusque dans les moindre recoins, mettait Arashi dans un état de concentration et de confort les deux à la fois. se remémorant toutes les têtes et visages qu'il avait peu croiser dans chaque cellule au fur et à mesure qu'il avançait, le rapprochant ainsi toujours un peu plus de celle ou se trouvait son frère, au tournant à droite, il aperçut deux gardes garder celle-ci, en voyant leur chef se diriger vers eux, ils se mirent en position de salut militaire, puis repos.
- Quelle est la situation ? *demanda Arashi à l'un des deux soldats, celui-ci s'empressa de répondre*
-Le prisonnier refuse de coopérer, un de nos hommes et actuellement avec lui, lui donnant un avant gout de ce que peut-être vos traitements Monsieur.
-Je veux que vous alliez me chercher ceci au laboratoire, c'est urgent et une fois la liste complétée revenait ici et toquez deux fois je viendrais vous ouvrir pour que vous disposiez le matériel sur la table.
-A vos ordres Monsieur. *le soldat prit la liste et au pas de course se mit en direction du laboratoire*
Arashi ouvrit la porte, une ampoule suspendu au plafond tendu par ses files d'alimentation éclairait la pièce, la lumière n'était pas très forte, mais elle permettait de créer une ambiance lourde et glauque dans celle-ci. son frère était au sol le bandeau de tissu noir toujours sur ses yeux, passant de la position de fétus à celle allongée suivant la nature des coups donnait par le soldat en guise de traitement de bienvenue dira-t-on. Arashi se dirigea aux côtés du soldats et lui glissa un ordre à l'oreille, le visage de celui-ci s'illumina d'un sourire, puis s'en suivit une pluie de coûts, s'abattant sur le corps du prisonnier. Arashi s'était assis sur une chaise en attendant le retour du soldat envoyé chercher son arsenal au laboratoire situé au rez-de-chaussé. Quelques minutes plus tard et quelques coûts passés, on toqua deux fois à la porte, Arashi se leva en direction de celle-ci, le soldat s'arrêta de frappa le corps déjà bien meurtrit du prisonnier, pour lever la tête en direction de son chef. Arashi une fois le matériel disposé sur la table par le soldat de garde, ordonna de le laisser seul avec l'otage, et qu'on ne le dérange sous aucun prétexte, leur donnant carte blanche pour aller vagabonder ou bon leur semblaient tant qu'ils ne se trouvaient pas dans ses pattes. Chose dite chose faite, le voila seul avec son frère, lui enlevant le bandeau qu'il avait sur les yeux, attendit que les yeux de son frère s'adapte à la lumière de la pièce pour pouvoir mettre deux chaises au milieu de la pièce, une pour lui et l'autre pour asseoir le corps de son frère.
- Bon et bien il me semble que tu as déjà eu notre formule de bienvenue, j'espère que cela t'auras plu, maintenant on va passer à un autre jeu, le jeu de je pose les questions et si tu ne me réponds pas correctement, la douleur sera ton châtiment et à chaque bonnes réponses je saurais faire preuve d'un peu de douceur, qu'en penses tu, tu veux y jouer ? Je crois que de toute façon dans le cas présent tu n'as pas vraiment le choix.
sur ces mots Arashi sortie une cigarette et se l'alluma expulsant la fumée de ses poumons vers la lumière créant des effets d'ombres et de lumière sur celle-ci.
Il sorti de son bureau enveloppe en mains et se dirigea vers l’ascenseur qui le mènerait à la cellule ou était retenu son otage, il lui fallait pour cela, descendre jusqu'aux sous terrains, longer plusieurs longs couloirs où l'odeur de mort quasi omniprésente jusque dans les moindre recoins, mettait Arashi dans un état de concentration et de confort les deux à la fois. se remémorant toutes les têtes et visages qu'il avait peu croiser dans chaque cellule au fur et à mesure qu'il avançait, le rapprochant ainsi toujours un peu plus de celle ou se trouvait son frère, au tournant à droite, il aperçut deux gardes garder celle-ci, en voyant leur chef se diriger vers eux, ils se mirent en position de salut militaire, puis repos.
- Quelle est la situation ? *demanda Arashi à l'un des deux soldats, celui-ci s'empressa de répondre*
-Le prisonnier refuse de coopérer, un de nos hommes et actuellement avec lui, lui donnant un avant gout de ce que peut-être vos traitements Monsieur.
-Je veux que vous alliez me chercher ceci au laboratoire, c'est urgent et une fois la liste complétée revenait ici et toquez deux fois je viendrais vous ouvrir pour que vous disposiez le matériel sur la table.
-A vos ordres Monsieur. *le soldat prit la liste et au pas de course se mit en direction du laboratoire*
Arashi ouvrit la porte, une ampoule suspendu au plafond tendu par ses files d'alimentation éclairait la pièce, la lumière n'était pas très forte, mais elle permettait de créer une ambiance lourde et glauque dans celle-ci. son frère était au sol le bandeau de tissu noir toujours sur ses yeux, passant de la position de fétus à celle allongée suivant la nature des coups donnait par le soldat en guise de traitement de bienvenue dira-t-on. Arashi se dirigea aux côtés du soldats et lui glissa un ordre à l'oreille, le visage de celui-ci s'illumina d'un sourire, puis s'en suivit une pluie de coûts, s'abattant sur le corps du prisonnier. Arashi s'était assis sur une chaise en attendant le retour du soldat envoyé chercher son arsenal au laboratoire situé au rez-de-chaussé. Quelques minutes plus tard et quelques coûts passés, on toqua deux fois à la porte, Arashi se leva en direction de celle-ci, le soldat s'arrêta de frappa le corps déjà bien meurtrit du prisonnier, pour lever la tête en direction de son chef. Arashi une fois le matériel disposé sur la table par le soldat de garde, ordonna de le laisser seul avec l'otage, et qu'on ne le dérange sous aucun prétexte, leur donnant carte blanche pour aller vagabonder ou bon leur semblaient tant qu'ils ne se trouvaient pas dans ses pattes. Chose dite chose faite, le voila seul avec son frère, lui enlevant le bandeau qu'il avait sur les yeux, attendit que les yeux de son frère s'adapte à la lumière de la pièce pour pouvoir mettre deux chaises au milieu de la pièce, une pour lui et l'autre pour asseoir le corps de son frère.
- Bon et bien il me semble que tu as déjà eu notre formule de bienvenue, j'espère que cela t'auras plu, maintenant on va passer à un autre jeu, le jeu de je pose les questions et si tu ne me réponds pas correctement, la douleur sera ton châtiment et à chaque bonnes réponses je saurais faire preuve d'un peu de douceur, qu'en penses tu, tu veux y jouer ? Je crois que de toute façon dans le cas présent tu n'as pas vraiment le choix.
sur ces mots Arashi sortie une cigarette et se l'alluma expulsant la fumée de ses poumons vers la lumière créant des effets d'ombres et de lumière sur celle-ci.
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@ Takeshi Saitô
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Un cri s'échappa de sa bouche lorsqu'il reçut le premier coup. Il ne tarda pas à recevoir le deuxième, troisième, puis, cessa vite de compter. Était-ce donc cela, la légendaire sympathie de Kira ? Sa manière de montrer combien il lui était reconnaissant – ironie, bien sûr – d'avoir contribué à ces mouvements de résistance qui lui donnaient bien du boulot. Hadès grimaça. Il n'entendait plus rien d'autre que la pluie de coups qui s'abattit sur lui. Tout d'un coup, elle se calma – l'homme espéra alors un court instant que son frère était entré et avait ordonné aux soldats de s'arrêter – mais recommençant, toujours plus violente et agressive. Il se demanda un court instant qui pouvait être le monstre qui le molestait, jetant des coups de pied dans ses coups, le saisissant parfois par les cheveux et le violentant de coups tous plus affreux les uns que les autres. Soudain, il s'arrêta. Hadès s'arrêta par terre – il n'aurait de toute évidence pas été capable de tenir là, debout, tandis que tous ses membres souffraient le martyr. Certains philosophes prônant le stoïcisme racontaient que l'on pouvait faire abstraction de la douleur mais Akira Darkwood, lui, ne comprenait pas comment. Seule l’incompréhension de ce monde injuste et encourageant ses monstres à devenir comme tels parvenaient à le tenir éveillé.
On le plaça finalement sur une chaise et lui enleva le bandeau qui l'empêchait de voir à il était confronté. Cruauté des corbeaux. Tel un pénitent mort de fatigue après une journée de dure labeur, la tête d'Hadès était baissée, et ses yeux tentèrent de s'adapter petit à petit à la faible lumière de la pièce. Il respirait rapidement et, même s'il disposait de ce fameux taser dans sa poche droite, aurait été bien incapable de le saisir et de s'en servir. Il lui semblait ne plus avoir de bras droit, et encore, son petit doigt lui disait que les minutes à venir promettaient d'être pire que tout. Mais qu'avait donc fait Arashi pour en arriver là ? Oserait-il même torturer son frère jumeau, lui qui jouait avec comme ils étaient gosse ? Akira haïssait certes le fait que son frère soit devenu un chien de Kira, mais il ne pouvait pas nier leur sang, ni leur enfance commune. Si il avait été capable d'assassiner de sang froid les gardes, cela n'aurait été de même avec Arashi, comme s'il gardait encore quelque part dans son cœur l'idée que le passé n'était pas révolu.
Foutu idéaliste.
Ne voyait-il pas Arashi Darkwood lui-même assit en face de lui ? N'entendit-il pas ses infâmes paroles qui eurent sans doute été les mêmes s'il s'était adressé à un autre membre de la Résistance ? Si. Mais Hadès s'enfermait dans une idée reçue qui le perdrait peut-être. Il avait relevé la tête pour affronter fièrement son frère, même si en face de lui, il faisait pâle figure. Akira Darkwood, après ce cadeau de bienvenue, n'était plus ce combattant qu'il avait eu l'honneur d'affronter. Seule la flamme dans les yeux restait ; pour le reste, il saignait du nez, son visage était plein de crasse, à force d'avoir été jeté sur le sol, sans parler de ses habits et de l'état de ses côtes et de ses jambes, qui auraient bien été incapables de faire un pas sans tomber.
Il vit quelques objets sur une table et serra les dents. Arashi était donc vraiment un monstre d'impassibilité qui comptait faire cela à son propre frère. Le fait de ne pas reconnaître tous les objets posés sur la table ni leur connaissance le stressait, mais il retourna regarder son frère, dont les sombres paroles l'avaient fait réagir. Il le trouvait immonde et l'odeur de la cigarette lui fit plisser le nez.
« La violence ne résout pas tout, Arashi...Tu...tu je suis ton frère, non ? Je ne te ferais jamais ça, moi. »
Sa voix était calme et maîtrisé. Les coups qu'il avait précédemment reçus lui faisaient toujours très mal, mais il tentait, juste par fierté, de garder son sérieux légendaire et affronter ce démon en face. Si Hadès avait une qualité, au moins, c'était qu'il ne fuyait pas devant l'ennemi.
« Passons aux choses sérieuses, Arashi. Tu sais très bien que je ne dirais rien. Conclusion ? Tu vas devoir me tuer ; là, tout de suite. »
C'était bien dommage, mais nécessaire. Mais Hadès savait que ce n'était pas fini. Que son frère, ou plutôt le monstre qu'il était devenu, tenterait de lui faire lâcher ses informations sous la torture. Tiendrait-il ? Se rendait-il compte qu'il avait attrapé un très gros poisson ? Il ne valait mieux pas trop lui donner d'indices...
On le plaça finalement sur une chaise et lui enleva le bandeau qui l'empêchait de voir à il était confronté. Cruauté des corbeaux. Tel un pénitent mort de fatigue après une journée de dure labeur, la tête d'Hadès était baissée, et ses yeux tentèrent de s'adapter petit à petit à la faible lumière de la pièce. Il respirait rapidement et, même s'il disposait de ce fameux taser dans sa poche droite, aurait été bien incapable de le saisir et de s'en servir. Il lui semblait ne plus avoir de bras droit, et encore, son petit doigt lui disait que les minutes à venir promettaient d'être pire que tout. Mais qu'avait donc fait Arashi pour en arriver là ? Oserait-il même torturer son frère jumeau, lui qui jouait avec comme ils étaient gosse ? Akira haïssait certes le fait que son frère soit devenu un chien de Kira, mais il ne pouvait pas nier leur sang, ni leur enfance commune. Si il avait été capable d'assassiner de sang froid les gardes, cela n'aurait été de même avec Arashi, comme s'il gardait encore quelque part dans son cœur l'idée que le passé n'était pas révolu.
Foutu idéaliste.
Ne voyait-il pas Arashi Darkwood lui-même assit en face de lui ? N'entendit-il pas ses infâmes paroles qui eurent sans doute été les mêmes s'il s'était adressé à un autre membre de la Résistance ? Si. Mais Hadès s'enfermait dans une idée reçue qui le perdrait peut-être. Il avait relevé la tête pour affronter fièrement son frère, même si en face de lui, il faisait pâle figure. Akira Darkwood, après ce cadeau de bienvenue, n'était plus ce combattant qu'il avait eu l'honneur d'affronter. Seule la flamme dans les yeux restait ; pour le reste, il saignait du nez, son visage était plein de crasse, à force d'avoir été jeté sur le sol, sans parler de ses habits et de l'état de ses côtes et de ses jambes, qui auraient bien été incapables de faire un pas sans tomber.
Il vit quelques objets sur une table et serra les dents. Arashi était donc vraiment un monstre d'impassibilité qui comptait faire cela à son propre frère. Le fait de ne pas reconnaître tous les objets posés sur la table ni leur connaissance le stressait, mais il retourna regarder son frère, dont les sombres paroles l'avaient fait réagir. Il le trouvait immonde et l'odeur de la cigarette lui fit plisser le nez.
« La violence ne résout pas tout, Arashi...Tu...tu je suis ton frère, non ? Je ne te ferais jamais ça, moi. »
Sa voix était calme et maîtrisé. Les coups qu'il avait précédemment reçus lui faisaient toujours très mal, mais il tentait, juste par fierté, de garder son sérieux légendaire et affronter ce démon en face. Si Hadès avait une qualité, au moins, c'était qu'il ne fuyait pas devant l'ennemi.
« Passons aux choses sérieuses, Arashi. Tu sais très bien que je ne dirais rien. Conclusion ? Tu vas devoir me tuer ; là, tout de suite. »
C'était bien dommage, mais nécessaire. Mais Hadès savait que ce n'était pas fini. Que son frère, ou plutôt le monstre qu'il était devenu, tenterait de lui faire lâcher ses informations sous la torture. Tiendrait-il ? Se rendait-il compte qu'il avait attrapé un très gros poisson ? Il ne valait mieux pas trop lui donner d'indices...
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@ Invité
Arashi, heureux de vois que son interlocuteur réagissait à ses piques, ne peu s'empêcher de plisser les lèvres, avec une sorte de sourire à demis caché. Les réponses de son frère n'avaient faite qu'un tour dans la tête, et son incitation à le tuer lui fit reprendre son sérieux, écrasant sa cigarette à moitié fumée par terre, il lui dit.
- Ah oui c'est vrais que te tuer tout de suite serait très productif en soit, non non non, j'ai bien d'autres projets pour nous deux, nous allons passer un long moment tout les deux, et je suis sur que nous avons plein de chose à nous dire.
*Fit claquer ses deux mains sur ses cuisses, puis prit appuis sur celles-ci pour se lever, se dirigea vers la table, regardant de gauche à droite ce que lui avait apporté le soldat, tous les outils étaient disposés de façon à former un ordre de grandeur, et par catégories, cela allait des différentes seringues et leurs liquides tous classés suivant leur niveau d’intensité, puis les scalpels, du plus fin au plus denté, et on arrivait dans ce qu'Arashi répertoriait comme étant des armes de torture massive, tourne vice, crochet, scie, cependant il ne vouait pas une très grande attirance pour ce genre d'outils, les trouvant trop développés et faisait naître une terreur immédiat sur celui qui allait en faire les frais. Non Arashi lui préférait laissait à l'invité le temps de réfléchir et de se rendre compte au fur et à mesure de ce que lui mijoter celui-ci, pour ensuite voir naître cette lueur dans les yeux du malheureux, cette peur, cette terreur, qui pouvait aller jusqu'à que celui-ci se mette à le supplier pour l'achever ou le prendre par pitié.
Arashi disposa dans une grosse seringue la troisième en ordre croissant l’émetteur contenu dans le petit sachet à zip fournit dans l'enveloppe histoire de préparer le terrain pour avoir le temps de commencer tranquillement et en douceur.
- J'ai demandé à ce qu'on me fournisse un arsenal spécialement préparer pour toi, ce n'est pas tous les jours que l'on reçoit la visite d'un membre de sa famille, et on veut bien sûr faire durer le plaisir jusqu'au bout! Alors qu'attendons nous, mettons nous à table tout de suite. Je te sens impatient, où peut-être que c'est moi tout simplement qui suis impatient de faire joujou avec mon frère comme au bon vieux temps tu te souviens ? * Tout en prenant en main la première seringue il se dirigea vers son frère, puis retourna sur sa chaise, faisant passer la seringue d'une main à l'autre.
-Tu sais ce que c'est ? c'est un mélange à base d'acide, de morphine et de glucose, un petit bijou de nos laboratoires, il a pour propriété de procurer quelques douleurs, une gène et le plus formidable c'est que ce liquide à été créé de façon à ce qu'il ne pénètre pas le système sanguin, du coup il stagne dans les muscles, les graisses et il ne peut-être irradier qu'a partir d'un autre mélange faisant office de contre poison si tu veux, d'habitude je n'ai pas besoin d'augmenter dans l'échelle de la douleur mais peut-être qu'avec toi ce sera différent.
Il se leva et se mit derrière son frère lui glissant à l'oreille avant de lui faire l'injection:
- En souvenir du bon temps ... tu sais que j'y repense souvent, à tout ce qu'on avait, une famille, une doctrine, un rêve, je vais souvent les voire tu sais, ils aiment beaucoup les fleurs, ah je pense que ça va bientôt faire effet, régales toi.
Puis se remit assis sur sa chaise, contemplant son frère partagé entre ce qui devait être une once de nostalgie et les premières douleurs, nostalgie qu'Arashi s'était permis d'éprouver une fois en ce jour, et qui s'empressa de cacher au plus profond de lui même.
- Ah oui c'est vrais que te tuer tout de suite serait très productif en soit, non non non, j'ai bien d'autres projets pour nous deux, nous allons passer un long moment tout les deux, et je suis sur que nous avons plein de chose à nous dire.
*Fit claquer ses deux mains sur ses cuisses, puis prit appuis sur celles-ci pour se lever, se dirigea vers la table, regardant de gauche à droite ce que lui avait apporté le soldat, tous les outils étaient disposés de façon à former un ordre de grandeur, et par catégories, cela allait des différentes seringues et leurs liquides tous classés suivant leur niveau d’intensité, puis les scalpels, du plus fin au plus denté, et on arrivait dans ce qu'Arashi répertoriait comme étant des armes de torture massive, tourne vice, crochet, scie, cependant il ne vouait pas une très grande attirance pour ce genre d'outils, les trouvant trop développés et faisait naître une terreur immédiat sur celui qui allait en faire les frais. Non Arashi lui préférait laissait à l'invité le temps de réfléchir et de se rendre compte au fur et à mesure de ce que lui mijoter celui-ci, pour ensuite voir naître cette lueur dans les yeux du malheureux, cette peur, cette terreur, qui pouvait aller jusqu'à que celui-ci se mette à le supplier pour l'achever ou le prendre par pitié.
Arashi disposa dans une grosse seringue la troisième en ordre croissant l’émetteur contenu dans le petit sachet à zip fournit dans l'enveloppe histoire de préparer le terrain pour avoir le temps de commencer tranquillement et en douceur.
- J'ai demandé à ce qu'on me fournisse un arsenal spécialement préparer pour toi, ce n'est pas tous les jours que l'on reçoit la visite d'un membre de sa famille, et on veut bien sûr faire durer le plaisir jusqu'au bout! Alors qu'attendons nous, mettons nous à table tout de suite. Je te sens impatient, où peut-être que c'est moi tout simplement qui suis impatient de faire joujou avec mon frère comme au bon vieux temps tu te souviens ? * Tout en prenant en main la première seringue il se dirigea vers son frère, puis retourna sur sa chaise, faisant passer la seringue d'une main à l'autre.
-Tu sais ce que c'est ? c'est un mélange à base d'acide, de morphine et de glucose, un petit bijou de nos laboratoires, il a pour propriété de procurer quelques douleurs, une gène et le plus formidable c'est que ce liquide à été créé de façon à ce qu'il ne pénètre pas le système sanguin, du coup il stagne dans les muscles, les graisses et il ne peut-être irradier qu'a partir d'un autre mélange faisant office de contre poison si tu veux, d'habitude je n'ai pas besoin d'augmenter dans l'échelle de la douleur mais peut-être qu'avec toi ce sera différent.
Il se leva et se mit derrière son frère lui glissant à l'oreille avant de lui faire l'injection:
- En souvenir du bon temps ... tu sais que j'y repense souvent, à tout ce qu'on avait, une famille, une doctrine, un rêve, je vais souvent les voire tu sais, ils aiment beaucoup les fleurs, ah je pense que ça va bientôt faire effet, régales toi.
Puis se remit assis sur sa chaise, contemplant son frère partagé entre ce qui devait être une once de nostalgie et les premières douleurs, nostalgie qu'Arashi s'était permis d'éprouver une fois en ce jour, et qui s'empressa de cacher au plus profond de lui même.
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@ Takeshi Saitô
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A quoi avait bien pu ressembler leur enfance ? Il lui semblait qu'elle avait passé tellement vite qu'il n'en restait plus que des bribes, éparpillés un peu partout. Quelques gerbes de fleurs au cimetière et puis une grande maison dans laquelle devait maintenant vivre Arashi Darkwood. Il le supposait seulement car il n'avait jamais fait trop de recherches. Ne jamais se tenir trop près de son frère jumeau, c'était là son grand principe. Voilà ce qui arrivait lorsqu'on s'en tenait trop près : il suffisait de le voir à ce moment-là. Il était couvert d’ecchymoses et le pire, c'est qu'au lieu de le défendre, son frère, son propre sang semblait vouloir prolonger ses douleurs. Ainsi, ils avaient pleins de choses à se dire ? Il craignait ce ne soit réciproque. Arashi allait être si déçu qu'il aurait sûrement envie de lui faire encore plus mal, et Hadès ne souhaitait pas cela. Il n'y était pas préparé – et qui, à part sans donc James Bond, le digne super héros parfait – était préparé à la torture, qu'elle soit mentale ou physique ? Son frère le narguait, comme s'il était vraiment fier de le recevoir dans ce lieu et comme n'importe quelle ménagère, de lui faire découvrir à lui, invité, les petites merveilles de cuisine qu'il pouvait faire.
Akira eut une grande inspiration, puis, serra à nouveau des dents. Il était affreux. Le système l'avait totalement bouffé et il s'était transformé en monstre digne de Kira. Maintenant, Akira peinait à reconnaître le frère avec lequel il partageait repas, entraînements et jouait. Il avait bien dit d'un ton sadique qu'il serait son joujou, c'était ça ? S'il s'était résigné à ne pas trop espérer à son sujet, Hadès était tout de même bien déçu sur ce qu'Arashi était devenu. N'aurait-il pas pu améliorer le système de l'intérieur, au lieu de l'empirer ? Il lui faisait vraiment honte...Si son grand-père avait pu voir ce qu'il était devenu, il aurait bien eu honte ; malheureusement, le vieille homme s'était éparpillé dans les airs, comme il le désirait, et c'était sans doute mieux pour lui. Il n'avait vu la Dictature s'épanouir et Kira leur imposer toutes ces lois qui ne tardèrent à les conduire à leur perte.
Hadès savait qu'il n'y avait pas que le Japon qui organisait une résistance. C'était juste qu'il était plus dangereux de résister dans ce pays, étant donné qu'il était le quartier général de Kira. Il avait entendu dire que des résistants se réunissait dans des coins paumés de l'Amazonie et fomentaient des attentats importants. Le groupe des hackeurs, même, était tellement éclectiques que Kira, même si ces personnes se trouvaient au Japon, ne réussirait jamais à mettre la main dessus. Le petit discours de son frère lui indiqua que bientôt, il allait se tordre de douleur. Hadès ferma les yeux, essayant de se calmer le plus possible pendant qu'il en était encore temps et sentit la seringue rentrer dans sa peau. Quant aux paroles d'Arashi, il les ignora, cela lui ferait beaucoup trop plaisir, qu'il lui réponde à sa putain de réplique.
Et il recommença à souffrir. Ce fut léger au début pour finalement se transformer en des espèces de crampes insupportables. Hadès se crispa, grinça des dents et serra les poings, se faisant du mal avec les menottes en essayant de les écarter. Il n'allait pas crier, il n'allait pas crier. Ça lui ferait beaucoup trop plaisir. Il fallait se comporter devant son bourreau comme si cela était parfaitement normal.
« Je crois que tu vas..gn...de...voir augmenter la dose ! Hé..hé ! »
Il tenta de lui sourire mais ce truc ressembla plus à une grimace qu'autre chose.
« Je pensais malgré..ha...tout...que tu étais...devenu quelqu'un de bien, Arashi ! Je..ahhh ! Si tu savais à quel point je regrette le temps de notre...enfance ! Si seulement tu n'étais pas...aïe..de..devenu son chien. Je trouve ça dommage...tu étais si ...si doué...et maintenant, tu es là...là en face de moi. Qui croirait que nous sommes frère ? Monstre ! Haa ! »
Le produit s'enflamma un peu plus dans ses tissus et Hadès ne put retenir un cri. Il ne parlerait pas, en tout cas. Plutôt mourir.
Akira eut une grande inspiration, puis, serra à nouveau des dents. Il était affreux. Le système l'avait totalement bouffé et il s'était transformé en monstre digne de Kira. Maintenant, Akira peinait à reconnaître le frère avec lequel il partageait repas, entraînements et jouait. Il avait bien dit d'un ton sadique qu'il serait son joujou, c'était ça ? S'il s'était résigné à ne pas trop espérer à son sujet, Hadès était tout de même bien déçu sur ce qu'Arashi était devenu. N'aurait-il pas pu améliorer le système de l'intérieur, au lieu de l'empirer ? Il lui faisait vraiment honte...Si son grand-père avait pu voir ce qu'il était devenu, il aurait bien eu honte ; malheureusement, le vieille homme s'était éparpillé dans les airs, comme il le désirait, et c'était sans doute mieux pour lui. Il n'avait vu la Dictature s'épanouir et Kira leur imposer toutes ces lois qui ne tardèrent à les conduire à leur perte.
Hadès savait qu'il n'y avait pas que le Japon qui organisait une résistance. C'était juste qu'il était plus dangereux de résister dans ce pays, étant donné qu'il était le quartier général de Kira. Il avait entendu dire que des résistants se réunissait dans des coins paumés de l'Amazonie et fomentaient des attentats importants. Le groupe des hackeurs, même, était tellement éclectiques que Kira, même si ces personnes se trouvaient au Japon, ne réussirait jamais à mettre la main dessus. Le petit discours de son frère lui indiqua que bientôt, il allait se tordre de douleur. Hadès ferma les yeux, essayant de se calmer le plus possible pendant qu'il en était encore temps et sentit la seringue rentrer dans sa peau. Quant aux paroles d'Arashi, il les ignora, cela lui ferait beaucoup trop plaisir, qu'il lui réponde à sa putain de réplique.
Et il recommença à souffrir. Ce fut léger au début pour finalement se transformer en des espèces de crampes insupportables. Hadès se crispa, grinça des dents et serra les poings, se faisant du mal avec les menottes en essayant de les écarter. Il n'allait pas crier, il n'allait pas crier. Ça lui ferait beaucoup trop plaisir. Il fallait se comporter devant son bourreau comme si cela était parfaitement normal.
« Je crois que tu vas..gn...de...voir augmenter la dose ! Hé..hé ! »
Il tenta de lui sourire mais ce truc ressembla plus à une grimace qu'autre chose.
« Je pensais malgré..ha...tout...que tu étais...devenu quelqu'un de bien, Arashi ! Je..ahhh ! Si tu savais à quel point je regrette le temps de notre...enfance ! Si seulement tu n'étais pas...aïe..de..devenu son chien. Je trouve ça dommage...tu étais si ...si doué...et maintenant, tu es là...là en face de moi. Qui croirait que nous sommes frère ? Monstre ! Haa ! »
Le produit s'enflamma un peu plus dans ses tissus et Hadès ne put retenir un cri. Il ne parlerait pas, en tout cas. Plutôt mourir.
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-Monstre tu dis, mais tu ne vois donc pas que tout autour de toi n'est qu'abomination ? L'Homme en lui même et le plus grand monstre créé par la nature et je suis sur que si elle voyait ce qu'il est devenu, elle n'hésiterait pas à tous nous flinguer, mais Kira lui se charge de ça pour nous, il nous débarrasse des rebuts, des monstres comme tu les appelles, mais encore une fois je perd mon temps à parler à un mur. Qui est votre chef !?
*Arashi se situant devant le visage de son frère, face à face, ses deux mains lui tenant le haut des bras, et refermant son étreinte de plus en plus de telle sorte à exercer une pression sur les deux membres*
-N'essaies pas de m'attendrir avec tes sois disant questions rhétoriques faisant appellent à notre passé, ça ne prend pas sur moi, ce qui est derrière et révolu, ce qui m'importe maintenant c'est le présent et le futur, en parlant du passé, on ne nous à jamais apprit à ne pas se soucier du passé ? Il me semble pourtant que si, mais tu étais certainement trop occupé à te remplir l'esprit de tous ces auteurs philosophes de tous pays, ce sont eux qui t'on corrompu à te mettre des belles idées révolutionnaires, de paix universelle, et j'en passe, bon Dieu tu n'as jamais vu ce qu'étais le vrais monde !!!!!
*Arashi avait le visage injecté de sang, il perdait son calme, il n'avait pas l'habitude de discuter avec son frère, en même temps cela faisait si longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu et n'avaient pas entretenu ce genre de discussion.*
-Tu veux un monstre, très bien je vais t'en donner un!
Arashi tout en marchant en direction de la table donnait l'impression d'avoir ce genre de crise d'hassme, quand il était sur les nerfs c'était sa seule façon de se calmer, respirer fort pour évacuer toute cette colère que si il laissait échapper le plongerait dans un tel état de fury qu'il serait incapable de faire la différence entre famille, ami, ennemis. Il écarta tout sur la table faisant valser tous les objets à par les seringues, ce qui lui valut quelques coupures sur les mains et avant bras faites par les scalpels, de véritables lames de rasoirs comme il pouvait le constater, puis saisit la deuxième seringue la remplissant du deuxième sérum, il devait réussir à se calmer car ses mais tremblaient comme deux feuilles mortes. Il prit donc une profonde respiration comme lui avaient enseigné ses ancêtres, puis se fixer un point imaginaire, pour ensuite reprendre le contrôle de son corps, ce qui fut à moitié le cas, preuve qu'il était énervé. Puis se retourna vers son frère, celui-ci déjà bien amoché allait de nouveau goûter les frais de ses paroles sur son frère. L'injection fut quasi instantané, il n'en déversa que les trois quart cependant, avant de balancer la seringue contre le mur qui se brisa en mille morceaux, répandant le reste du sérum sur le mur en millier de petites gouttelettes. Les coupures présentent sur ses mains le démangeaient, même si les coupures étaient peu profondes, elles laissaient échapper plusieurs goûtes de sang, qui à un moment se réunissaient à un même endroit pour former une goûte plus grosse encore qui ne manqua pas de tomber sur le sol, déjà marqué du sang de ses anciennes victimes.
- Et si ce n'est pas suffisant dis toi que j'en ai d'autre encore en réserve!
Il se dirigea vers le mur gauche s'éloignant de la zone de lumière faite par la pauvre ampoule suspendu au plafond qui avait décidément beaucoup de peine à faire correctement son travail. Disposa ses deux mains sur celui-ci à distance égale, comme si il voulait exercer une pression pour faire écrouler celui-ci, puis les resserrant pour former deux points, ne manquant pas de s égratigner la peau de chaque doigt, il fallait qu'il évacue cette pression quitte à se faire mal pour l'obliger à retrouver ses esprits. Puis ce mit dos au mur en faisant un demis tour sur le même, lui donnant la vision de son frère agonisant sur cette chaise, peut-être était-ce cette vision qui le mettait dans tous ces états car au fond, on ne pouvait pas nier l'existence d'un même sang coulant dans leurs veines.
Il sorti alors un flacon se trouvant dans une de ses poches de pantalon, se dirigea vers la table pour prendre la première seringue lui ayant servit à faire la première injection, la remplit de ce liquide inconnu, puis se l'infligea à lui même, avant de recommencer le même procédé s'avança vers le bras de son frère découvrit son épaule et lui fit l'injection.
- Voila qui te fera du bien à moi comme à toi, le sérum agit lentement sur la partie du cerveau qui traduit les messages nerveux par de la douleur ou des émotions trop forte. J'arrive pas à croire que tu m'auras poussé à le faire, ça faisait depuis pas mal de temps que je n'y avait pas recouru, la dernière fois c'était dans mes débuts dans les rangs de Kira, pour mes premiers interrogatoires, je devais avoir ça sur moi pour me calmer et ne pas tuer trop vite les prisonniers.
Voila qu'il commençait à se calmer, parlant plus lentement et retrouvant son calme de départ, son frère aussi commençait à ressentir les effets du produits sauf que contrairement à lui il avait l'habitude d'user de se sérum pas son frère, ce qui le plongea dans une sorte de léthargie, dissipant les douleurs, même si les deux premiers produits étaient encore présent en fine dose dans son organisme. Il était donc temps de passer à l’implantation de l’émetteur.
*Arashi se situant devant le visage de son frère, face à face, ses deux mains lui tenant le haut des bras, et refermant son étreinte de plus en plus de telle sorte à exercer une pression sur les deux membres*
-N'essaies pas de m'attendrir avec tes sois disant questions rhétoriques faisant appellent à notre passé, ça ne prend pas sur moi, ce qui est derrière et révolu, ce qui m'importe maintenant c'est le présent et le futur, en parlant du passé, on ne nous à jamais apprit à ne pas se soucier du passé ? Il me semble pourtant que si, mais tu étais certainement trop occupé à te remplir l'esprit de tous ces auteurs philosophes de tous pays, ce sont eux qui t'on corrompu à te mettre des belles idées révolutionnaires, de paix universelle, et j'en passe, bon Dieu tu n'as jamais vu ce qu'étais le vrais monde !!!!!
*Arashi avait le visage injecté de sang, il perdait son calme, il n'avait pas l'habitude de discuter avec son frère, en même temps cela faisait si longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu et n'avaient pas entretenu ce genre de discussion.*
-Tu veux un monstre, très bien je vais t'en donner un!
Arashi tout en marchant en direction de la table donnait l'impression d'avoir ce genre de crise d'hassme, quand il était sur les nerfs c'était sa seule façon de se calmer, respirer fort pour évacuer toute cette colère que si il laissait échapper le plongerait dans un tel état de fury qu'il serait incapable de faire la différence entre famille, ami, ennemis. Il écarta tout sur la table faisant valser tous les objets à par les seringues, ce qui lui valut quelques coupures sur les mains et avant bras faites par les scalpels, de véritables lames de rasoirs comme il pouvait le constater, puis saisit la deuxième seringue la remplissant du deuxième sérum, il devait réussir à se calmer car ses mais tremblaient comme deux feuilles mortes. Il prit donc une profonde respiration comme lui avaient enseigné ses ancêtres, puis se fixer un point imaginaire, pour ensuite reprendre le contrôle de son corps, ce qui fut à moitié le cas, preuve qu'il était énervé. Puis se retourna vers son frère, celui-ci déjà bien amoché allait de nouveau goûter les frais de ses paroles sur son frère. L'injection fut quasi instantané, il n'en déversa que les trois quart cependant, avant de balancer la seringue contre le mur qui se brisa en mille morceaux, répandant le reste du sérum sur le mur en millier de petites gouttelettes. Les coupures présentent sur ses mains le démangeaient, même si les coupures étaient peu profondes, elles laissaient échapper plusieurs goûtes de sang, qui à un moment se réunissaient à un même endroit pour former une goûte plus grosse encore qui ne manqua pas de tomber sur le sol, déjà marqué du sang de ses anciennes victimes.
- Et si ce n'est pas suffisant dis toi que j'en ai d'autre encore en réserve!
Il se dirigea vers le mur gauche s'éloignant de la zone de lumière faite par la pauvre ampoule suspendu au plafond qui avait décidément beaucoup de peine à faire correctement son travail. Disposa ses deux mains sur celui-ci à distance égale, comme si il voulait exercer une pression pour faire écrouler celui-ci, puis les resserrant pour former deux points, ne manquant pas de s égratigner la peau de chaque doigt, il fallait qu'il évacue cette pression quitte à se faire mal pour l'obliger à retrouver ses esprits. Puis ce mit dos au mur en faisant un demis tour sur le même, lui donnant la vision de son frère agonisant sur cette chaise, peut-être était-ce cette vision qui le mettait dans tous ces états car au fond, on ne pouvait pas nier l'existence d'un même sang coulant dans leurs veines.
Il sorti alors un flacon se trouvant dans une de ses poches de pantalon, se dirigea vers la table pour prendre la première seringue lui ayant servit à faire la première injection, la remplit de ce liquide inconnu, puis se l'infligea à lui même, avant de recommencer le même procédé s'avança vers le bras de son frère découvrit son épaule et lui fit l'injection.
- Voila qui te fera du bien à moi comme à toi, le sérum agit lentement sur la partie du cerveau qui traduit les messages nerveux par de la douleur ou des émotions trop forte. J'arrive pas à croire que tu m'auras poussé à le faire, ça faisait depuis pas mal de temps que je n'y avait pas recouru, la dernière fois c'était dans mes débuts dans les rangs de Kira, pour mes premiers interrogatoires, je devais avoir ça sur moi pour me calmer et ne pas tuer trop vite les prisonniers.
Voila qu'il commençait à se calmer, parlant plus lentement et retrouvant son calme de départ, son frère aussi commençait à ressentir les effets du produits sauf que contrairement à lui il avait l'habitude d'user de se sérum pas son frère, ce qui le plongea dans une sorte de léthargie, dissipant les douleurs, même si les deux premiers produits étaient encore présent en fine dose dans son organisme. Il était donc temps de passer à l’implantation de l’émetteur.
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@ Takeshi Saitô
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Hadès tentait d'écouter ce que pouvait bien lui dire son frère, malgré le malaise qu'il pouvait bien ressentir. Et il ne parvenait pas à trouver le sens de ce qu'il pouvait bien dire là. Qu'il le sache, il lui reprochait d'avoir trop lu dans un temps où il aurait peut-être dû sortir à l'extérieur juger par lui-même. Arashi était-il débile et n'avait-il pas retenu les leçons que les précédents siècles leur avaient donné ? Il avait traité les philosophes de « débiles », mais lui...lui, sur quel critère s'appuyait-il pour dire cela ? Pourquoi croyait-il que la culture était toujours le premier objet visé, quelque soit le régime autocratique en place ? Sous la Chine de Mao, révolution culturelle, c'était les instituteurs et tout ce train-train qui avait été mis au boulot dans les campagnes. Plus tôt, lors du IIIe Reich d'un certain moustachu, un gigantesque autodafé avait été allumé pour supprimer les livres un peu trop gênant et pouvant contester le nouveau régime. Le révolutionnaire n'était pas ce type qui lisait des philosophes et prenait du recul pour juger la situation. Non, en contraire. Les rebelles n'étaient même pas des révolutionnaires, en ce sens qu'ils voulaient globalement tous revenir au régime d'avant. Arashi se fourvoyait totalement et Kira l'avait totalement endoctriné. La véritable révolutionnaire étaient eux, les fidèles à Kira. Ceux qui avaient contesté le régime actuel et avaient pris les rênes du pouvoir. Mais comment lui dire cela sans qu'il ne lui dise de nouveau sans )argumentation que tous ses dires étaient faux ? Pour eux, fidèle à ce Dieu, tout ce qui sortait de sa seule bouche était véridique. Le reste n'était que mensonge, combien même ces soit-disant mensonges avaient démontré leur véridicité bien souvent.
Devant lui, ce qu'il vit d'autre, c'était son frère dans tous ses états, ce qu'il ne comprit pas. Akira Darkwood avait tendance à prendre son temps avant d'émettre un jugement, or, surtout dans une situation comme cela, il ne pouvait pas prétendre comprendre ce que lui faisait son frère. A moins qu'il n'eut des remords et que son cœur le torturait ? Akira eut une grimace de plus : ce n'était pas bon, mais pas du tout. Ce genre d'émotions qui se confrontaient, cela ne pouvait être pas quelque chose de bon pour lui. Vraiment...Ce qui se passait lui fit véritablement peur : voir tous ces objets, scalpels être renversés, comme cela était un peu effrayant. Hadès se mordit la lèvre, priant un être invisible pour qu'Arashi ne fut pas blessé. Au fond, il s'inquiétait plus pour son frère que pour lui-même. Même s'il avait fait l'erreur de se laisser piéger par Kira, il était tout de même son frère ; ce devait être dur pour lui.
Il n'eut pas le temps d'y penser, Arashi ayant déjà enfoncé une deuxième seringue dans son bras ; et son produit fit très vite effet. Trop vite. Hadès se mit cette fois-ci à crier, sentant ses muscles, tout son corps être brûlé à vif de l'intérieur. Quelque chose qui ressemblait à des larmes commencèrent à couler le long de ses joues, sans même qu'il n'en émit le désir : d'ailleurs, la douleur était trop forte pour qu'il arrive même à penser. Il ne pourrait articuler le moindre mot tant qu'il serait comme cela, et son frère le savait sans doute parfaitement. Cette fois-ci, il était à la limite de tout lâcher et d'abandonner mais savait que son sort serait encore pire s'ils savaient qui il était réellement...un chef de la résistance. Après quelques minutes de pure souffrance où même les mots ne sont suffisants pour décrire ce qu'Hadès avait réellement ressenti, son frère enfonça une autre seringue sous sa peau. Le produit suivant fit effet après trente secondes. Hadès avait toujours très mal, mais pas autant qu'il y avait une minute, si l'on pouvait dire cela. Il recommença à tenter de respirer calmement mais avait l'impression de ne pas trop pouvoir parvenir à réfléchir. Que voulait-il lui dire, déjà ? Il était totalement perdu ; même ses idées sur la Résistance étaient floues. Qu'est-ce que son frère étaient en train de lui faire ? Il avait l'impression d'avoir trop couru et forcé sur quelque chose ; ses muscles lui brûlaient, de même pour ses poumons. Ah si ! Kira, Hobbes.
« Tu...ahhh...tu...n'y arriveras pas comme ça...Arashi..Mais...tu as...ah...oublié que la culture...culture est...et l'histoire...sont essentielles...pour pas répéter les erreurs du...passé ! »
Soudain, il tomba brusquement sur le sol, beaucoup trop faible pour pouvoir tenir son buste en position assise. Il savait qu'il pouvait mourir, là, tout de suite. Mais il ne le ferait pas, il ne voulait pas infliger ce traumatisme à son frère. La plupart des résistants se faisaient implanter une fausse dent remplie de poison, un qui tue rapidement et est efficace. Il ne ferait pas cela.
« Il...ah...ya pas de chef...juste...juste des cerveaux ! »
Devant lui, ce qu'il vit d'autre, c'était son frère dans tous ses états, ce qu'il ne comprit pas. Akira Darkwood avait tendance à prendre son temps avant d'émettre un jugement, or, surtout dans une situation comme cela, il ne pouvait pas prétendre comprendre ce que lui faisait son frère. A moins qu'il n'eut des remords et que son cœur le torturait ? Akira eut une grimace de plus : ce n'était pas bon, mais pas du tout. Ce genre d'émotions qui se confrontaient, cela ne pouvait être pas quelque chose de bon pour lui. Vraiment...Ce qui se passait lui fit véritablement peur : voir tous ces objets, scalpels être renversés, comme cela était un peu effrayant. Hadès se mordit la lèvre, priant un être invisible pour qu'Arashi ne fut pas blessé. Au fond, il s'inquiétait plus pour son frère que pour lui-même. Même s'il avait fait l'erreur de se laisser piéger par Kira, il était tout de même son frère ; ce devait être dur pour lui.
Il n'eut pas le temps d'y penser, Arashi ayant déjà enfoncé une deuxième seringue dans son bras ; et son produit fit très vite effet. Trop vite. Hadès se mit cette fois-ci à crier, sentant ses muscles, tout son corps être brûlé à vif de l'intérieur. Quelque chose qui ressemblait à des larmes commencèrent à couler le long de ses joues, sans même qu'il n'en émit le désir : d'ailleurs, la douleur était trop forte pour qu'il arrive même à penser. Il ne pourrait articuler le moindre mot tant qu'il serait comme cela, et son frère le savait sans doute parfaitement. Cette fois-ci, il était à la limite de tout lâcher et d'abandonner mais savait que son sort serait encore pire s'ils savaient qui il était réellement...un chef de la résistance. Après quelques minutes de pure souffrance où même les mots ne sont suffisants pour décrire ce qu'Hadès avait réellement ressenti, son frère enfonça une autre seringue sous sa peau. Le produit suivant fit effet après trente secondes. Hadès avait toujours très mal, mais pas autant qu'il y avait une minute, si l'on pouvait dire cela. Il recommença à tenter de respirer calmement mais avait l'impression de ne pas trop pouvoir parvenir à réfléchir. Que voulait-il lui dire, déjà ? Il était totalement perdu ; même ses idées sur la Résistance étaient floues. Qu'est-ce que son frère étaient en train de lui faire ? Il avait l'impression d'avoir trop couru et forcé sur quelque chose ; ses muscles lui brûlaient, de même pour ses poumons. Ah si ! Kira, Hobbes.
« Tu...ahhh...tu...n'y arriveras pas comme ça...Arashi..Mais...tu as...ah...oublié que la culture...culture est...et l'histoire...sont essentielles...pour pas répéter les erreurs du...passé ! »
Soudain, il tomba brusquement sur le sol, beaucoup trop faible pour pouvoir tenir son buste en position assise. Il savait qu'il pouvait mourir, là, tout de suite. Mais il ne le ferait pas, il ne voulait pas infliger ce traumatisme à son frère. La plupart des résistants se faisaient implanter une fausse dent remplie de poison, un qui tue rapidement et est efficace. Il ne ferait pas cela.
« Il...ah...ya pas de chef...juste...juste des cerveaux ! »
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@ Invité
« Il...ah...ya pas de chef...juste...juste des cerveaux ! »
Dans ce cas, ils leur manquaient un leader, ce que de son côté Arashi possédait, c'est ce qu'il pensait. Le corps de son frère étendu sur le sol, semblait épuisé et sans force, le produit devait faire son effet, stabiliser l'état du receveur, puis le plonger dans une sorte d'immobilité temporaire, jusqu'à enlever la plus petit douleur. Attendant le dernier moment sur sa chaise, Arashi réfléchissait, sur presque tout ce qui avait un rapport avec lui, son frère, Kira, ses agissements, ..., mais le moment était mal choisis il fallait qu'il procède à l’implantation de l'émetteur, sans plus attendre il se dirigea vers le table, la seringue était reprise des anciens modèles de seringue que ses parents avaient eu, elle était longue, on la saisissait comme une agrafeuse manuel, un réceptacle se trouvait relié à l’appareil avec un angle de 10 degrés, pouvant de dévisser afin d'y mettre l’échantillon à injecter, puis l'injection se faisait par l'intermédiaire d'une petite aiguille en taille, d'une valeur d'un centimètre et demis mais assez large pour pouvoir laisser passer des corps étrangers d'une envergure d'à peine un centimètre ce qui ne manquait pas toute fois d'impressionner Arashi, ce n'était pas gros non plus mais le faite de manipuler l'objet lui donna une impression autre que celle qu'il avait quand il voyait l'objet posé sur la table.
Il mit la seringue dans sa main droite, s'approcha de son frère, qui n'avait plus l'air de ressentir quoi que ce soit ou de comprendre quoi que ce soit, il souleva la patte gauche du pantalon de celui-ci jusqu'au haut du mollet, le tout s'offrant à lui, il déposa l'instrument sur celui-ci pinçant un endroit du mollet avec son autre main pour accumuler un peu de peau, puis pressa la détente, un bruit sourd suivit d'un choc émanent de l'instrument qui fit trembler très légèrement sa main avec laquelle il le tenait ainsi que le mollet de son frère, il retira l'aiguille puis fit un point de pression avec son pouce de la main gauche, attendit 1 minute et relâcha, puis un petit point rouge de la taille d'un tube en plastique de coton tige faisait office de marque à l'endroit ou l'injection avait eu lieu.
Une fois relevé, il se dirigea vers la table pour y déposer l'objet, il avait fini, enfin il était temps si dit-il, soufflant un bon coup il tourna la tête en direction du corps de son frère, toujours immobile sur le sol, il y avait un appareil photo polaroid posé sur le coin gauche de la table, avec lequel normalement il devait faire une photo à chaque fois du visage de celui qui sortait vivant de ces murs pour qu'une fois le travail accomplit Kira puisse l'éliminer tranquillement, mais cette fois Arashi laissa celui-ci de côté, qui allait voir si la photo avait oui ou non était faite, pas les soldats ça c'était sur et il était le seul habilité à le faire, donc le problème était réglé. Il se dirigea vers la porte l'ouvrit, les gardes étaient revenus à leur poste, ils avaient eu le plaisir d'entendre les cries poussait par l'otage, ça ce voyait sur leurs visages, une sorte de sourire ravalé peinait à être dissimulé, ils avaient le menton dirigeait vers le haut comme pour le salut, histoire de rendre hommage à l'homme que l'on surnommé la terreur sanglante, et qui pour eux portait décidément bien son nom.
-Allez le préparer, il nous faut le déposer au même endroit qu'il avait rendez-vous avec le jeune, donnez lui ce sédatif une fois sur place, c'est sous forme de patch une fois qu'il aura fait effet il tombera tout seul, essayez de le mettre à un endroit peu voyant. Et prévenez moi dés que tout cela sera fait. Commencez la procédure!
-A vos ordres !
Les deux soldats rentrèrent dans la pièce se dirigeant vers le corps l'un le prit par les pieds et l'autre en dessous des bras, puis sortirent le corps de la pièce pour l'emmener dans une autre qui leurs servait en quelque sorte de remise en état, c'est à dire qu'ils nettoyaient le sujet avant qu'il ne soit remit en liberté, on lui enleva en premier l'uniforme des troupes de Kira qu'il avait enfilé pour se confondre parmi ses adversaires, puis on lui nettoya le visage, faisant disparaître les marques de coups avec des compresses de froid et les égratignures avec des compresses alcoolisées, les marques faites par ses ongles dans le creux de ses mains, et les marques de sang séchées près de ses oreilles. Puis c'est sur un brancard munit de harnais au niveau des mains et des pieds qu'il fut déposé, s'en suivit un long trajet, parcourant ces longs couloirs qu'on priait de ne plus jamais revoir de sa vie, puis un ascenseur, il emprunta le même chemin qu'à son arrivé pour sortir, les soldats arrivèrent devant un fourgon préparé pour déposer celui-ci à l'endroit fixé par le général. Quand tout était fin prêt, un soldat donna le signal à un homme en costard noir disposé derrière les portes vitrées, celui-ci prit son téléphone, passa un coup de fil très bref qui dura à peine 2 minutes, puis 3 minutes plus tard, Arashi arriva, franchissant les portes il se dirigea vers le corps de son frère installé sur le brancard, l’examina, puis fit un signe de tête aux soldats qui après avoir procédé à un salut militaire firent monter le brancard dans le fourgon, on démarra le moteur, ferma les portes, le brancard était disposé de telle façon à ce qu'un soldat fût assit de chaque côté, puis on se mire en route.
Arashi quant à lui regardait le fourgon s'éloigner au fur et à mesure jusqu'à son entière disparition, resta là quelques minutes, l'air était frais pour une fois agréable à respirer, les voitures n'avaient certainement pas encore commencé leur service. Puis rentra dans l'enceinte du bâtiment ou il se mit en direction de son bureau. Dix minutes plus tard, il arriva devant sa porte, plus personne à part lui devait encore être présent à son étage, peut-être d'autres ministres menaient le même rythme de vie effréné que lui, les faisant rester très tard ou très top dans leurs bureaux ou à l’extérieur, tout dépendait de quel point de vue on se plaçait, il arrivait même qu'au moment de partir, les autres employés venaient commencer leur service. Arashi passa un coup de file à l'accueil, les informant qu'il rentrait chez lui. Prit sa veste quelques dossiers et se mit en chemin. Une fois dans le grand Hall il reçut un coup de fil d'un des soldats, affirmant que le sujet était rentré au bercail.
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