Que la partie commence [PV Fate-Junichiro-Hadès]
@ Invité
Les deux véhiculent roulaient à pleine vitesse, réveillant les ruelles endormies à leur passage, leurs phares créant des ombres mouvantes, qui pourtant ne paraissaient pas menaçantes, qui une fois les deux bolides passés, disparurent, replongeant les rues dans leur obscurité, les abandonnant à la noirceur de la nuit. J'étais dans un de ces deux bolides, tout autour de moi, se trouvaient mes soldats, rien qu'à moi, pour cette nuit. J'étais tel un enfant impatient de jouer avec ses amis, mais ce soir, le jeu auquel nous allions nous livrer était loin d'être un jeu pour enfant.
Nous étions proche, même très proche je pouvais le sentir, mes sens ne me trompaient pas, ma voiture commença à ralentir, nous étions donc bientôt arrivé. Puis elle s'immobilisa, nous étions au point dit, je donnai deux coups de la main droite sur la paroi de métal séparant notre compartiment du coq-pite, soudain les lumières s'éteignirent nous plongeant tous dans l'obscurité, obscurité qui fut bien courte car les soldats savaient qu'à ce moment, ils se devaient d'allumer leurs lampes torches situaient sur le haut de leurs fusils.
Il était convenu que nous nous séparions en trois groupes, je voulais impérativement quatre hommes avec moi, histoire juste de ne pas y aller seul et de ne pas faire un massacre à moi tout seul, je me connais après tout, et mon taux d'excitation étant à son maximum il allait m'être difficile de résister à mes pulsions, je n'espérais qu'une seule chose, que durant cette soirée, je croise au moins une fois ma chère partenaire. Une autre chose aussi qui ce soir me tenait beaucoup à cœur, était de montrer encore une fois ma supériorité à Arashi, ça n'allait pas être très difficile, son estime avait beaucoup baissé auprès de notre chère Kira, et ça allait être l'occasion pour moi de lui montrer encore une fois, ma loyauté envers lui, et mon amour, ma dévotion pour tout ce qu'il représente !
-Bon, messieurs, nous y voilà, je me fou de savoir qui, mais je veux quatre hommes avec moi, je vous laisse le choix mais je veux qu'à ma sortie de cette fourgonnette, quatre homme me suive, c'est bien clair ? Bon allons y dans ce cas...
Je voulais commençais au plus vite en vérité, je voulais vite sortir de cette endroit pour me défouler, une fois les portes ouverte, je constatais que l'autre véhicule était lui aussi arrivé, dans le noir totale, avec seulement un lampadaire pour nous éclairer, nous nous étions arrêté deux entrées plus loin du lieu servant comme base aux rebelles, juste histoire de ne pas nous faire remarquer, je voulais être sûr que tout soit parfait pour ce soir, nous savions que le repère était au sous-sol de l'immeuble, mais pour ne pas tenter le diable, nous allions fouiller le bâtiment en entier, ceux présentant une quel qu’on que résistance se verrait neutralisé sur le champ, et je priais en mon fort intérieur que ceux sur lesquels ma faux allait s'abattre, avaient le cœur bien accroché, car ce soir, était mon petit plaisir de la semaine, cela faisait tellement longtemps que je n'avais plus fais de descente...
-Allons-y messieurs, je vois que vous vous êtes décidé, avec moi c'est parti!
Je me mis à courir en directions du bâtiment, comme je m'y attendais celui-ci était plongé dans le noir totale, je fis signe à un de mes gars de désactivé la lumière automatique, et de déverrouiller la porte d'entrer.
Click, la porte était ouverte, il l'ouvrit doucement prennent garde de ne pas faire de bruit inutile, qui auraient pu alerter l'ennemis, puis je m'introduisis dans l'immeuble mon arme à hauteur de l'épaule, je fis signe au gars d'entrer à leur tour et de se diriger vers le sous-sol, pendant ce temps un autre groupe faisait le tour de l'immeuble histoire de sécuriser l'arrière et un autre de monter aux étages, je laissais le libre choix à ma co-équipière de mener sa barque comme elle l'entendait .
Nous étions proche, même très proche je pouvais le sentir, mes sens ne me trompaient pas, ma voiture commença à ralentir, nous étions donc bientôt arrivé. Puis elle s'immobilisa, nous étions au point dit, je donnai deux coups de la main droite sur la paroi de métal séparant notre compartiment du coq-pite, soudain les lumières s'éteignirent nous plongeant tous dans l'obscurité, obscurité qui fut bien courte car les soldats savaient qu'à ce moment, ils se devaient d'allumer leurs lampes torches situaient sur le haut de leurs fusils.
Il était convenu que nous nous séparions en trois groupes, je voulais impérativement quatre hommes avec moi, histoire juste de ne pas y aller seul et de ne pas faire un massacre à moi tout seul, je me connais après tout, et mon taux d'excitation étant à son maximum il allait m'être difficile de résister à mes pulsions, je n'espérais qu'une seule chose, que durant cette soirée, je croise au moins une fois ma chère partenaire. Une autre chose aussi qui ce soir me tenait beaucoup à cœur, était de montrer encore une fois ma supériorité à Arashi, ça n'allait pas être très difficile, son estime avait beaucoup baissé auprès de notre chère Kira, et ça allait être l'occasion pour moi de lui montrer encore une fois, ma loyauté envers lui, et mon amour, ma dévotion pour tout ce qu'il représente !
-Bon, messieurs, nous y voilà, je me fou de savoir qui, mais je veux quatre hommes avec moi, je vous laisse le choix mais je veux qu'à ma sortie de cette fourgonnette, quatre homme me suive, c'est bien clair ? Bon allons y dans ce cas...
Je voulais commençais au plus vite en vérité, je voulais vite sortir de cette endroit pour me défouler, une fois les portes ouverte, je constatais que l'autre véhicule était lui aussi arrivé, dans le noir totale, avec seulement un lampadaire pour nous éclairer, nous nous étions arrêté deux entrées plus loin du lieu servant comme base aux rebelles, juste histoire de ne pas nous faire remarquer, je voulais être sûr que tout soit parfait pour ce soir, nous savions que le repère était au sous-sol de l'immeuble, mais pour ne pas tenter le diable, nous allions fouiller le bâtiment en entier, ceux présentant une quel qu’on que résistance se verrait neutralisé sur le champ, et je priais en mon fort intérieur que ceux sur lesquels ma faux allait s'abattre, avaient le cœur bien accroché, car ce soir, était mon petit plaisir de la semaine, cela faisait tellement longtemps que je n'avais plus fais de descente...
-Allons-y messieurs, je vois que vous vous êtes décidé, avec moi c'est parti!
Je me mis à courir en directions du bâtiment, comme je m'y attendais celui-ci était plongé dans le noir totale, je fis signe à un de mes gars de désactivé la lumière automatique, et de déverrouiller la porte d'entrer.
Click, la porte était ouverte, il l'ouvrit doucement prennent garde de ne pas faire de bruit inutile, qui auraient pu alerter l'ennemis, puis je m'introduisis dans l'immeuble mon arme à hauteur de l'épaule, je fis signe au gars d'entrer à leur tour et de se diriger vers le sous-sol, pendant ce temps un autre groupe faisait le tour de l'immeuble histoire de sécuriser l'arrière et un autre de monter aux étages, je laissais le libre choix à ma co-équipière de mener sa barque comme elle l'entendait .
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@ Fate Harlaown
Age : 27
Le voyage s'était montré long, très long de mon point de vue... Et je savais parfaitement pourquoi... J'étais excitée... Impatiente... C'était... Un sentiment qui ne devait pas habiter beaucoup de personnes. Enfin... Pas beaucoup, je pense que dans mon entourage je suis loin d'être le seul et surtout le plus tordu des cas... Très franchement que ce cher Premier Ministre et son Général Suprême sont habités de la même sensation et de façon nettement plus forte je pense... Enfin, ce n'est peut-être qu'une idée reçue qui sait. Mais vu le poste qu'ils occupent dans une institution telle que ce "royaume" qu'est celui de Kira, ce ne sont sûrement pas des hommes à être dégoûtés et terrifiés par l'idée de la mort et surtout celle de la faire connaître... Dans leur cas, c'était sûrement l'inverse, tout comme moi et mon plaisir à infliger souffrance jusqu'à ce que mort s'en suive, par leur démonstration respective de tout à l'heure, je savais qu'ils n'hésiteraient pas.
C'était pour ces raisons qu'il ne fallait pas que je flanche au dernier moment. Ce n'était pas mon style, mais on ne savait jamais. J'allais agir, fortement, avec toute mon in-féminité habituelle~ C'était réaliste. Dans ce genre d'intervention, je ressemblais plus à une bête sauvage qu'à une femme... J'allais faire preuve d'un manque de pitié total comme une personne du rang que je convoitais se devait de le faire.
J'étais donc descendu du véhicule. Les phrases des deux fourgonnettes s'étaient éteints, nous laissant sombrer dans l'obscurité. Ma vision spéciale me permettait de voir assez facilement même dans ce genre d'endroit c'est pourquoi je distinguais assez rapidement la configuration de l'endroit en prenant connaissance des lieux. Nous étions dans une petite ruelle. A peine large pour faire passer deux camions comme les nôtres mais très longue. Elle était assez mal entretenue et ressemblait plus à un coupe-gorge qu'à quoi que ce soit d'autre... Ici traînaient ordures, déchets et rejets en tout genre le tout accompagné d'une désagréable odeur d'urine si symbolique de ce genre de lieu. Elle était enclavée entre deux bâtiments. Le côté gauche ne donnait que sur une façade, celle d'un immeuble mais celle de droite était trouée de deux portes. Deux portes qui donnaient sur un immeuble plus ancien : notre lieu de descente et d'amusement pour ce soir...
Une lumière plus faible s'alluma alors, enfin plutôt au pluriel car il s'agissait en effet d'un groupe se déplaçant : ce cher Junichiro Iwa et ses hommes éclairés par la lumière de leurs armes. Ils s'étaient arrêtés quelques mètres plus loin et s'étaient séparés en trois avant d'entrée dans le bâtiment. Je faisais signe à mes hommes de ne peut les imiter et de rester dans le noir total puis de me suivre. Si j'avais compris, les résistants avaient élus domiciles dans le sous-sol du bâtiment. Ici se trouvaient donc des cibles à ne surtout pas rater... Cependant... Je trouvais cela quelque peu imprudent de ne pas fouiller le reste de l'immeuble. Monsieur le Premier Ministre devait y avoir penser et je devais suivre sa démarche. Je fis signe à cinq de mes hommes de rester ici devant le bâtiment, bien prêts, afin d'éviter toutes fuites de notre gibier ce qui serait impardonnable. D'un geste de la main, j'invitais les autres à me suivre en toute discrétion.
Contournant le bâtiment d'une course rapide, nous arrivions à côté de l'escalier extérieur que nous arpentions dans le but de rejoindre le plus haut étage. Oui, là où tout le monde agirait de haut en bas, j'allais agir de bas en haut. Il y avait très certainement une porte de service inutilisée ou pas par laquelle on pouvait accéder à un grenier ou à une remise en hauteur. En dernier recours, armés comme nous l'étions, une porte, condamnée ou pas cela s'ouvrait toujours.
Bref, l’ascension fut rapide et au final, la porte était juste un peu bloquée, un bon coup de pied de ma part avait suffi. Passant la porte, nous arrivions dans un couloir bordé de portes. Nous explorons en silence les salles auxquelles elles mènent, rien. Pas un chat. L'étage est vide. Je descends alors les escaliers et là... Surprise ! Un joli petit groupe d'hommes et de femmes, armés qui grimpent les escaliers quatre à quatre, apparemment alertés par le bruit. Leur vue me laisse arborer un sourire. Je fais signe d'attaquer. Nous défaisons assez vite le petit groupe, laissant leurs corps gisant dans leur sang, et finissons de rejoindre l'étage du dessous.
Il semblait que mon raisonnement et ma prudence soient justes. Il y avait bien des gens dans les étages et non pas uniquement au sous-sol. S'ils étaient résistants ? Je n'en avais aucune idée. Mais je ne faisais aucune différence. Iwa avait dit pas de survivants. Il n'y aurait pas de survivants. Ce serait clair, net et sans bavures. De plus, la présence de civils non-impliqués dans un complot résistant dans un immeuble servant justement de base à une institution de ce type et qui plus est un immeuble désaffectée semblait plutôt louche... Enfin bref. De toute façon, c'était fait et il serait difficile de revenir en arrière.
Descendant un à un les étages que nous explorions en long en large et en travers, éliminant toutes personnes se tenant sur (ou en dehors d'ailleurs) de notre chemin. Notre technique était plutôt violentes, il fallait dire que j'avais avec moi des hommes d'élite et que je n'avais jamais fait dans la dentelle. En effet, je préférais participer autant au combat que mes hommes, rester en arrière c'était prouvé sa faiblesse, ce n'était pas digne d'un meneur, gradé ou pas.
Femmes, hommes, vieillards tout comme les rares enfants présents, ils y étaient tous passés, le tout dans un véritable bain de sang. Et mon Dieu ! Dieu sait que c'était plus que jouissif ! Rien n'égalaient les sensations et frissons que vous apportait la vue de ces créatures, haletantes comme un gibier pris au piège, certains vous priant pitoyablement de les épargner, d'autres avec l'illusion de mourir dignement en héros, mais ils étaient tous casés du même côté dans mon esprit : celui de ceux à qui la mort faisait peur... Ne serait-ce qu'un peu ! Et pour qui la violence était une mauvaise chose. Il y avait des fois où je me demandais réellement pourquoi j'avais choisi d'arpenter les pentes de la sphère divine... Pour le fait de servir les convictions d'un homme qui correspondait à mes attentes face à ce monde : Kira ? Ou juste pour le simple fait d'exercer un métier qui me permettait d’assouvir ce que je pouvais qualifier de mon plus grand fantasme : provoquer la mort ? Peut-être les deux ? Sûrement les deux... Car rien n'était plus orgasmique de mon point de vue que la vision de ce regard... Pathétique, courageux ou quoi que ce soit d'autre... Mais au fond duquel on ressentait la peur de mourir. Puis que la détonation ou le coup, que ce soit au feu, à la main ou à l'arme blanche, venait à frapper la cible de pleine face qui s'écroulait devant vos yeux. Cela n'avait rien de « satisfaisant », c'était « jouissif ». C'était le bon mot.
Passons, je doute que tout le monde comprenne mon point de vue.
Nous étions maintenant arrivés au sous-sol et nous n'allions sûrement pas tarder à rejoindre Monsieur le Premier Ministre et ses hommes. Il devait sûrement y avoir plus de monde en bas. Cependant, je fus étonné quand nous entrions dans la entrailles du bâtiment. Il s'avérait en effet, que le sous-sol ne s'étendait pas uniquement sous la structure, mais de façon beaucoup plus étendue... Telle que j'en venais même à me demander si il ne longeait pas le dessous de certains bâtiments et s'il n'était tout simplement pas relié au réseau d’égouts. Cela aurait expliqué le choix d'une base à cette endroit. Enfin bref, nous reprenions notre course effrénée pour arrivée sur l'endroit où cette intervention risquait de s'avérer très intéressante...
C'était pour ces raisons qu'il ne fallait pas que je flanche au dernier moment. Ce n'était pas mon style, mais on ne savait jamais. J'allais agir, fortement, avec toute mon in-féminité habituelle~ C'était réaliste. Dans ce genre d'intervention, je ressemblais plus à une bête sauvage qu'à une femme... J'allais faire preuve d'un manque de pitié total comme une personne du rang que je convoitais se devait de le faire.
J'étais donc descendu du véhicule. Les phrases des deux fourgonnettes s'étaient éteints, nous laissant sombrer dans l'obscurité. Ma vision spéciale me permettait de voir assez facilement même dans ce genre d'endroit c'est pourquoi je distinguais assez rapidement la configuration de l'endroit en prenant connaissance des lieux. Nous étions dans une petite ruelle. A peine large pour faire passer deux camions comme les nôtres mais très longue. Elle était assez mal entretenue et ressemblait plus à un coupe-gorge qu'à quoi que ce soit d'autre... Ici traînaient ordures, déchets et rejets en tout genre le tout accompagné d'une désagréable odeur d'urine si symbolique de ce genre de lieu. Elle était enclavée entre deux bâtiments. Le côté gauche ne donnait que sur une façade, celle d'un immeuble mais celle de droite était trouée de deux portes. Deux portes qui donnaient sur un immeuble plus ancien : notre lieu de descente et d'amusement pour ce soir...
Une lumière plus faible s'alluma alors, enfin plutôt au pluriel car il s'agissait en effet d'un groupe se déplaçant : ce cher Junichiro Iwa et ses hommes éclairés par la lumière de leurs armes. Ils s'étaient arrêtés quelques mètres plus loin et s'étaient séparés en trois avant d'entrée dans le bâtiment. Je faisais signe à mes hommes de ne peut les imiter et de rester dans le noir total puis de me suivre. Si j'avais compris, les résistants avaient élus domiciles dans le sous-sol du bâtiment. Ici se trouvaient donc des cibles à ne surtout pas rater... Cependant... Je trouvais cela quelque peu imprudent de ne pas fouiller le reste de l'immeuble. Monsieur le Premier Ministre devait y avoir penser et je devais suivre sa démarche. Je fis signe à cinq de mes hommes de rester ici devant le bâtiment, bien prêts, afin d'éviter toutes fuites de notre gibier ce qui serait impardonnable. D'un geste de la main, j'invitais les autres à me suivre en toute discrétion.
Contournant le bâtiment d'une course rapide, nous arrivions à côté de l'escalier extérieur que nous arpentions dans le but de rejoindre le plus haut étage. Oui, là où tout le monde agirait de haut en bas, j'allais agir de bas en haut. Il y avait très certainement une porte de service inutilisée ou pas par laquelle on pouvait accéder à un grenier ou à une remise en hauteur. En dernier recours, armés comme nous l'étions, une porte, condamnée ou pas cela s'ouvrait toujours.
Bref, l’ascension fut rapide et au final, la porte était juste un peu bloquée, un bon coup de pied de ma part avait suffi. Passant la porte, nous arrivions dans un couloir bordé de portes. Nous explorons en silence les salles auxquelles elles mènent, rien. Pas un chat. L'étage est vide. Je descends alors les escaliers et là... Surprise ! Un joli petit groupe d'hommes et de femmes, armés qui grimpent les escaliers quatre à quatre, apparemment alertés par le bruit. Leur vue me laisse arborer un sourire. Je fais signe d'attaquer. Nous défaisons assez vite le petit groupe, laissant leurs corps gisant dans leur sang, et finissons de rejoindre l'étage du dessous.
Il semblait que mon raisonnement et ma prudence soient justes. Il y avait bien des gens dans les étages et non pas uniquement au sous-sol. S'ils étaient résistants ? Je n'en avais aucune idée. Mais je ne faisais aucune différence. Iwa avait dit pas de survivants. Il n'y aurait pas de survivants. Ce serait clair, net et sans bavures. De plus, la présence de civils non-impliqués dans un complot résistant dans un immeuble servant justement de base à une institution de ce type et qui plus est un immeuble désaffectée semblait plutôt louche... Enfin bref. De toute façon, c'était fait et il serait difficile de revenir en arrière.
Descendant un à un les étages que nous explorions en long en large et en travers, éliminant toutes personnes se tenant sur (ou en dehors d'ailleurs) de notre chemin. Notre technique était plutôt violentes, il fallait dire que j'avais avec moi des hommes d'élite et que je n'avais jamais fait dans la dentelle. En effet, je préférais participer autant au combat que mes hommes, rester en arrière c'était prouvé sa faiblesse, ce n'était pas digne d'un meneur, gradé ou pas.
Femmes, hommes, vieillards tout comme les rares enfants présents, ils y étaient tous passés, le tout dans un véritable bain de sang. Et mon Dieu ! Dieu sait que c'était plus que jouissif ! Rien n'égalaient les sensations et frissons que vous apportait la vue de ces créatures, haletantes comme un gibier pris au piège, certains vous priant pitoyablement de les épargner, d'autres avec l'illusion de mourir dignement en héros, mais ils étaient tous casés du même côté dans mon esprit : celui de ceux à qui la mort faisait peur... Ne serait-ce qu'un peu ! Et pour qui la violence était une mauvaise chose. Il y avait des fois où je me demandais réellement pourquoi j'avais choisi d'arpenter les pentes de la sphère divine... Pour le fait de servir les convictions d'un homme qui correspondait à mes attentes face à ce monde : Kira ? Ou juste pour le simple fait d'exercer un métier qui me permettait d’assouvir ce que je pouvais qualifier de mon plus grand fantasme : provoquer la mort ? Peut-être les deux ? Sûrement les deux... Car rien n'était plus orgasmique de mon point de vue que la vision de ce regard... Pathétique, courageux ou quoi que ce soit d'autre... Mais au fond duquel on ressentait la peur de mourir. Puis que la détonation ou le coup, que ce soit au feu, à la main ou à l'arme blanche, venait à frapper la cible de pleine face qui s'écroulait devant vos yeux. Cela n'avait rien de « satisfaisant », c'était « jouissif ». C'était le bon mot.
Passons, je doute que tout le monde comprenne mon point de vue.
Nous étions maintenant arrivés au sous-sol et nous n'allions sûrement pas tarder à rejoindre Monsieur le Premier Ministre et ses hommes. Il devait sûrement y avoir plus de monde en bas. Cependant, je fus étonné quand nous entrions dans la entrailles du bâtiment. Il s'avérait en effet, que le sous-sol ne s'étendait pas uniquement sous la structure, mais de façon beaucoup plus étendue... Telle que j'en venais même à me demander si il ne longeait pas le dessous de certains bâtiments et s'il n'était tout simplement pas relié au réseau d’égouts. Cela aurait expliqué le choix d'une base à cette endroit. Enfin bref, nous reprenions notre course effrénée pour arrivée sur l'endroit où cette intervention risquait de s'avérer très intéressante...
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@ Invité
Des coups de feux, j'avais entendu des coups de feu, est assez pour penser qu'il s'agissait de l'autre équipe, j'en étais presque sûr, comment est-ce qu'un petit groupe pouvait-il bien faire pour rivaliser face à nos forces, ... impossible en effet.
Nous étions déjà bien avancé dans ce qui semblait être les entrailles, de Tokyo, des genres de sous soles, qui étaient établis sous chacun des immeuble ici présent dans les bas-fonds.
C'était très amusant, parce que ça ressemblait un peu aux sous-sols que l'on avait aussi au QG, et il y avait du bruit, donc signe de vie, donc présence de rebelles, j'allais m'amuser encore un peu, la fête n'était pas fini, ouff soulagement, j'étais inquiet quand même.
Les hommes qui me suivaient, s'étaient arrêtés à quelques mètres de moi, vu que je leur avais fait signe de garder position, j'avais entendu des pas, beaucoup de pas qui s'approchaient. Contre le mur, cela ne venait pas d'en face donc cela venait du chemin qui menait vers la gauche, enfin je crois, doucement je prends mon couteau d'une main, et de l'autre mon pistolet, joignant les deux pour bien les avoir en main, je fis un geste de la tête, signe que mes hommes devaient maintenant me suivre de près, une fois à côté de moi, je me précipitais dans cet autre chemin, mais ce que je découvris de ravis en tout point.
-Fate, vous ici, tiens donc, vous avez fait du bon boulot, je l'ai entendu, nous l'avons tous entendu, je crois, j'espère que vous vous êtes bien amusé là-haut. Quant à nous, nous avançons, je pense, qu'il y a un autre banc de poissons là-bas, à nous d'y aller le pêcher.
sans dire un autre mot, je me dirigeais avec mes hommes en premier vers l'autre chemin, c'était un véritable labyrinthe en réalité, pas facile facile, mais amusant dans tous les cas, jusqu'à que je tombe sur une sorte de garde, un seul, lui entourant la tête et le cou de mes deux bras, je lui brisais la nuque en deux mouvements. Amortissant sa chute pour ne pas éveiller les soupesons des autres, puis une fois à terre, je me dirigeais vers ce qui semblait être une salle de réunion, j'y entendais bon nombre de personne, je peux vous dire une chose, ça blablate sec là-dedans ! Allons mettre un peu d'ambiance dans ce cas-là !!
Je fis signe de la main à mes hommes d'entrer dans la salle, puis je m'y introduis en dernier, attendant qu’ils neutralisent ceux possédant des armes, je prenais mon temps, aucune envie de me presser. Et il y avait du monde, hommes, femmes, mais pas d'enfants .... Bon ben pas d'enfants ...
-Messieurs dames, nous espérons ne pas être trop en retard. Mes compagnons ici présent voudraient vous emmener dans un endroit plus ... confortable, si cela vous intéresse, je vous demanderais de bien vouloir vous mettre sur le côté gauche de cette pièce ...
Alalalala, pourquoi est-ce quand je pose cette question, personne ne fait ce que je demande, ils ont peut-être l'esprit trop embrouillé, et pas assez éclairé par la lumière de Kira pour me comprendre, allé, je vais faire un effort.
Prenant mon pistolet je tire sur une première personne, celle-ci s'écroula doucement sur le sol, un tire en pleine tête rien de telle pour faire les choses le plus proprement possible.
-Alors, peut-être que j'ai parlé trop vite, je vous le répète une dernière fois, mettez-vous du côté gauche de la pièce si vous ne voulez pas finir comme lui...
Bon ben ce n'était pas mon élocution qui posait problème. Je laissais échapper un soupire, ce n'était pas aussi marrent que je me l'étais imaginé, je me retournai, cherchant Fate du regard, Ah la voilà...
-Fate, nettoyez moi tout ça, je suis fatigué, je veux rentrer...
Je sorti de la salle, lui laissant carte blanche, mes hommes avaient l'habitude de mes sauts d'humeur, va savoir si Fate saurait aussi bien réagir qu'eux. A vrais dire je le saurais top où tard en leur posant la question. Faisant un signe de la main, je donnais le feu vert à mes hommes de suivre désormais les directives de Fate. Au moins j'étais satisfait sur une chose, je l'aurais trouvé dans ce labyrinthe !!!
Nous étions déjà bien avancé dans ce qui semblait être les entrailles, de Tokyo, des genres de sous soles, qui étaient établis sous chacun des immeuble ici présent dans les bas-fonds.
C'était très amusant, parce que ça ressemblait un peu aux sous-sols que l'on avait aussi au QG, et il y avait du bruit, donc signe de vie, donc présence de rebelles, j'allais m'amuser encore un peu, la fête n'était pas fini, ouff soulagement, j'étais inquiet quand même.
Les hommes qui me suivaient, s'étaient arrêtés à quelques mètres de moi, vu que je leur avais fait signe de garder position, j'avais entendu des pas, beaucoup de pas qui s'approchaient. Contre le mur, cela ne venait pas d'en face donc cela venait du chemin qui menait vers la gauche, enfin je crois, doucement je prends mon couteau d'une main, et de l'autre mon pistolet, joignant les deux pour bien les avoir en main, je fis un geste de la tête, signe que mes hommes devaient maintenant me suivre de près, une fois à côté de moi, je me précipitais dans cet autre chemin, mais ce que je découvris de ravis en tout point.
-Fate, vous ici, tiens donc, vous avez fait du bon boulot, je l'ai entendu, nous l'avons tous entendu, je crois, j'espère que vous vous êtes bien amusé là-haut. Quant à nous, nous avançons, je pense, qu'il y a un autre banc de poissons là-bas, à nous d'y aller le pêcher.
sans dire un autre mot, je me dirigeais avec mes hommes en premier vers l'autre chemin, c'était un véritable labyrinthe en réalité, pas facile facile, mais amusant dans tous les cas, jusqu'à que je tombe sur une sorte de garde, un seul, lui entourant la tête et le cou de mes deux bras, je lui brisais la nuque en deux mouvements. Amortissant sa chute pour ne pas éveiller les soupesons des autres, puis une fois à terre, je me dirigeais vers ce qui semblait être une salle de réunion, j'y entendais bon nombre de personne, je peux vous dire une chose, ça blablate sec là-dedans ! Allons mettre un peu d'ambiance dans ce cas-là !!
Je fis signe de la main à mes hommes d'entrer dans la salle, puis je m'y introduis en dernier, attendant qu’ils neutralisent ceux possédant des armes, je prenais mon temps, aucune envie de me presser. Et il y avait du monde, hommes, femmes, mais pas d'enfants .... Bon ben pas d'enfants ...
-Messieurs dames, nous espérons ne pas être trop en retard. Mes compagnons ici présent voudraient vous emmener dans un endroit plus ... confortable, si cela vous intéresse, je vous demanderais de bien vouloir vous mettre sur le côté gauche de cette pièce ...
Alalalala, pourquoi est-ce quand je pose cette question, personne ne fait ce que je demande, ils ont peut-être l'esprit trop embrouillé, et pas assez éclairé par la lumière de Kira pour me comprendre, allé, je vais faire un effort.
Prenant mon pistolet je tire sur une première personne, celle-ci s'écroula doucement sur le sol, un tire en pleine tête rien de telle pour faire les choses le plus proprement possible.
-Alors, peut-être que j'ai parlé trop vite, je vous le répète une dernière fois, mettez-vous du côté gauche de la pièce si vous ne voulez pas finir comme lui...
Bon ben ce n'était pas mon élocution qui posait problème. Je laissais échapper un soupire, ce n'était pas aussi marrent que je me l'étais imaginé, je me retournai, cherchant Fate du regard, Ah la voilà...
-Fate, nettoyez moi tout ça, je suis fatigué, je veux rentrer...
Je sorti de la salle, lui laissant carte blanche, mes hommes avaient l'habitude de mes sauts d'humeur, va savoir si Fate saurait aussi bien réagir qu'eux. A vrais dire je le saurais top où tard en leur posant la question. Faisant un signe de la main, je donnais le feu vert à mes hommes de suivre désormais les directives de Fate. Au moins j'étais satisfait sur une chose, je l'aurais trouvé dans ce labyrinthe !!!
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@ Takeshi Saitô
Age : 33
Localisation : Dans le QG du gouvernement
Sauf que l'action ne se déroula sûrement pas comme le premier ministre et ses hommes l'avaient imaginée. Et qu'est-ce qu'ils imaginaient, eux ? Une foule de rebelles tous plus incapables de se défendre les uns que les autres ? Oui, okay, personne ne les avait prévenu du fait qu'il y avait une descente les concernant, mais si Hadès l'avait fait, ils auraient certainement fui et cela n'aurait pas été bon, ni pour lui, ni pour Arashi. Le premier ministre, ce Junichiro n'était pas idiot. Il devait se souvenir de la rencontre de cet après-midi et des rares paroles qu'ils avaient échangé. À la réflexion, il lui semblerait sans doute étrange qu'il lui demande où ces rebelles se trouvaient. Peu importe. À la réflexion, en ne révélant pas à ses gens que quelques uns d'entre eux allaient bientôt mourir, il désirait protéger Arashi, ce même Arashi qui avait gardé une photo de lui et de toute sa famille sur son bureau. Akira Darkwood avait tendance à être un peu trop sentimental, ces derniers temps, même si les horreurs qui défilaient devant ses yeux le calmaient.
« Vous les encerclez, vous en abattez un ou deux pour faire signe que vous n'aurez pas de pitié ! »
Il y avait des flics un peu partout alors il fallait absolument s'organiser. Hadès, lui, se trouvait dans une voiture un peu à l'écart de l'hôtel, mais pas trop pour intervenir massivement en cas de besoin. Rare étaient ceux qui savaient manier le sabre comme lui et puisque son frère n'était pas là, sa présence pourrait fortement les aider, si son équipe était en danger. Il y avait deux voitures de la police de Kira, ça, il en était sûr. Lorsqu'il avait fait un premier tour pour voir à peu près leur nombre, c'était ce qu'il avait constaté. Il avait alors marmonné un ou deux mots au micro et les chefs des quatre groupes qui étaient déjà sur place s'étaient éparpillés dans le bâtiment : un à l'extérieur, pour accueillir les fuyards au cas où, un groupe de rebelles avaient jusqu'été à s'infiltrer dans les canalisations et les plafondes du bâtiment, et les deux autres attendaient patiemment que les troupes de Kira frappent un bon coup pour les encercler.
Que l'on ne se trompe pas, Hadès n'avait pas l'attention de faire 36 000 otages. Il y en aurait deux ou trois, tout au plus, point. Le chef de cette partie de la résistance avait beau être un bel idéaliste, il n'en restait pas moins un rebelle et puisque les troupes de Kira refusaient de coopérer, il ne voyait pas pourquoi leur faire plaisir et ne pas leur faire sévèrement du mal à elles aussi. Il ne riait pas non plus lorsque toutes ses vies étaient supprimées, pensant avec justesse qu'il s'agissait de quelque chose avec laquelle il ne fallait pas rigoler...assis à droite de la conductrice, la jolie Zen, Hadès secoua la tête doucement.
« Top ! »
La voiture s'arrêta et à ce moment précis, il appuya sur un bouton et, à ce moment précis, deux mini-bombes dans le bâtiment exposèrent. C'était à la fois le signe pour leurs troupes qu'il fallait intervenir tout de suite, mais également un moyen de déconcentrer les personnes présentes ici. Hadès fixa l'écran qui lui transmettait ce qui avait lieu – une petite caméra de surveillance qui se situait dans la salle où était le type qui lui avait offert le café. Les membres de son clan les avaient tous encerclés. Les rebelles présents avaient recueilli Jun' en train de sortir de la salle et l'avait poussé à nouveau à l'intérieur...
Et maintenant, maintenant, Hadès tapota sur le micro. Pour la première et unique fois, ces personnes auraient l'occasion d'entendre sa voix...Il entendit quelques coups de feu et deux ou trois serviteurs de Kira tombèrent à terre. Parfait.
« Mushi mushi ? Amis de Kira, restez calme ! Je conseille à mes amis de se reculer, il y a des choses plus intéressantes à faire dehors plutôt que rester dans cet immeuble vraiment...pitoyable. Donc, mes amis...Malheureusement, vous devez vous douter que vous êtes tombés dans un piège. Je demande à Junichirô Iwa de s'avancer, les mains sur la tête et sa compagne blonde également ! Au moindre geste, vous serez exécutés ! Les autres, lâchez vos armes, il n'y aura pas d'autres avertissements, vous avez vu ce qu'il s'est passé pour vos petits camarades et vous vous doutez bien que nous avons d'autres...hum...astuces. Vous vous mettrez contre le mur, les mains en l'air. Obéissez ! »
« Vous les encerclez, vous en abattez un ou deux pour faire signe que vous n'aurez pas de pitié ! »
Il y avait des flics un peu partout alors il fallait absolument s'organiser. Hadès, lui, se trouvait dans une voiture un peu à l'écart de l'hôtel, mais pas trop pour intervenir massivement en cas de besoin. Rare étaient ceux qui savaient manier le sabre comme lui et puisque son frère n'était pas là, sa présence pourrait fortement les aider, si son équipe était en danger. Il y avait deux voitures de la police de Kira, ça, il en était sûr. Lorsqu'il avait fait un premier tour pour voir à peu près leur nombre, c'était ce qu'il avait constaté. Il avait alors marmonné un ou deux mots au micro et les chefs des quatre groupes qui étaient déjà sur place s'étaient éparpillés dans le bâtiment : un à l'extérieur, pour accueillir les fuyards au cas où, un groupe de rebelles avaient jusqu'été à s'infiltrer dans les canalisations et les plafondes du bâtiment, et les deux autres attendaient patiemment que les troupes de Kira frappent un bon coup pour les encercler.
Que l'on ne se trompe pas, Hadès n'avait pas l'attention de faire 36 000 otages. Il y en aurait deux ou trois, tout au plus, point. Le chef de cette partie de la résistance avait beau être un bel idéaliste, il n'en restait pas moins un rebelle et puisque les troupes de Kira refusaient de coopérer, il ne voyait pas pourquoi leur faire plaisir et ne pas leur faire sévèrement du mal à elles aussi. Il ne riait pas non plus lorsque toutes ses vies étaient supprimées, pensant avec justesse qu'il s'agissait de quelque chose avec laquelle il ne fallait pas rigoler...assis à droite de la conductrice, la jolie Zen, Hadès secoua la tête doucement.
« Top ! »
La voiture s'arrêta et à ce moment précis, il appuya sur un bouton et, à ce moment précis, deux mini-bombes dans le bâtiment exposèrent. C'était à la fois le signe pour leurs troupes qu'il fallait intervenir tout de suite, mais également un moyen de déconcentrer les personnes présentes ici. Hadès fixa l'écran qui lui transmettait ce qui avait lieu – une petite caméra de surveillance qui se situait dans la salle où était le type qui lui avait offert le café. Les membres de son clan les avaient tous encerclés. Les rebelles présents avaient recueilli Jun' en train de sortir de la salle et l'avait poussé à nouveau à l'intérieur...
Et maintenant, maintenant, Hadès tapota sur le micro. Pour la première et unique fois, ces personnes auraient l'occasion d'entendre sa voix...Il entendit quelques coups de feu et deux ou trois serviteurs de Kira tombèrent à terre. Parfait.
« Mushi mushi ? Amis de Kira, restez calme ! Je conseille à mes amis de se reculer, il y a des choses plus intéressantes à faire dehors plutôt que rester dans cet immeuble vraiment...pitoyable. Donc, mes amis...Malheureusement, vous devez vous douter que vous êtes tombés dans un piège. Je demande à Junichirô Iwa de s'avancer, les mains sur la tête et sa compagne blonde également ! Au moindre geste, vous serez exécutés ! Les autres, lâchez vos armes, il n'y aura pas d'autres avertissements, vous avez vu ce qu'il s'est passé pour vos petits camarades et vous vous doutez bien que nous avons d'autres...hum...astuces. Vous vous mettrez contre le mur, les mains en l'air. Obéissez ! »
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@ Fate Harlaown
Age : 27
Mes hommes et moi continuions notre course à travers ce labyrinthe souterrain. Dire que ce réseau de galerie devait sans doute traverser toute la ville de Tokyo même et être inconnu de tous ou presque! En effet, certaines institutions du régime pro-Kira possédait des organisations architecturales de ce genre mais je n'en avais jamais vu d'aussi étendue! Cela devrait couvrir plusieurs kilomètres sans problèmes... Et ces réseaux constituaient sûrement un atout majeur dans la résistance... Dire qu'il devait nous être passer sous le nez... Je n'en connaissais pas l'existence, enfin peut-être que les plus hauts placés étaient déjà courants... Qui sait?
Il était vrai que les anti-Kira se faisaient moins nombreux ces derniers temps... Mais ce n'était pas parce que leur nombre diminuait apparemment... Juste qu'ils se terraient comme des rats sous-terre... Pitoyable. Mais intelligent, j'en convenais.
Ces tunnels étaient d'une insalubrité assez remarquable. Plus proches de l'égout que de l'agréable chemin, la présence de parasites animaux en tout genre et de cette odeur dérangeante, ces réseaux semblaient être de véritables décharges souterraines. Enfin, loin de là l'idée que tout ceci m'intimidait, la saleté n faisait pas parti de mes priorités. Trop effrénée dans ma course, je regardais à peine ce qui m'entourait, tuant ceux qui se mettaient sur notre passage, sans me poser de questions. Me stoppant, je fis finalement un signe à mes hommes de ne pas bouger et de rester silencieux... J'avançais seule... Un pas de pas quand soudain... Une ombre surgit et se précipite devant moi, je dégaine mon arme quand ses paroles raisonnent : nous avons retrouvé Monsieur le Premier Ministre...
"Fate, vous ici, tiens donc, vous avez fait du bon boulot, je l'ai entendu, nous l'avons tous entendu, je crois, j'espère que vous vous êtes bien amusé là-haut. Quant à nous, nous avançons, je pense, qu'il y a un autre banc de poissons là-bas, à nous d'y aller le pêcher."
C'était bien lui. Seul, laissant ses hommes une dizaine de mètres derrière, lui, comme je l'imaginais. Il était ensuite parti et suite à son ordre, je décidais de le suivre. Tout n'était qu'un dédale... Il arrivait que nous nous perdions de vue mais par chance, nous finissions toujours par retomber l'un sur l'autre. Nous nous approchions, comme le démontrait la présence de garde qu'Iwa n'avait aucun mal à maîtriser seul. Ce type avait de la ressource... C'était sûrement plus qu'un politique... Et ce n'était pas plus mal.
Nous étions arrivés à proximité d'une grande porte d'où émanait des bruits de conversations. En tendant l'oreille, nous tentions de saisir ce qu'il s'y passait sans réel succès. Ce qui paraissait flagrant, c'est que cette salle était sûrement un point de réunion et de décision des rebelles et qu'il devait sûrement s'y passer des choses intéressantes... Nous entrions dans la salle sur ordre d'Iwa. Les rebelles armées furent maîtrisés et le Premier Ministre avait commencé à lancer ses ordres, ordres qui ne furent, comme je m'y attendais, pas respecté. Même la violence et l'aura qu'il dégageait digne de ses fonctions, personne ne bougeait. Nous attendions juste d'eux de se décaler contre le mur, sur la gauche. Mais dans l'esprit plein de liberté de ces rebelles, obéir, c'était se plier à l'ordre de Kira. Ils s'imaginaient peut-être que nous allions nous montrer magnanimes ?... Le peu que je connaissais d'Iwa suffisait à me faire douter étrangement...
Il tira sur une première personne, histoire d'en faire un exemple. Pas de réaction. Cela s'annonce violent. Mais... Contrairement à ce que j'attendais de sa part, les paroles d'Iwa me surprennent.
"Fate, nettoyez moi tout ça, je suis fatigué, je veux rentrer..."
Il abandonnait si tôt ? Et me laissait le choix d'en faire ce que je voulais ?... Je ne m'y attendais pas. Mais d'après ce que j'ai compris, les sautes d'humeur sont choses fréquentes chez lui. Une légère inclinaison de ma part lui fit comprendre que j'approuvais. Et alors que je m'apprêtais à tous les faire sortir avec la ferme intention de réduire à néant tout ces misérables rebelles qui attendaient là seule, quelque chose d'anormal se passa...
Une violence explosion se produisit... Le sol se mit à trembler sous le choc de la détonation et je dus esquiver un pas en arrière afin de retrouver l'équilibre. Je regardais autour de moi et m'apprêtais à réagir quand soudain des hommes armés vinrent nous encercler. Je compris qu'il s'agissait de rebelles. Nous étions encerclés. Nous nous étions fait avoir... Comme des débutants... L'air énervé qui s'affichait sur mon visage parlait pour moi. C'était le signe d'une colère et d'une déception grande : celle de ce qui était une quasi-défaite... Dire que j'avais clairement indiqué à mes hommes de rester dehors et de nous prévenir en ripostant à la moindre arrivée... Ces rebelles n'étaient tout de même pas sortis des murs tout de même ! Comment réussir une descente avec des incompétents pour vous couvrir ?! Nous ne pouvions riposter. Pour le moment du moins...
Une voix retentit, une voix inconnue, sûrement celle de celui qui guidait ces hommes. Une voix masculine et assez :
"Mushi mushi ? Amis de Kira, restez calme ! Je conseille à mes amis de se reculer, il y a des choses plus intéressantes à faire dehors plutôt que rester dans cet immeuble vraiment...pitoyable. Donc, mes amis...Malheureusement, vous devez vous douter que vous êtes tombés dans un piège. Je demande à Junichirô Iwa de s'avancer, les mains sur la tête et sa compagne blonde également ! Au moindre geste, vous serez exécutés ! Les autres, lâchez vos armes, il n'y aura pas d'autres avertissements, vous avez vu ce qu'il s'est passé pour vos petits camarades et vous vous doutez bien que nous avons d'autres...hum...astuces. Vous vous mettrez contre le mur, les mains en l'air. Obéissez !"
Il nous était donc demandé à Iwa et à moi de nous avancer dans une position qui nous empêchait toutes attaques surprises... Blonde... Pourquoi fallait-il toujours que les gens me désignent ainsi ?... Je regardais Iwa, attendant un geste ou une indication de sa part pour le suivre... Nous ne pouvions attaquer c'était bien trop dangereux... Mais que faire. Une décision aussi important que celle-ci lui revenait, mais quel que soit son choix, il était clair que j'allais le suivre et que mes hommes avaient intérêts à en faire de même.
Il était vrai que les anti-Kira se faisaient moins nombreux ces derniers temps... Mais ce n'était pas parce que leur nombre diminuait apparemment... Juste qu'ils se terraient comme des rats sous-terre... Pitoyable. Mais intelligent, j'en convenais.
Ces tunnels étaient d'une insalubrité assez remarquable. Plus proches de l'égout que de l'agréable chemin, la présence de parasites animaux en tout genre et de cette odeur dérangeante, ces réseaux semblaient être de véritables décharges souterraines. Enfin, loin de là l'idée que tout ceci m'intimidait, la saleté n faisait pas parti de mes priorités. Trop effrénée dans ma course, je regardais à peine ce qui m'entourait, tuant ceux qui se mettaient sur notre passage, sans me poser de questions. Me stoppant, je fis finalement un signe à mes hommes de ne pas bouger et de rester silencieux... J'avançais seule... Un pas de pas quand soudain... Une ombre surgit et se précipite devant moi, je dégaine mon arme quand ses paroles raisonnent : nous avons retrouvé Monsieur le Premier Ministre...
"Fate, vous ici, tiens donc, vous avez fait du bon boulot, je l'ai entendu, nous l'avons tous entendu, je crois, j'espère que vous vous êtes bien amusé là-haut. Quant à nous, nous avançons, je pense, qu'il y a un autre banc de poissons là-bas, à nous d'y aller le pêcher."
C'était bien lui. Seul, laissant ses hommes une dizaine de mètres derrière, lui, comme je l'imaginais. Il était ensuite parti et suite à son ordre, je décidais de le suivre. Tout n'était qu'un dédale... Il arrivait que nous nous perdions de vue mais par chance, nous finissions toujours par retomber l'un sur l'autre. Nous nous approchions, comme le démontrait la présence de garde qu'Iwa n'avait aucun mal à maîtriser seul. Ce type avait de la ressource... C'était sûrement plus qu'un politique... Et ce n'était pas plus mal.
Nous étions arrivés à proximité d'une grande porte d'où émanait des bruits de conversations. En tendant l'oreille, nous tentions de saisir ce qu'il s'y passait sans réel succès. Ce qui paraissait flagrant, c'est que cette salle était sûrement un point de réunion et de décision des rebelles et qu'il devait sûrement s'y passer des choses intéressantes... Nous entrions dans la salle sur ordre d'Iwa. Les rebelles armées furent maîtrisés et le Premier Ministre avait commencé à lancer ses ordres, ordres qui ne furent, comme je m'y attendais, pas respecté. Même la violence et l'aura qu'il dégageait digne de ses fonctions, personne ne bougeait. Nous attendions juste d'eux de se décaler contre le mur, sur la gauche. Mais dans l'esprit plein de liberté de ces rebelles, obéir, c'était se plier à l'ordre de Kira. Ils s'imaginaient peut-être que nous allions nous montrer magnanimes ?... Le peu que je connaissais d'Iwa suffisait à me faire douter étrangement...
Il tira sur une première personne, histoire d'en faire un exemple. Pas de réaction. Cela s'annonce violent. Mais... Contrairement à ce que j'attendais de sa part, les paroles d'Iwa me surprennent.
"Fate, nettoyez moi tout ça, je suis fatigué, je veux rentrer..."
Il abandonnait si tôt ? Et me laissait le choix d'en faire ce que je voulais ?... Je ne m'y attendais pas. Mais d'après ce que j'ai compris, les sautes d'humeur sont choses fréquentes chez lui. Une légère inclinaison de ma part lui fit comprendre que j'approuvais. Et alors que je m'apprêtais à tous les faire sortir avec la ferme intention de réduire à néant tout ces misérables rebelles qui attendaient là seule, quelque chose d'anormal se passa...
Une violence explosion se produisit... Le sol se mit à trembler sous le choc de la détonation et je dus esquiver un pas en arrière afin de retrouver l'équilibre. Je regardais autour de moi et m'apprêtais à réagir quand soudain des hommes armés vinrent nous encercler. Je compris qu'il s'agissait de rebelles. Nous étions encerclés. Nous nous étions fait avoir... Comme des débutants... L'air énervé qui s'affichait sur mon visage parlait pour moi. C'était le signe d'une colère et d'une déception grande : celle de ce qui était une quasi-défaite... Dire que j'avais clairement indiqué à mes hommes de rester dehors et de nous prévenir en ripostant à la moindre arrivée... Ces rebelles n'étaient tout de même pas sortis des murs tout de même ! Comment réussir une descente avec des incompétents pour vous couvrir ?! Nous ne pouvions riposter. Pour le moment du moins...
Une voix retentit, une voix inconnue, sûrement celle de celui qui guidait ces hommes. Une voix masculine et assez :
"Mushi mushi ? Amis de Kira, restez calme ! Je conseille à mes amis de se reculer, il y a des choses plus intéressantes à faire dehors plutôt que rester dans cet immeuble vraiment...pitoyable. Donc, mes amis...Malheureusement, vous devez vous douter que vous êtes tombés dans un piège. Je demande à Junichirô Iwa de s'avancer, les mains sur la tête et sa compagne blonde également ! Au moindre geste, vous serez exécutés ! Les autres, lâchez vos armes, il n'y aura pas d'autres avertissements, vous avez vu ce qu'il s'est passé pour vos petits camarades et vous vous doutez bien que nous avons d'autres...hum...astuces. Vous vous mettrez contre le mur, les mains en l'air. Obéissez !"
Il nous était donc demandé à Iwa et à moi de nous avancer dans une position qui nous empêchait toutes attaques surprises... Blonde... Pourquoi fallait-il toujours que les gens me désignent ainsi ?... Je regardais Iwa, attendant un geste ou une indication de sa part pour le suivre... Nous ne pouvions attaquer c'était bien trop dangereux... Mais que faire. Une décision aussi important que celle-ci lui revenait, mais quel que soit son choix, il était clair que j'allais le suivre et que mes hommes avaient intérêts à en faire de même.
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@ Invité
"Mushi mushi ? Amis de Kira, restez calme ! Je conseille à mes amis de se reculer, il y a des choses plus intéressantes à faire dehors plutôt que rester dans cet immeuble vraiment...pitoyable. Donc, mes amis...Malheureusement, vous devez vous douter que vous êtes tombés dans un piège. Je demande à Junichirô Iwa de s'avancer, les mains sur la tête et sa compagne blonde également ! Au moindre geste, vous serez exécutés ! Les autres, lâchez vos armes, il n'y aura pas d'autres avertissements, vous avez vu ce qu'il s'est passé pour vos petits camarades et vous vous doutez bien que nous avons d'autres...hum...astuces. Vous vous mettrez contre le mur, les mains en l'air. Obéissez !"
Je crois que nous avions tous entendu le même message, et cette voie ne m'étais pas méconnue, je crois même que je l'ai entendu pas plus tard que cette après-midi ... Nom de Dieu, est-ce que par hasard, j'aurais tiré la bonne carte? Il serait donc venu ? Oh Oh je sentais monter en moi une vague de chaleur, c'était irréversible et il fallait absolument que j'en ai le cœur net, quitte à me prendre une balle dans la jambe le bras j'en ai rien à secouer, je veux le revoir vite vite !!
Bon si il pouvait émettre du son c'est que certainement il pouvait nous voir ou nous entendre en retour, tentons la chose !!!
-Allo, c'est Junichiro qui vous parle en directe de la pièce au sous-sol, je tenais à te remercier d'avoir répondu à mon invitation, mais il ne fallait pas emmener tous ces gens avec toi, je suis sûr qu'ils ont une famille, des enfants, et qu'ils attendent tous avec impatience que leur papa, marie, amant ou je ne sais quoi d'autre rentre à la maison ce soir vivant et avec tous les morceaux, mais voilà, le problème c'est que je vais sortir et que si un de tes hommes m'en empêche je vais être obligé de le tuer, tu comprends, je vais devoir tous les tuer, un par un, mais ne t'en fais pas je vais te rejoindre très bientôt.
Et je disais ça avec un large sourire sur le visage, ben normale j'étais heureux enfin un peu d'action, j'allais pouvoir me défouler, mais d'abord laissons les venir à nous doucement, donc alors, je me mets contre le mur, les mains en l'air, Fate elle fait comme moi, ça c'est bon ... Maintenant voilà, un garde chacun qui s'avance pour nous fouiller normal, ooooooh espérons qu'elle aura le même réflexe que moi, bon je vais lui faire comprendre à la façon... Elle me regarde là ?? Ok c'est bon elle a capté, j'espère que oui ...
Et mais qu'est-ce qu'il fait celui-là à me tripoter, j'ai passé l'âge des fouille au corps, bon ben pas de bol que cela tombe sur toi tu vas être ma première victime.
Junichiro attrapa la main droite de l'homme qui était en train de le fouiller avec la main gauche, il la coinça entre son bras droit et son corps et d'un coup sec lui cassa le poignet, se retourna, la face contre face, l'homme portait des lunettes noir et une sorte de combinaison, Junichiro dans un élan de folie attrapa le cou de sa victime le forçant à faire un demis tour sur lui-même sous l'effet de la douleur, si celui-ci ne voulait pas avoir le cou brisé, il allait falloir qui bouge.
Avec sa main gauche Ju attrapa la mitrailleuse attaché au corps du rebelle, la pointa sur les autres soldats présent dans la salle, et tira dans le tas, bien sûr les autres ne tardèrent pas à riposter, les balles s’échangeaient à toute vitesse, elles faisaient des trous partout où elles atterrissaient, le bouclier humain que Ju avait trouvé avait bien remplit son rôle, le plus important était de protéger la tête et le corps, pour ce qui est des bras et des jambes, on a droit à cinq pour-cent de dommage pas plus.
La plus part des hommes étaient à terre, pour certain mort, d'autre agonisant dans une mare de sang, Ju avait quelques égratignure, un peu normal, son bouclier humain avait stoppé la plus par des balles en sa direction, mais placer vous un jour derrière un simple corps comme obstacle à une centaine de balles et vous verrez ce que ça fait.
Laissant tomber le cadavre à terre, qui d’ailleurs en tombant fit un bruit digne d'une éponge imbibée d'eau percutant un sol dur, vous savez ce genre de splatch, oui voilà, en temps normale, on se demanderait pas à quoi ressemblerait un corps détruit, il faut dire ce qui est, par une centaine de balles, et bien Junichiro lui oui.
Je contemplais le spectacle c'était tout simplement magnifique, le rouge, qu'elle couleur noble, ah tien il bouge encore celui-là, attend voir, que ... je me ... rapproche, ouille ça fait un peu mal cette égratignure, ...je ...je me suis fait MAL ... je saigne... Oh non je saigne...
-Fate je saigne je saigne !!!
Me penchant sur le soldat à terre le regard apeuré, je me mis à cheval sur lui, celui-ci cracha un peu de sang d'ailleurs, il devait avoir mal lui aussi.
-Tu as mal, moi aussi, attends je vais t'aider !!
Je pris mes deux mains et les enroulèrent autour de son crâne, il fallait qu'il n'est plus mal, et qu'il ne craigne plus la mort, je lui ai donc fait rejoindre le sol plus vite que prévu ... C'était amusant, à la fin ça ressemblait à une sorte de grosse masse difforme, on ne distinguait plus le devant du derrière, mais j'avais eu des éclaboussures de sang sur le visage, fallait enlever tout ça, je sorti ma langue pour lécher le liquide qui coulait le long de mes joues atterrissant à l'encochure de ma bouche. Puis je plaçai mon regard sur Fate qui avait eu l'air de s'en tirer aussi pas mal...
-Ca va être une sacrée soirée, c'est moi qui te le dis AHAHAHAHAHAHA...
Bon si il pouvait émettre du son c'est que certainement il pouvait nous voir ou nous entendre en retour, tentons la chose !!!
-Allo, c'est Junichiro qui vous parle en directe de la pièce au sous-sol, je tenais à te remercier d'avoir répondu à mon invitation, mais il ne fallait pas emmener tous ces gens avec toi, je suis sûr qu'ils ont une famille, des enfants, et qu'ils attendent tous avec impatience que leur papa, marie, amant ou je ne sais quoi d'autre rentre à la maison ce soir vivant et avec tous les morceaux, mais voilà, le problème c'est que je vais sortir et que si un de tes hommes m'en empêche je vais être obligé de le tuer, tu comprends, je vais devoir tous les tuer, un par un, mais ne t'en fais pas je vais te rejoindre très bientôt.
Et je disais ça avec un large sourire sur le visage, ben normale j'étais heureux enfin un peu d'action, j'allais pouvoir me défouler, mais d'abord laissons les venir à nous doucement, donc alors, je me mets contre le mur, les mains en l'air, Fate elle fait comme moi, ça c'est bon ... Maintenant voilà, un garde chacun qui s'avance pour nous fouiller normal, ooooooh espérons qu'elle aura le même réflexe que moi, bon je vais lui faire comprendre à la façon... Elle me regarde là ?? Ok c'est bon elle a capté, j'espère que oui ...
Et mais qu'est-ce qu'il fait celui-là à me tripoter, j'ai passé l'âge des fouille au corps, bon ben pas de bol que cela tombe sur toi tu vas être ma première victime.
Junichiro attrapa la main droite de l'homme qui était en train de le fouiller avec la main gauche, il la coinça entre son bras droit et son corps et d'un coup sec lui cassa le poignet, se retourna, la face contre face, l'homme portait des lunettes noir et une sorte de combinaison, Junichiro dans un élan de folie attrapa le cou de sa victime le forçant à faire un demis tour sur lui-même sous l'effet de la douleur, si celui-ci ne voulait pas avoir le cou brisé, il allait falloir qui bouge.
Avec sa main gauche Ju attrapa la mitrailleuse attaché au corps du rebelle, la pointa sur les autres soldats présent dans la salle, et tira dans le tas, bien sûr les autres ne tardèrent pas à riposter, les balles s’échangeaient à toute vitesse, elles faisaient des trous partout où elles atterrissaient, le bouclier humain que Ju avait trouvé avait bien remplit son rôle, le plus important était de protéger la tête et le corps, pour ce qui est des bras et des jambes, on a droit à cinq pour-cent de dommage pas plus.
La plus part des hommes étaient à terre, pour certain mort, d'autre agonisant dans une mare de sang, Ju avait quelques égratignure, un peu normal, son bouclier humain avait stoppé la plus par des balles en sa direction, mais placer vous un jour derrière un simple corps comme obstacle à une centaine de balles et vous verrez ce que ça fait.
Laissant tomber le cadavre à terre, qui d’ailleurs en tombant fit un bruit digne d'une éponge imbibée d'eau percutant un sol dur, vous savez ce genre de splatch, oui voilà, en temps normale, on se demanderait pas à quoi ressemblerait un corps détruit, il faut dire ce qui est, par une centaine de balles, et bien Junichiro lui oui.
Je contemplais le spectacle c'était tout simplement magnifique, le rouge, qu'elle couleur noble, ah tien il bouge encore celui-là, attend voir, que ... je me ... rapproche, ouille ça fait un peu mal cette égratignure, ...je ...je me suis fait MAL ... je saigne... Oh non je saigne...
-Fate je saigne je saigne !!!
Me penchant sur le soldat à terre le regard apeuré, je me mis à cheval sur lui, celui-ci cracha un peu de sang d'ailleurs, il devait avoir mal lui aussi.
-Tu as mal, moi aussi, attends je vais t'aider !!
Je pris mes deux mains et les enroulèrent autour de son crâne, il fallait qu'il n'est plus mal, et qu'il ne craigne plus la mort, je lui ai donc fait rejoindre le sol plus vite que prévu ... C'était amusant, à la fin ça ressemblait à une sorte de grosse masse difforme, on ne distinguait plus le devant du derrière, mais j'avais eu des éclaboussures de sang sur le visage, fallait enlever tout ça, je sorti ma langue pour lécher le liquide qui coulait le long de mes joues atterrissant à l'encochure de ma bouche. Puis je plaçai mon regard sur Fate qui avait eu l'air de s'en tirer aussi pas mal...
-Ca va être une sacrée soirée, c'est moi qui te le dis AHAHAHAHAHAHA...
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@ Takeshi Saitô
Age : 33
Localisation : Dans le QG du gouvernement
...
« Hadès, je le sens mal... »
La voix de Zen vint l'interrompre dans sa méditation. Ils avaient tous deux entendu le discours du premier ministre, avaient secoué la tête de dépit, se demandant ce que ce connard pourrait bien faire, encerclé par tant d'homme. Enfin, il se poussa contre le mur, comme s'il acceptait son sort : oh, ils pouvaient souffler ? Il sentait sa coéquipière stresser, à côté de lui et même un stratège comme Hadès retenait son souffle. Tout pouvait très mal se passer et il se demandait pourquoi il n'avait pas donné l'ordre de tirer sur tout le monde, immédiatement ? Et puis la situation dégénéra. L'homme, ce truc qui prétendait répondre à la définition d'être humain, il...il faisait n'importe quoi et à une vitesse hallucinante, la scène et le plan si bien préparé s'était transformé en une gigantesque boucherie collective. Seuls les personnes qui guettaient du plafond furent épargnées, étant donné qu'elles n'avaient reçu l'ordre de bouger de leur place. Et cela valait mieux.
Hadès, lui, était totalement figé. Non pas que le sang le fascinât, mais plutôt l'inverse. Il était horrifié par ce qu'il se passait actuellement et ne savait plus du tout comment réagir. Zen fit un signe de la main devant ses yeux, lui secoua le bras. Rien. Une espèce de léthargie l'avait saisi et il n'en ressorti que quelques secondes plus tard, vraiment choqué par la vue de ce massacre.
« Je...Je les ai amenés à la mort...Z..Zen ! Je...Je les ai fait mourir alors qu'ils comptaient sur moi ! »
« Nous devons partir pour que leurs efforts ne soient pas vains ! »
« Non !!! Je...Je dois sortir ! Je suis le seul à pouvoir protéger les rares qui sont encore en vie ! Et songe à ceux qui sont dehors ou cachés à l'intérieur ! »
« Merde, Hadès, ne me force pas à t'assommer ! Préviens-les juste par micro ! »
La jeune femme au teint mat avec une qualité indéniable qu'il n'aurait su retrouvé qu'avec Ishtar. Lorsqu'il était affolé, lorsqu'il commençait à perdre le contrôle, elle s'occupait de ses affaires et avait très souvent les capacités nécessaires pour le calmer. Cependant, cette fois-ci, l'histoire était toute autre : il s'agissait de sauver des vies qui n'allaient pas nécessairement mourir. Il n'était pas idiot, il n'allait pas faire n'importe quoi et d'ailleurs, il mit en route le micro qui commandait aux troupes se trouvant dehors et cachées à l'intérieur.
« Si vous avez entendu les bruits, ne vous dirigez pas vers la cible. Fuyez. Vos vies ont une importance primordiale. Tâchez de le faire le plus discrètement possible et pensant aux égouts... »
Il grimaça soudainement, éteignant le tout. Zen avait passé la première vitesse, commençant à démarrer la voiture. Hadès ouvrit la porte d'un coup sec et se précipita vers l'extérieur, un espèce de sac à la main. Il se cacha dans l'interstice d'un mur et en sortit une cagoule, une combinaison noire et un élastique pour nouer ses cheveux. Une fois habillé et déguisé, il enleva de son fourreau son sabre et se dirigea vers l'immeuble en courant...Monta jusqu'à l'étage concerné et...d'un mouvement digne d'un professionnel, abattit son sabre japonais sur le premier ministre.
Fureur. Haine de ce fanatisme primaire. Violence qui ne se transforme qu'en violence. Il n'avait quasiment pas conscience de ses actions, obnubilé par ce désir de sauver des vies.
« Hadès, je le sens mal... »
La voix de Zen vint l'interrompre dans sa méditation. Ils avaient tous deux entendu le discours du premier ministre, avaient secoué la tête de dépit, se demandant ce que ce connard pourrait bien faire, encerclé par tant d'homme. Enfin, il se poussa contre le mur, comme s'il acceptait son sort : oh, ils pouvaient souffler ? Il sentait sa coéquipière stresser, à côté de lui et même un stratège comme Hadès retenait son souffle. Tout pouvait très mal se passer et il se demandait pourquoi il n'avait pas donné l'ordre de tirer sur tout le monde, immédiatement ? Et puis la situation dégénéra. L'homme, ce truc qui prétendait répondre à la définition d'être humain, il...il faisait n'importe quoi et à une vitesse hallucinante, la scène et le plan si bien préparé s'était transformé en une gigantesque boucherie collective. Seuls les personnes qui guettaient du plafond furent épargnées, étant donné qu'elles n'avaient reçu l'ordre de bouger de leur place. Et cela valait mieux.
Hadès, lui, était totalement figé. Non pas que le sang le fascinât, mais plutôt l'inverse. Il était horrifié par ce qu'il se passait actuellement et ne savait plus du tout comment réagir. Zen fit un signe de la main devant ses yeux, lui secoua le bras. Rien. Une espèce de léthargie l'avait saisi et il n'en ressorti que quelques secondes plus tard, vraiment choqué par la vue de ce massacre.
« Je...Je les ai amenés à la mort...Z..Zen ! Je...Je les ai fait mourir alors qu'ils comptaient sur moi ! »
« Nous devons partir pour que leurs efforts ne soient pas vains ! »
« Non !!! Je...Je dois sortir ! Je suis le seul à pouvoir protéger les rares qui sont encore en vie ! Et songe à ceux qui sont dehors ou cachés à l'intérieur ! »
« Merde, Hadès, ne me force pas à t'assommer ! Préviens-les juste par micro ! »
La jeune femme au teint mat avec une qualité indéniable qu'il n'aurait su retrouvé qu'avec Ishtar. Lorsqu'il était affolé, lorsqu'il commençait à perdre le contrôle, elle s'occupait de ses affaires et avait très souvent les capacités nécessaires pour le calmer. Cependant, cette fois-ci, l'histoire était toute autre : il s'agissait de sauver des vies qui n'allaient pas nécessairement mourir. Il n'était pas idiot, il n'allait pas faire n'importe quoi et d'ailleurs, il mit en route le micro qui commandait aux troupes se trouvant dehors et cachées à l'intérieur.
« Si vous avez entendu les bruits, ne vous dirigez pas vers la cible. Fuyez. Vos vies ont une importance primordiale. Tâchez de le faire le plus discrètement possible et pensant aux égouts... »
Il grimaça soudainement, éteignant le tout. Zen avait passé la première vitesse, commençant à démarrer la voiture. Hadès ouvrit la porte d'un coup sec et se précipita vers l'extérieur, un espèce de sac à la main. Il se cacha dans l'interstice d'un mur et en sortit une cagoule, une combinaison noire et un élastique pour nouer ses cheveux. Une fois habillé et déguisé, il enleva de son fourreau son sabre et se dirigea vers l'immeuble en courant...Monta jusqu'à l'étage concerné et...d'un mouvement digne d'un professionnel, abattit son sabre japonais sur le premier ministre.
Fureur. Haine de ce fanatisme primaire. Violence qui ne se transforme qu'en violence. Il n'avait quasiment pas conscience de ses actions, obnubilé par ce désir de sauver des vies.
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@ Fate Harlaown
Age : 27
"Allo, c'est Junichiro qui vous parle en directe de lapièce au sous-sol, je tenais à te remercier d'avoir répondu à mon invitation, mais il ne fallait pas emmener tous ces gens avec toi, je suis sûr qu'ils ont une famille, des enfants, et qu'ils attendent tous avec impatience que leur papa, marie, amant ou je ne sais quoi d'autre rentre à la maison ce soir vivant et avec tous les morceaux, mais voilà,le problème c'est que je vais sortir et que si un de tes hommes m'en empêche je vais être obligé de le tuer, tu comprends, je vais devoir tous les tuer, un par un, mais ne t'en fais pas je vais te rejoindre très bientôt."
A quoi jouait-il?... Vu les propos qu'il tenait et surtout la façon dont il débitait toutes ses paroles, il semblait connaître cette personne qui nous proférait ces ordres... Mais... Pour que nous soyons ainsi encerclés et menacés dans un lieu comme celui-ci sur commandement de cette voix au visage inconnu... Cela signifiait qu'elle appartenait forcément un rebelle non?... Alors pourquoi se montrer si... Enfin presque amicale avec?... A croire qu'il la connaissait cette personne, mais plus dans un bon sens que dans celui qu'on entretenait avec un ami?... Serait-ce un de ses plans? Ou peut-être ne suis-je pas au courant d'un point de cette descente?... Je n'en sais rien. Laissons faire, de toute façon je le suis... Que faire d'autre après tout?...
Il avait apparemment choisi de se plier à cette demande et, main derrière la tête, s'était plaqué contre le mur, je l'imitais. Il me regarde. Je le comprends. Il comprend que j'ai compris? Tout est bon. Deux gardes s'avancent pour nous fouiller... Un peu trop long et tactile à mon goût... Il a intérêt à virer ses sales pattes de là. De toute façon, si tout se déroule bien, il devrait regretter d'ici peu de temps...
Je ne croyais pas si bien dire. Iwa avait commencé les hostilités en réduisant l'homme à l'état d'un bouclier humain qui le couvrait des balles adverses. Par je ne sais quel tour de magie, car il était vrai qu'il était assez impressionnant quand il en venait au main, il avait réussi à s'en sortir uniquement blessé et assez légèrement aux membres inférieurs tout en ayant tué toutes les autres personnes présentes à l'aide de l'arme de son bouclier vivait qu'il avait ensuite laisser violemment tomber comme une pure loque. De mon côté, j'avais tenté de me débarrasser de tout ceux qui n'étaient pas à sa portée. D'un premier coup de pied par derrière, j'avais repoussée l'homme que me fouillait à l'autre bout de la pièce. Il était clair que j'avais une force plus que masculine, comme quoi sortir des labos de Kira est tout de même un sacré atout... Puis, je l'avais abattu de quelques balles avant de tuer ceux qui semblaient vouloir lui porter de l'aide. Le dernier survivant avait ensuite été réduit au silence par mon sabre, planté dans son abdomen.
Nous nous étions ainsi débarrasser de tout ceux qui, quelques minutes auparavant, nous encerclaient. Quelle ironie! Malheureusement, de tout les hommes qui nous accompagnaient, aucun n'était debout, les quelques rares survivants gisant de la marre de leur sang, à l'agonie, on ne les différenciait même plus trop des rebelles que nous avions abattu. Tout se confondait désormais en une grande masse rougeâtre. Le carrelage blanc avait disparu, disparu sous les cadavres. Spectacle terrifique mais jouissif... Si horrible, mais si agréable à la fois... Tout n'était qu'une question de point de vue après tout... J'étais plutôt de ceux qui trouvaient l'ensemble jouissif et agréable. De plus, nous n'étions pas trop blessés, pour ma part, quelques coups aux jambes, et une balle qui avait effleuré mon flanc. Lui, s'en sortait assez bien également, malgré ses quelques mots digne d'un caprice d'enfant de tout à l'heure.
Il s'était retourné et m'avait alors dit :
"Ca va être une sacrée soirée, c'est moi qui te le dis AHAHAHAHAHAHA..."
Tiens? Il s'était mis à me tutoyer? Cela n'était pas plus mal~ En tout cas, j'approuvais d'un large sourire. C'était à se demander qui punissait les criminels ici...
Nous sortons alors.
Mais soudain... Une ombre surgit de nul part, d'un couloir annexe sûrement et... Se précipite vers mon supérieur. Il est de taille moyenne, visage caché ce qui le rendait impossible à reconnaître... Seuls ses yeux sont visibles et Dieu sait que cela ne renseigne pas énormément sur son physique... Intuile de chercher à savoir de qui il s'agit... Mais ce qui m'inquiète est tout autre... Car ce que je remarque ensuite, c'est le sabre qu'il dégaine de sa ceinture et qu'il élance sur Iwa... Trop tard. Je suis trop loin pour réagir... Iwa devra s'en sortir seul au corps à corps, mais je ne peux le laisser. Mon premier réflexe est alors de dégainer mon arme à feu et de tirer plusieurs balles dans la direction de l'attaquant. Malheureusement aucune d'entre elles n'atteignit un point mortelle, une seule parvint à se loger dans son épaule...
Mais que fait ce type ici?... En tout cas d'après son expression, il n'a pas l'air enchanté du spectacle qui recouvre ce sol, lui...
A quoi jouait-il?... Vu les propos qu'il tenait et surtout la façon dont il débitait toutes ses paroles, il semblait connaître cette personne qui nous proférait ces ordres... Mais... Pour que nous soyons ainsi encerclés et menacés dans un lieu comme celui-ci sur commandement de cette voix au visage inconnu... Cela signifiait qu'elle appartenait forcément un rebelle non?... Alors pourquoi se montrer si... Enfin presque amicale avec?... A croire qu'il la connaissait cette personne, mais plus dans un bon sens que dans celui qu'on entretenait avec un ami?... Serait-ce un de ses plans? Ou peut-être ne suis-je pas au courant d'un point de cette descente?... Je n'en sais rien. Laissons faire, de toute façon je le suis... Que faire d'autre après tout?...
Il avait apparemment choisi de se plier à cette demande et, main derrière la tête, s'était plaqué contre le mur, je l'imitais. Il me regarde. Je le comprends. Il comprend que j'ai compris? Tout est bon. Deux gardes s'avancent pour nous fouiller... Un peu trop long et tactile à mon goût... Il a intérêt à virer ses sales pattes de là. De toute façon, si tout se déroule bien, il devrait regretter d'ici peu de temps...
Je ne croyais pas si bien dire. Iwa avait commencé les hostilités en réduisant l'homme à l'état d'un bouclier humain qui le couvrait des balles adverses. Par je ne sais quel tour de magie, car il était vrai qu'il était assez impressionnant quand il en venait au main, il avait réussi à s'en sortir uniquement blessé et assez légèrement aux membres inférieurs tout en ayant tué toutes les autres personnes présentes à l'aide de l'arme de son bouclier vivait qu'il avait ensuite laisser violemment tomber comme une pure loque. De mon côté, j'avais tenté de me débarrasser de tout ceux qui n'étaient pas à sa portée. D'un premier coup de pied par derrière, j'avais repoussée l'homme que me fouillait à l'autre bout de la pièce. Il était clair que j'avais une force plus que masculine, comme quoi sortir des labos de Kira est tout de même un sacré atout... Puis, je l'avais abattu de quelques balles avant de tuer ceux qui semblaient vouloir lui porter de l'aide. Le dernier survivant avait ensuite été réduit au silence par mon sabre, planté dans son abdomen.
Nous nous étions ainsi débarrasser de tout ceux qui, quelques minutes auparavant, nous encerclaient. Quelle ironie! Malheureusement, de tout les hommes qui nous accompagnaient, aucun n'était debout, les quelques rares survivants gisant de la marre de leur sang, à l'agonie, on ne les différenciait même plus trop des rebelles que nous avions abattu. Tout se confondait désormais en une grande masse rougeâtre. Le carrelage blanc avait disparu, disparu sous les cadavres. Spectacle terrifique mais jouissif... Si horrible, mais si agréable à la fois... Tout n'était qu'une question de point de vue après tout... J'étais plutôt de ceux qui trouvaient l'ensemble jouissif et agréable. De plus, nous n'étions pas trop blessés, pour ma part, quelques coups aux jambes, et une balle qui avait effleuré mon flanc. Lui, s'en sortait assez bien également, malgré ses quelques mots digne d'un caprice d'enfant de tout à l'heure.
Il s'était retourné et m'avait alors dit :
"Ca va être une sacrée soirée, c'est moi qui te le dis AHAHAHAHAHAHA..."
Tiens? Il s'était mis à me tutoyer? Cela n'était pas plus mal~ En tout cas, j'approuvais d'un large sourire. C'était à se demander qui punissait les criminels ici...
Nous sortons alors.
Mais soudain... Une ombre surgit de nul part, d'un couloir annexe sûrement et... Se précipite vers mon supérieur. Il est de taille moyenne, visage caché ce qui le rendait impossible à reconnaître... Seuls ses yeux sont visibles et Dieu sait que cela ne renseigne pas énormément sur son physique... Intuile de chercher à savoir de qui il s'agit... Mais ce qui m'inquiète est tout autre... Car ce que je remarque ensuite, c'est le sabre qu'il dégaine de sa ceinture et qu'il élance sur Iwa... Trop tard. Je suis trop loin pour réagir... Iwa devra s'en sortir seul au corps à corps, mais je ne peux le laisser. Mon premier réflexe est alors de dégainer mon arme à feu et de tirer plusieurs balles dans la direction de l'attaquant. Malheureusement aucune d'entre elles n'atteignit un point mortelle, une seule parvint à se loger dans son épaule...
Mais que fait ce type ici?... En tout cas d'après son expression, il n'a pas l'air enchanté du spectacle qui recouvre ce sol, lui...
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@ Invité
Le truc qui me marqua alors qu'on était en train de sortir, c'était que Fate pointa son arme sur moi, attend, ah non c'était pas sur moi mais sur quelque chose ou quelqu'un derrière moi, mais le sifflement de la balle, qui passa à côté, mais alors ... J'avoue que j'ai jamais eu cette sensation là avant !
En me retournant, histoire de voir sur quoi tirer Fate, j'aperçu une grosse masse noir, en faite c'était un homme cagoulé, et il ... il pointait un sabre sur moiiii ! Oh bon Dieu de Kira, j'ai vraiment cru que j'allais y passer, heureusement que Fate sait viser, ... Enfin sait viser, elle s'est quand même reprit à quelque fois avant d'atteindre sa cible, heureusement que j'étais pas non plus trop pressé de mourir, hein ?
-T'in t'es un rapide toi ? Mais attend, fais nous voir ton visage on sera plus copain copain comme ça !!
Je me jetais sur lui, déjà qu'il avait reçut une belle une balle dans l'épaule, voilà qu'il allait devoir supporter mon assaut. Hé ben il allait devoir faire preuve de beaucoup d'imagination et de force, parce que moi quand je veux quelque chose je l'obtiens. Voilà, je le tiens en pincette, contre le mur, je lève un petit coup mes yeux, histoire de voir son nom, et ben.... C'est une surprise !!
-Darkwood... Darkwood, tu sais que tu n'es pas le premier que je croise à porter se nom, en plus avec un prénom comme Akira, ton visage doit être affreux, voyons, voir ça un peu, Fate part en première, je te rejoindrais plus tard, éclates -toi un peu, moi j'ai un invité que je dois accueillir comme il se doit...
Il se débattait bien le bougre, je devais redoubler d'efforts pour le maîtriser, pas facile facile à manier ce gars là, allé mais purée laisses toi faire merde !
-Ahhh enfin je vois ton ... Mais c'est toi !!!! Je n'y crois pas tu es venu alors, Oh tu me fais un de ces honneurs, sache que tu ressemble beaucoup à ton frère et tu sais quoi ? Le comble c'est qu'aujourd'hui je t'ai pris pour lui aha, si c'est pas la meilleur quand même. Bon alors, Hadès, c'est quoi ton petit jeu hein ?
C'est fou la ressemblance quand même, va falloir que j'en parle à Arashi quand même.
-Alors, ça ta plu le spectacle que je t'ai donné ? Tu as du être au premier rang pour voir tout ça hein ? Mais bon je t'avais prévenu !!
Regardant sa plait à l'épaule, J'oubliais son sabre, mais alors totalement, mais j'avais envie de faire truc. J’incérai mon doigt de la main droite dans la plait de la balle, histoire de jouer un peu, il y avait un peu de sang qui coulait, mais fallait l’enlever vite.
-Et si je mets le doigt là, ça fait mal ?
J’avais envie de le faire, je la sentais en plus, allé, on tire dessus, et …. Hop, je lui mis devant les yeux le bout de métal que je venais d’extraire de son corps, tout de même sans anesthésie ça devait faire bien mal comme il fallait !!
-Regarde ce que j’ai là, alors j’imagine que maintenant tu es plus disposé à parler non ?
En me retournant, histoire de voir sur quoi tirer Fate, j'aperçu une grosse masse noir, en faite c'était un homme cagoulé, et il ... il pointait un sabre sur moiiii ! Oh bon Dieu de Kira, j'ai vraiment cru que j'allais y passer, heureusement que Fate sait viser, ... Enfin sait viser, elle s'est quand même reprit à quelque fois avant d'atteindre sa cible, heureusement que j'étais pas non plus trop pressé de mourir, hein ?
-T'in t'es un rapide toi ? Mais attend, fais nous voir ton visage on sera plus copain copain comme ça !!
Je me jetais sur lui, déjà qu'il avait reçut une belle une balle dans l'épaule, voilà qu'il allait devoir supporter mon assaut. Hé ben il allait devoir faire preuve de beaucoup d'imagination et de force, parce que moi quand je veux quelque chose je l'obtiens. Voilà, je le tiens en pincette, contre le mur, je lève un petit coup mes yeux, histoire de voir son nom, et ben.... C'est une surprise !!
-Darkwood... Darkwood, tu sais que tu n'es pas le premier que je croise à porter se nom, en plus avec un prénom comme Akira, ton visage doit être affreux, voyons, voir ça un peu, Fate part en première, je te rejoindrais plus tard, éclates -toi un peu, moi j'ai un invité que je dois accueillir comme il se doit...
Il se débattait bien le bougre, je devais redoubler d'efforts pour le maîtriser, pas facile facile à manier ce gars là, allé mais purée laisses toi faire merde !
-Ahhh enfin je vois ton ... Mais c'est toi !!!! Je n'y crois pas tu es venu alors, Oh tu me fais un de ces honneurs, sache que tu ressemble beaucoup à ton frère et tu sais quoi ? Le comble c'est qu'aujourd'hui je t'ai pris pour lui aha, si c'est pas la meilleur quand même. Bon alors, Hadès, c'est quoi ton petit jeu hein ?
C'est fou la ressemblance quand même, va falloir que j'en parle à Arashi quand même.
-Alors, ça ta plu le spectacle que je t'ai donné ? Tu as du être au premier rang pour voir tout ça hein ? Mais bon je t'avais prévenu !!
Regardant sa plait à l'épaule, J'oubliais son sabre, mais alors totalement, mais j'avais envie de faire truc. J’incérai mon doigt de la main droite dans la plait de la balle, histoire de jouer un peu, il y avait un peu de sang qui coulait, mais fallait l’enlever vite.
-Et si je mets le doigt là, ça fait mal ?
J’avais envie de le faire, je la sentais en plus, allé, on tire dessus, et …. Hop, je lui mis devant les yeux le bout de métal que je venais d’extraire de son corps, tout de même sans anesthésie ça devait faire bien mal comme il fallait !!
-Regarde ce que j’ai là, alors j’imagine que maintenant tu es plus disposé à parler non ?
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@ Takeshi Saitô
Age : 33
Localisation : Dans le QG du gouvernement
Pan.
Alors qu'il allait frapper Junichiro, il se reçut une balle pour le moins inattendue dans l'épaule et fut projeté contre le mur. Souffle rauque, voix de Zen qui crie dans sa tête. Elle...elle ne pouvait pas se taire ? Il devait se concentrer, arriver à voir mieux la scène, distinguer tous les détails pour sauver le maximum de monde possible. Pour l'instant, tout ce qu'il voyait, c'était les soldats allongés sur le sol et croyez-moi, vu l'état dans lequel il semblait être, ce n'était pas très joyeux. Il en vit un ou deux bouger, mais ils devaient être grièvement blessés ; si l'on ne les aidait pas dans les dix minutes qui suivaient, ils mourraient certainement. Connard de pro-Kira.
Acculé contre le mur, Akira Darkwood écoutait, démasqué, ses paroles. Donc, ce type était un possesseur des yeux du shinigami, fameux marché dans lequel le possesseur donne la moitié de sa vie en échanger d'un pouvoir qui lui donne le droit de voir le nom et l'âge des gens. Il était vraiment tombé sur le pire...Et maintenant, il allait sans doute devoir se débrouiller pour lui faire croire qu'il était Arashi.
« Je vois tout, Hadès ! Qu'est-ce que ce type dit ? Vous vous êtes vus ? C'est quoi, cette histoire de frère ? »
Il ne pouvait pas répondre aux cris de Zen, bien qu'il sache que la situation dans laquelle il s'était fourré n'était pas des plus rassurantes...au contraire. Il eut à peine le temps de reprendre son souffle, digérer toutes ces découvertes que l'homme se mit à trifouiller dans son épaule, enlevant...c'était trop, Hadès cria, sous les cris de Zen qui lui disait qu'elle allait envoyer des renforts ! « Non ! » fut sa seule réponse qui pouvait passer elle-aussi pour un cri. Il y avait assez de mort comme ça et la jeune femme intelligente savait très bien qu'ils ne pouvaient pas se le permettre. Mello, lui, serait ravi, s'il mourrait. Une fois que « l'opération » fut finie, le jeune homme tomba à terre, le regard dans le vague, regardant presque avec incompréhension Junichiro.
« Je....c'est moi...Ara...shi...Je..faisais une surprise pour voir comment tu te débrouillais. »
Piètre excuse, et puis Arashi ne se serait jamais affalé sur le sol, jamais habillé en noir ninja. Il serait fièrement venu avec cet homme, l'aurait aidé à exterminer les rebelles et serait reparti avec lui. Hadès ne devait pas se leurrer et penser que son frère aurait pu agir autrement, puisqu'en réalité, Arashi était tout sauf un gentil toutou mignon qui se serait affalé à la première balle dans l'épaule. Tous deux était si différents ! Hadès, lui, était plutôt un idéaliste convaincu qui tentait de rattraper son retard en sabre et en sport mais face à lui, il y avait cet Arashi qui évoluait aussi. Il ne le rattraperait sans doute jamais et son corps étant plus faible, il était loin de ses compétences, lui qui avait été entraîné par leur grand-père dès la première heure.
« Pouce. Bon, OK, je ne suis pas lui. Et maintenant, qu'allez-vous faire ? Inscrire mon nom sur votre cahier, monsieur le premier ministre ? Je ne suis peut-être pas...argh..du côté des rebelles. Enchanté. Vous pouvez m'appeler Akira mais je trouve que c'est un joli nom. N'êtes-vous pas d'accord ? »
Il voit trouble.
Alors qu'il allait frapper Junichiro, il se reçut une balle pour le moins inattendue dans l'épaule et fut projeté contre le mur. Souffle rauque, voix de Zen qui crie dans sa tête. Elle...elle ne pouvait pas se taire ? Il devait se concentrer, arriver à voir mieux la scène, distinguer tous les détails pour sauver le maximum de monde possible. Pour l'instant, tout ce qu'il voyait, c'était les soldats allongés sur le sol et croyez-moi, vu l'état dans lequel il semblait être, ce n'était pas très joyeux. Il en vit un ou deux bouger, mais ils devaient être grièvement blessés ; si l'on ne les aidait pas dans les dix minutes qui suivaient, ils mourraient certainement. Connard de pro-Kira.
Acculé contre le mur, Akira Darkwood écoutait, démasqué, ses paroles. Donc, ce type était un possesseur des yeux du shinigami, fameux marché dans lequel le possesseur donne la moitié de sa vie en échanger d'un pouvoir qui lui donne le droit de voir le nom et l'âge des gens. Il était vraiment tombé sur le pire...Et maintenant, il allait sans doute devoir se débrouiller pour lui faire croire qu'il était Arashi.
« Je vois tout, Hadès ! Qu'est-ce que ce type dit ? Vous vous êtes vus ? C'est quoi, cette histoire de frère ? »
Il ne pouvait pas répondre aux cris de Zen, bien qu'il sache que la situation dans laquelle il s'était fourré n'était pas des plus rassurantes...au contraire. Il eut à peine le temps de reprendre son souffle, digérer toutes ces découvertes que l'homme se mit à trifouiller dans son épaule, enlevant...c'était trop, Hadès cria, sous les cris de Zen qui lui disait qu'elle allait envoyer des renforts ! « Non ! » fut sa seule réponse qui pouvait passer elle-aussi pour un cri. Il y avait assez de mort comme ça et la jeune femme intelligente savait très bien qu'ils ne pouvaient pas se le permettre. Mello, lui, serait ravi, s'il mourrait. Une fois que « l'opération » fut finie, le jeune homme tomba à terre, le regard dans le vague, regardant presque avec incompréhension Junichiro.
« Je....c'est moi...Ara...shi...Je..faisais une surprise pour voir comment tu te débrouillais. »
Piètre excuse, et puis Arashi ne se serait jamais affalé sur le sol, jamais habillé en noir ninja. Il serait fièrement venu avec cet homme, l'aurait aidé à exterminer les rebelles et serait reparti avec lui. Hadès ne devait pas se leurrer et penser que son frère aurait pu agir autrement, puisqu'en réalité, Arashi était tout sauf un gentil toutou mignon qui se serait affalé à la première balle dans l'épaule. Tous deux était si différents ! Hadès, lui, était plutôt un idéaliste convaincu qui tentait de rattraper son retard en sabre et en sport mais face à lui, il y avait cet Arashi qui évoluait aussi. Il ne le rattraperait sans doute jamais et son corps étant plus faible, il était loin de ses compétences, lui qui avait été entraîné par leur grand-père dès la première heure.
« Pouce. Bon, OK, je ne suis pas lui. Et maintenant, qu'allez-vous faire ? Inscrire mon nom sur votre cahier, monsieur le premier ministre ? Je ne suis peut-être pas...argh..du côté des rebelles. Enchanté. Vous pouvez m'appeler Akira mais je trouve que c'est un joli nom. N'êtes-vous pas d'accord ? »
Il voit trouble.
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@ Invité
Je le regardais déballer ses salades et blablabla, Akira oui c'est sympa, mais je préfère le mien, de toute façon qu'est-ce qu'il imaginait, que j'allais le tuer il est con où quoi ?? Chose marrante j'avais envie d'en savoir un peu plus, sur lui et sur son frère, OK le moment n'est pas super bien choisit mais je m'en fous de toute façon faut bien récupérer des informations de temps en temps et pas tuer à tout va, non ?
J'avoue, j'étais curieux, il n’était pas non plus faible, mais il n'égalait en rien son frère, Ah Arashi, quel grand Homme, je m'assis à côté de lui, après avoir ramassé son sabre que je gardai en mains, histoire de, je ne suis pas suicidaire non plus!!
-Bon ben parlons un peu alors, et non je ne vais pas te tuer, non je ne vais pas te laisser vivre, enfin du moins pour le moment oui, mais ce n’est pas marrant si je te tue tout de suite, alors, voilà, tu fous quoi ici ? Et puis pourquoi tu n'es plus avec ton frère, tu sais le grand Arashi, l'homme le plus dur que j'ai jamais rencontré de toute ma vie, mais ne t'en fais pas je suis beaucoup plus fou que lui, en fait tu devrais te faire du souci je pense, mais bon ce n’est pas grave... Alors Akira Darkwood, j’épargnerais tes hommes si tu me dis ce que je veux savoir, ce n’est pas formidable ça ?
Je regardais autour de moi, il y avait du sang qui commençais à couler à partir de la pièce jusqu'à une sorte de conduite d’égout où je ne sais trop quoi, je ne savais pas qu'autant de sang pouvait s’échapper de tous ces corps, marrant quand même, ça me rappel ces films d'horreur, mais cette fois c'est moi qui était le bourreau de ce carnage, que c'était beau!!! Cette couleur rouge, si chaude, et qui signifie tout pour nous pauvre humains que nous sommes.
Levant la tête je regardais un soldat qui tentait de bouger, avec les dernières forces qui lui restait, malheureusement, où heureusement plutôt pour lui, il ne lui restait plus que 5, 4, 3, 2, 1 voilà, il ne souffrira plus...
-Tu sais, je suis peut-être enfin voilà, mais j'avoue que je ne suis pas quelqu'un dénué de tous sentiments, j'ai perdu ma mère devant moi, elle s'est fait violer puis assassiner, Arashi le sais dans les grandes lignes, mais je trouve ces gens-là, méprisables, je voudrais tous les voir alignés sur une ligne droite et leur donner moi-même la sentence approprié, qui aurait de toute façon comme issue la mort, mais vous les rebelles vous ne comprenez pas ça, vous ne savez pas ce qu'on peut ressentir quand on assiste à ce genre de spectacle, vous êtes comme des ânes auxquels on a mis des ouillères du coup vous ne voyez que nos agissements mais pas ce qui à autour... Je me trompe ?
Je pris le sabre entre mes deux mains, la plaça entre mes jambes pour le coincer, et regarda la lame avec attention, c'est quand même beau !!
-C'est presque le même qu'Arashi non ? ... Bon allé ce n’est pas tout, mais va falloir en finir.
Je me levai, le regardant de haut, je ne pouvais faire autrement, vu sa posture actuelle, puis le désigna à l'aide de son sabre que je tenais dans la main, j'aurais au moins rencontré le frère d'Arashi.
-J'aurais au moins peu faire la connaissance du frère à Arashi, j'ai été enchanté...
Lui donnant l’impression que j'allais lui assainir un coup des plus fatal, je jetais son sabre qui attira droit, planté dans quelque chose, je n'ai pas eu vraiment le temps de regarder, j'avais déjà engagé le pas pour sortir rejoindre Fate, levant ma main droite je fais un signe d’au-revoir pour l'homme que je laissais en arrière derrière moi, j'avais d'autre char à fouetter après tout, d'autres hommes attendaient que je les éclaire de ma blanche lumière, enfin blanche un temps, parce que le blanc se transformera en rouge puis en noir totale pour eux héhé, la nuit n'était pas encore fini !!
-A la prochaine j’espère, Akira !
J'avoue, j'étais curieux, il n’était pas non plus faible, mais il n'égalait en rien son frère, Ah Arashi, quel grand Homme, je m'assis à côté de lui, après avoir ramassé son sabre que je gardai en mains, histoire de, je ne suis pas suicidaire non plus!!
-Bon ben parlons un peu alors, et non je ne vais pas te tuer, non je ne vais pas te laisser vivre, enfin du moins pour le moment oui, mais ce n’est pas marrant si je te tue tout de suite, alors, voilà, tu fous quoi ici ? Et puis pourquoi tu n'es plus avec ton frère, tu sais le grand Arashi, l'homme le plus dur que j'ai jamais rencontré de toute ma vie, mais ne t'en fais pas je suis beaucoup plus fou que lui, en fait tu devrais te faire du souci je pense, mais bon ce n’est pas grave... Alors Akira Darkwood, j’épargnerais tes hommes si tu me dis ce que je veux savoir, ce n’est pas formidable ça ?
Je regardais autour de moi, il y avait du sang qui commençais à couler à partir de la pièce jusqu'à une sorte de conduite d’égout où je ne sais trop quoi, je ne savais pas qu'autant de sang pouvait s’échapper de tous ces corps, marrant quand même, ça me rappel ces films d'horreur, mais cette fois c'est moi qui était le bourreau de ce carnage, que c'était beau!!! Cette couleur rouge, si chaude, et qui signifie tout pour nous pauvre humains que nous sommes.
Levant la tête je regardais un soldat qui tentait de bouger, avec les dernières forces qui lui restait, malheureusement, où heureusement plutôt pour lui, il ne lui restait plus que 5, 4, 3, 2, 1 voilà, il ne souffrira plus...
-Tu sais, je suis peut-être enfin voilà, mais j'avoue que je ne suis pas quelqu'un dénué de tous sentiments, j'ai perdu ma mère devant moi, elle s'est fait violer puis assassiner, Arashi le sais dans les grandes lignes, mais je trouve ces gens-là, méprisables, je voudrais tous les voir alignés sur une ligne droite et leur donner moi-même la sentence approprié, qui aurait de toute façon comme issue la mort, mais vous les rebelles vous ne comprenez pas ça, vous ne savez pas ce qu'on peut ressentir quand on assiste à ce genre de spectacle, vous êtes comme des ânes auxquels on a mis des ouillères du coup vous ne voyez que nos agissements mais pas ce qui à autour... Je me trompe ?
Je pris le sabre entre mes deux mains, la plaça entre mes jambes pour le coincer, et regarda la lame avec attention, c'est quand même beau !!
-C'est presque le même qu'Arashi non ? ... Bon allé ce n’est pas tout, mais va falloir en finir.
Je me levai, le regardant de haut, je ne pouvais faire autrement, vu sa posture actuelle, puis le désigna à l'aide de son sabre que je tenais dans la main, j'aurais au moins rencontré le frère d'Arashi.
-J'aurais au moins peu faire la connaissance du frère à Arashi, j'ai été enchanté...
Lui donnant l’impression que j'allais lui assainir un coup des plus fatal, je jetais son sabre qui attira droit, planté dans quelque chose, je n'ai pas eu vraiment le temps de regarder, j'avais déjà engagé le pas pour sortir rejoindre Fate, levant ma main droite je fais un signe d’au-revoir pour l'homme que je laissais en arrière derrière moi, j'avais d'autre char à fouetter après tout, d'autres hommes attendaient que je les éclaire de ma blanche lumière, enfin blanche un temps, parce que le blanc se transformera en rouge puis en noir totale pour eux héhé, la nuit n'était pas encore fini !!
-A la prochaine j’espère, Akira !
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@ Fate Harlaown
Age : 27
Au final, même si la balle que j'ai portée à cet inconnu cagoulé armé de ce sabre semble l'avoir fortement ralenti dans son ardeur d'attaque, Monsieur le Premier Ministre semblait très bien s'en sortir! Un homme qui me fait à travers son comportement bien des surprises et qui se montre plein de ressource pour quelqu'un placé si haut dans cet hiérarchie, surtout après comparaison avec mes anciens supérieurs : souvent moins gradés mais bizarrement, aucun ne pouvait s'imaginer l'idée d'une descente et de la mort à "mains nues", c'est ce qu'on appelle des "passifs" des faibles quand on regarde... Cela change un peu! Enfin je me répète...
Il avait en effet profiter de la faille créée par mon intervention pour sauter sur l'attaquant malgré son désavantage : son ennemi était armé alors que lui n'avait que ses mains pour se défendre. Cependant, cela ne semblait pas être un réel problème... Le maîtriser était apparemment un jeu d'enfant vu la vitesse avec laquelle il l'avait précipité contre le mur, empêchant tous ses mouvements. Voyant qu'il n'a pas besoin d'aide, du moins comme les apparences le laissent deviner, je m'écarte un peu. Il semble alors entamer la conversation avec son adversaire. Il est vraiment curieux dans sa façon de faire, c'est presque comme s'il prenait ceux qui l'affrontent pour ses... Camarades de jeu?... Fou... Mais pas dans le mauvais sens étrangement~ C'est une folie assez charmante si je puis dire~ Enfin bref.
Après une écoute assez passive et peu attentive -car après tout cette discussion ne me regarde pas-, j'ai juste réussi à saisir quelques paroles dont le nom de "Darkwood". Je ne sais pas trop ce que cela vient faire là mais bon... J'ai beau être intriguée je n'ai pas à m'en mêler. Vient alors son ordre, celui d'avancer et de l'attendre. Ordre que j'exécute sans grande hâte, après tout, il a l'air d'en avoir pour un petit moment encore. Je quitte alors mon poste : le simple statut de spectatrice, adossée à un mur, et me dirige alors vers l'endroit par lequel nous étions arrivés, rebroussant ainsi chemin. J'ai juste le temps d'apercevoir le visage de cet "inconnu" qui ne semble pas tant l'être d'ailleurs... Une chevelure rousse, longue, attachée, un homme mais cela, il fallait s'en douter, yeux bridés typique des origines asiatiques très présentes ici mais un petit côté étranger. Européen... Ou Américain peut-être?... Aucune idée. Et une cicatrice... Ce qui importe, c'est que ce visage, il me dit quelque chose... Enfin pour tout dire justement, cela importe peu. Ce n'est peut-être qu'une impression car en général les visages dont je ne me souviens pas sont ceux des personnes qui me sont insignifiantes ou qui ne m'ont pas marqué... A moins que ce ne soit qu'une ressemblance... Enfin bon.
Je m'éclipse sans discrétion particulière et arpente les "couloirs" de ce gigantesque dédale souterrain... Quelques mètres, je finis par ne plus les entendre... Ce qu'ils font n'a plus d'importance... Je pense qu'Iwa va l'exécuter. Après... Je peux ne tromper, il semble si imprévisible que prédire ne serait-ce que la prochaine idée qui lui passera par la tête semble impossible. En avançant, je croise quelques corps de rebelles, à l'agonie, rampant au sol dans l'espoir de s'en sortir vivant... Quel bande d'utopiste... Même face à ce fléau naturel qu'est la mort ils cherchent une issue... Une bande de vermines... Une bande d'hérétiques... Qui n'acceptent pas la résonance du pouvoir de Dieu... De notre Dieu : Kira... Enfin, je vais abréger leurs souffrances. Loin de là l'idée qu'il me parait politiquement correct de leur offrir une mort en bonne et due forme... Autant en finir c'est tout non?... Une balle ici, un bon plantage de sabre dans un endroit bien choisi là... Les choses vont vites... Mais je m'amuse... Tuant également en chemin les quelques rares imprudents qui s'aventuraient ici...
Quelques minutes passent quand la silhouette d'Iwa apparaît. Il affiche un sourire satisfait. En a t-il fini avec lui?... Sûrement... Mais je suis curieuse. Adossée au mur, couverte de quelques tâches de sang résultant de mes multiples interventions, je sors de l'ombre et rejoins mon supérieur me permettant ces quelques questions :
"Je suis bien curieuse de savoir ce que vous lui avez fait... De plus, sauriez-vous m'expliquer le sort que vous réservez aux autres? Et quant à la suite?... Je suppose que vous pensez comme moi : la nuit est encore longue!"
[ >_< Excusez mon temps de réponse si long pour un RP si peu intéressant et complet, manque d'inspiration oblige >_<]
édit Hadès : si peu intéressant ? Mais non ! J'aime beaucoup ton rp ! Il est très bien ! ^^
Il avait en effet profiter de la faille créée par mon intervention pour sauter sur l'attaquant malgré son désavantage : son ennemi était armé alors que lui n'avait que ses mains pour se défendre. Cependant, cela ne semblait pas être un réel problème... Le maîtriser était apparemment un jeu d'enfant vu la vitesse avec laquelle il l'avait précipité contre le mur, empêchant tous ses mouvements. Voyant qu'il n'a pas besoin d'aide, du moins comme les apparences le laissent deviner, je m'écarte un peu. Il semble alors entamer la conversation avec son adversaire. Il est vraiment curieux dans sa façon de faire, c'est presque comme s'il prenait ceux qui l'affrontent pour ses... Camarades de jeu?... Fou... Mais pas dans le mauvais sens étrangement~ C'est une folie assez charmante si je puis dire~ Enfin bref.
Après une écoute assez passive et peu attentive -car après tout cette discussion ne me regarde pas-, j'ai juste réussi à saisir quelques paroles dont le nom de "Darkwood". Je ne sais pas trop ce que cela vient faire là mais bon... J'ai beau être intriguée je n'ai pas à m'en mêler. Vient alors son ordre, celui d'avancer et de l'attendre. Ordre que j'exécute sans grande hâte, après tout, il a l'air d'en avoir pour un petit moment encore. Je quitte alors mon poste : le simple statut de spectatrice, adossée à un mur, et me dirige alors vers l'endroit par lequel nous étions arrivés, rebroussant ainsi chemin. J'ai juste le temps d'apercevoir le visage de cet "inconnu" qui ne semble pas tant l'être d'ailleurs... Une chevelure rousse, longue, attachée, un homme mais cela, il fallait s'en douter, yeux bridés typique des origines asiatiques très présentes ici mais un petit côté étranger. Européen... Ou Américain peut-être?... Aucune idée. Et une cicatrice... Ce qui importe, c'est que ce visage, il me dit quelque chose... Enfin pour tout dire justement, cela importe peu. Ce n'est peut-être qu'une impression car en général les visages dont je ne me souviens pas sont ceux des personnes qui me sont insignifiantes ou qui ne m'ont pas marqué... A moins que ce ne soit qu'une ressemblance... Enfin bon.
Je m'éclipse sans discrétion particulière et arpente les "couloirs" de ce gigantesque dédale souterrain... Quelques mètres, je finis par ne plus les entendre... Ce qu'ils font n'a plus d'importance... Je pense qu'Iwa va l'exécuter. Après... Je peux ne tromper, il semble si imprévisible que prédire ne serait-ce que la prochaine idée qui lui passera par la tête semble impossible. En avançant, je croise quelques corps de rebelles, à l'agonie, rampant au sol dans l'espoir de s'en sortir vivant... Quel bande d'utopiste... Même face à ce fléau naturel qu'est la mort ils cherchent une issue... Une bande de vermines... Une bande d'hérétiques... Qui n'acceptent pas la résonance du pouvoir de Dieu... De notre Dieu : Kira... Enfin, je vais abréger leurs souffrances. Loin de là l'idée qu'il me parait politiquement correct de leur offrir une mort en bonne et due forme... Autant en finir c'est tout non?... Une balle ici, un bon plantage de sabre dans un endroit bien choisi là... Les choses vont vites... Mais je m'amuse... Tuant également en chemin les quelques rares imprudents qui s'aventuraient ici...
Quelques minutes passent quand la silhouette d'Iwa apparaît. Il affiche un sourire satisfait. En a t-il fini avec lui?... Sûrement... Mais je suis curieuse. Adossée au mur, couverte de quelques tâches de sang résultant de mes multiples interventions, je sors de l'ombre et rejoins mon supérieur me permettant ces quelques questions :
"Je suis bien curieuse de savoir ce que vous lui avez fait... De plus, sauriez-vous m'expliquer le sort que vous réservez aux autres? Et quant à la suite?... Je suppose que vous pensez comme moi : la nuit est encore longue!"
[ >_< Excusez mon temps de réponse si long pour un RP si peu intéressant et complet, manque d'inspiration oblige >_<]
édit Hadès : si peu intéressant ? Mais non ! J'aime beaucoup ton rp ! Il est très bien ! ^^
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@ Takeshi Saitô
Age : 33
Localisation : Dans le QG du gouvernement
« Hadès ? Hadès, on intervient ? »
La voix affolée, c'était la moins de le dire, de Zen lui parvenait aux oreilles. Elle criait presque dans ses propres tympans, justifiant que le pseudonyme qu'elle avait vêtu n'était plus digne de l'être. Hadès était au sol, un mastodonte de l'armée de Kira devant lui et n'en menait pas vraiment large. Lui, il lui posait des questions auxquelles il ne répondrait pas, a priori. Il n'avait aucune envie de lui révéler la raison de pourquoi il s'était séparé d'Arashi, celle-là lui semblant déjà assez obscure à ses propres yeux. Pour Akira Darkwood, c'était Arashi qui s'était trompé de camp, et encore Arashi qui aurait dû rester à ses côtés. Le seul qui ai commis une faute. Le chef de la résistance lança un regard furieux à Junichiro Iwa, sa main gauche se figeant sur son épaule, essayant d'arrêter le sang qui coulait. Il ne regarda pas vers le ciel, essayant de respirer tout doucement, faire oublier à l'autre que des résistants se cachaient encore dans la pièce. S'il n'y avait que lui comme victime, on pourrait dire que c'était parfait.
Ce qu'il raconta sur sa mère était...absolument navrant. Hadès n'y était pour rien mais il faisait partie du mauvais côté. Le camp qui, a priori, protégerait les criminels comme ceux qui avaient violé et tué sa mère devant ses yeux. Le jeune homme n'y pouvait trop rien, juste hoche la tête dans un rythme lent, signifiant à l'homme qu'il le comprenait et, mieux qu'il aurait voulu que tout ceci n'ait pas lieu. Peu importe le régime qu'il y avait lieu, il resterait toujours des cinglés qui péteraient un câble à cause d'il ne savait pas quoi, et l'autocratie qu'avait instaurée Kira n'était pas du tout une exception. Hadès secoua de nouveau la tête mais...s'arrêta totalement de bouger lorsque Junichiro s'emparer de son katana, l’examinant de plus près. Si toutefois la conversation avait pris des connotations plus amicales, il aurait pu lui révéler que leur grand-père avait été leur maître à tous les deux et que ces sabres venaient tout simplement de leur famille. Leur héritages, en quelque sorte.
Il lança le sabre et Hadès retint son souffle, fermant ses yeux et se mordant les lèvres. Et...ça fit un bruit énormes, il sentit du vent juste à côté de ses cheveux.
Le sabre ne lui était pas rentré dessus et l'homme avait visiblement frappé juste à côté de lui. Akira Darkwood poussa un soupir soulagé, les cris de Zen dans les oreilles suffisant à faire qu'il ne s'évanouisse pas et la vision de Junichiro partant de là, se demandant pourquoi donc il ne le prenait pas en otage. Il fallait...fallait pas Zen arrive. Il...il espéra alors que les autres étaient à une distance suffisante pour ne pas l'entendre et contacta, grâce à son micro, sa sous-chef. Il fallait absolument qu'elle ordonne aux autres de ne pas bouger où les bouledogues pourraient très bien profiter de la solution, laissant Hadès se baigner dans leur sang, encore vivant.
« Zen. Chut, je suis vivant. Blessé, mais vivant, ils n'ont pas l'intention de me tuer. Je t'expliquerai plus tard, mais sache que je ne suis un vendu. Ordonne aux hommes de pas bouger, ils sont encore sur le terrain. C'est une question de vie et de mort ! Quand tu verras qu'ils sont partis, la blonde et le premier ministre, même s'il reste des soldats de Kira vivants, vous pourrez intervenir...Ahh...pas avant. Je te laisse donner les ordres, moi, je ne peux pas appuyer sur le bouton pour changer de réseau. »
Il avait une voix des plus rauques et semblait vraiment avoir mal. Son sabre étant juste à côté de sa tête, il ne pouvait pas trop bouger, histoire de pas se couper.
« Pitié et allégeance sur toi...tu parles. Quel idiot. Comme si c'était le bon moyen de venger sa mère... »
La voix affolée, c'était la moins de le dire, de Zen lui parvenait aux oreilles. Elle criait presque dans ses propres tympans, justifiant que le pseudonyme qu'elle avait vêtu n'était plus digne de l'être. Hadès était au sol, un mastodonte de l'armée de Kira devant lui et n'en menait pas vraiment large. Lui, il lui posait des questions auxquelles il ne répondrait pas, a priori. Il n'avait aucune envie de lui révéler la raison de pourquoi il s'était séparé d'Arashi, celle-là lui semblant déjà assez obscure à ses propres yeux. Pour Akira Darkwood, c'était Arashi qui s'était trompé de camp, et encore Arashi qui aurait dû rester à ses côtés. Le seul qui ai commis une faute. Le chef de la résistance lança un regard furieux à Junichiro Iwa, sa main gauche se figeant sur son épaule, essayant d'arrêter le sang qui coulait. Il ne regarda pas vers le ciel, essayant de respirer tout doucement, faire oublier à l'autre que des résistants se cachaient encore dans la pièce. S'il n'y avait que lui comme victime, on pourrait dire que c'était parfait.
Ce qu'il raconta sur sa mère était...absolument navrant. Hadès n'y était pour rien mais il faisait partie du mauvais côté. Le camp qui, a priori, protégerait les criminels comme ceux qui avaient violé et tué sa mère devant ses yeux. Le jeune homme n'y pouvait trop rien, juste hoche la tête dans un rythme lent, signifiant à l'homme qu'il le comprenait et, mieux qu'il aurait voulu que tout ceci n'ait pas lieu. Peu importe le régime qu'il y avait lieu, il resterait toujours des cinglés qui péteraient un câble à cause d'il ne savait pas quoi, et l'autocratie qu'avait instaurée Kira n'était pas du tout une exception. Hadès secoua de nouveau la tête mais...s'arrêta totalement de bouger lorsque Junichiro s'emparer de son katana, l’examinant de plus près. Si toutefois la conversation avait pris des connotations plus amicales, il aurait pu lui révéler que leur grand-père avait été leur maître à tous les deux et que ces sabres venaient tout simplement de leur famille. Leur héritages, en quelque sorte.
Il lança le sabre et Hadès retint son souffle, fermant ses yeux et se mordant les lèvres. Et...ça fit un bruit énormes, il sentit du vent juste à côté de ses cheveux.
Le sabre ne lui était pas rentré dessus et l'homme avait visiblement frappé juste à côté de lui. Akira Darkwood poussa un soupir soulagé, les cris de Zen dans les oreilles suffisant à faire qu'il ne s'évanouisse pas et la vision de Junichiro partant de là, se demandant pourquoi donc il ne le prenait pas en otage. Il fallait...fallait pas Zen arrive. Il...il espéra alors que les autres étaient à une distance suffisante pour ne pas l'entendre et contacta, grâce à son micro, sa sous-chef. Il fallait absolument qu'elle ordonne aux autres de ne pas bouger où les bouledogues pourraient très bien profiter de la solution, laissant Hadès se baigner dans leur sang, encore vivant.
« Zen. Chut, je suis vivant. Blessé, mais vivant, ils n'ont pas l'intention de me tuer. Je t'expliquerai plus tard, mais sache que je ne suis un vendu. Ordonne aux hommes de pas bouger, ils sont encore sur le terrain. C'est une question de vie et de mort ! Quand tu verras qu'ils sont partis, la blonde et le premier ministre, même s'il reste des soldats de Kira vivants, vous pourrez intervenir...Ahh...pas avant. Je te laisse donner les ordres, moi, je ne peux pas appuyer sur le bouton pour changer de réseau. »
Il avait une voix des plus rauques et semblait vraiment avoir mal. Son sabre étant juste à côté de sa tête, il ne pouvait pas trop bouger, histoire de pas se couper.
« Pitié et allégeance sur toi...tu parles. Quel idiot. Comme si c'était le bon moyen de venger sa mère... »
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@ Invité
Voilà, c'était fini avec lui, je voulais le revoir bien sûr, alors à quoi bon le trucider si on ne peut plus jouer avec par la suite, ça serait considéré comme de la nécro... je ne préfère pas y penser cela me rappelle bizarrement de mauvais souvenir enfin passons.
Je me mis donc en direction de la sortie, histoire de rejoindre ma chère Fate, et au passage peut-être faucher une ou deux têtes, il fallait que je me défoule, je me sentais comme un pirate qui n'avait pas donnait satisfaction à sa lame, je n'avais pas assez fait couler le sang, à mon goût...
Ces couloirs n'en finissaient plus, mais bon sang par où est ce que ... tien en voilà deux autre, et hop et hop, décidément ils ne savent pas très bien se défendre ceux-là, de plus je suis seul, et bon c'est pas que mais j'ai envie de me reposer, je fatigue un peu c'est normal, cette discussion m'a un peu mise sur le banc de touche, mais on est toujours plein de surprise, alors qui sait ce que la suite me réserve et ce que je réserve aux autres comme petit paquet surprise.
-FATE où es-tu ? Ma chère petite FATE ??
Je continuais dans ma lançais, j'avais commencé à courir je voulais reprendre de l'air frais, tout en continuant ma mutinerie de mon côté, je faisais mordre la poussière à ceux qui pensaient pouvoir me tuer, m’éradiquer, me réduire à néant, mais on ne tue pas le premier ministre comme ça, je ne suis pas une chose facile à atteindre, à toucher, et à tuer surtout.
Alors voilà qui est encouragent, je me retrouvais devant la cage d'escalier, enfin les escaliers qui une fois grimpé, me permettrons de sortir de ce putain de bâtiment, qui ... Ah la voilà ma chère Fate enfin je la retrouve.
"Je suis bien curieuse de savoir ce que vous lui avez fait... De plus, sauriez-vous m'expliquer le sort que vous réservez aux autres? Et quant à la suite?... Je suppose que vous pensez comme moi : la nuit est encore longue!"
-Moui Moui, je me suis autant amusé qu'un petit chiot avec sa baballe, mais j'avoue que je suis surprit sur une chose, c'est votre capacité à faire votre petite mission de votre côté, cela ne me déplaît pas au moins, nous avons tous deux de quoi nous amuser n'est-ce pas ?
Bon alors que dit la suite, qu'est ce qui nous est possible de faire ici et maintenant, les gardes ont certainement dû faire un peu le ménage dedans comme dehors, nous allons leur laisser le temps de compter leurs morts, j'aimerais pouvoir rentrer maintenant mais je ne sais pas je pense que je resterais sur ma faim, qu'en penses-tu ? Fate, je te demande ton avis ...
L'autre zigoto est toujours dedans, mais cela m'étonnerais qu'il commande à lui seule tout ce petit beau monde, pourquoi faire le ménage dehors, la nuit ne fait que commencer et j'ai envie de passer encore du temps avec toi, tu réserves des surprises et j'aime les surprises !
Un grand sourire au visage, mes mains sur mes hanches, je commençais doucement à ressentir les quelques douleurs et tiraillements dues aux blessures, égratignures, de balles, de lames, des murs enfin un peu de tout, mais cela ne faisait qu’attiser le feu qui brûlait en moi, interceptant un soldat au passage, je lui prit son talkie-walkie, il resta à côté de moi tout le long de l'utilisation de celui-ci, appuyant sur le bouton d'émission, je rapprochais l'engin de ma bouche.
-Messieurs, préparez-vous à passer une nuit longue et éprouvante, la partie ne fait que commencer.
Je me mis donc en direction de la sortie, histoire de rejoindre ma chère Fate, et au passage peut-être faucher une ou deux têtes, il fallait que je me défoule, je me sentais comme un pirate qui n'avait pas donnait satisfaction à sa lame, je n'avais pas assez fait couler le sang, à mon goût...
Ces couloirs n'en finissaient plus, mais bon sang par où est ce que ... tien en voilà deux autre, et hop et hop, décidément ils ne savent pas très bien se défendre ceux-là, de plus je suis seul, et bon c'est pas que mais j'ai envie de me reposer, je fatigue un peu c'est normal, cette discussion m'a un peu mise sur le banc de touche, mais on est toujours plein de surprise, alors qui sait ce que la suite me réserve et ce que je réserve aux autres comme petit paquet surprise.
-FATE où es-tu ? Ma chère petite FATE ??
Je continuais dans ma lançais, j'avais commencé à courir je voulais reprendre de l'air frais, tout en continuant ma mutinerie de mon côté, je faisais mordre la poussière à ceux qui pensaient pouvoir me tuer, m’éradiquer, me réduire à néant, mais on ne tue pas le premier ministre comme ça, je ne suis pas une chose facile à atteindre, à toucher, et à tuer surtout.
Alors voilà qui est encouragent, je me retrouvais devant la cage d'escalier, enfin les escaliers qui une fois grimpé, me permettrons de sortir de ce putain de bâtiment, qui ... Ah la voilà ma chère Fate enfin je la retrouve.
"Je suis bien curieuse de savoir ce que vous lui avez fait... De plus, sauriez-vous m'expliquer le sort que vous réservez aux autres? Et quant à la suite?... Je suppose que vous pensez comme moi : la nuit est encore longue!"
-Moui Moui, je me suis autant amusé qu'un petit chiot avec sa baballe, mais j'avoue que je suis surprit sur une chose, c'est votre capacité à faire votre petite mission de votre côté, cela ne me déplaît pas au moins, nous avons tous deux de quoi nous amuser n'est-ce pas ?
Bon alors que dit la suite, qu'est ce qui nous est possible de faire ici et maintenant, les gardes ont certainement dû faire un peu le ménage dedans comme dehors, nous allons leur laisser le temps de compter leurs morts, j'aimerais pouvoir rentrer maintenant mais je ne sais pas je pense que je resterais sur ma faim, qu'en penses-tu ? Fate, je te demande ton avis ...
L'autre zigoto est toujours dedans, mais cela m'étonnerais qu'il commande à lui seule tout ce petit beau monde, pourquoi faire le ménage dehors, la nuit ne fait que commencer et j'ai envie de passer encore du temps avec toi, tu réserves des surprises et j'aime les surprises !
Un grand sourire au visage, mes mains sur mes hanches, je commençais doucement à ressentir les quelques douleurs et tiraillements dues aux blessures, égratignures, de balles, de lames, des murs enfin un peu de tout, mais cela ne faisait qu’attiser le feu qui brûlait en moi, interceptant un soldat au passage, je lui prit son talkie-walkie, il resta à côté de moi tout le long de l'utilisation de celui-ci, appuyant sur le bouton d'émission, je rapprochais l'engin de ma bouche.
-Messieurs, préparez-vous à passer une nuit longue et éprouvante, la partie ne fait que commencer.
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@ Fate Harlaown
Age : 27
Le temps passe longuement... Que je m'ennuie! Sans plus personne avec qui "m'amuser" - enfin si l'on considère le mot amusement de la même façon que
moi, ce qui reste tout de même assez rare dans ce monde ou même si
les tordus se font de plus en plus nombreux, ce que les gens appelle la "sainteté d'esprit" reste majoritaire est seule à être considérée comme "normale", c'est une chose qui va changer avec Kira, enfin je suppose : encore une raison de le suivre (car si je puis me permettre, faites un tour dans le haut du panier de la hiérarchie de Kira, vous verrez qu'il n'y a pas des masses de gens que l'on qualifierait de "saint d'esprit") enfin tout n'est qu'une question de point de vue -, ni personne avec qui parler pour tout dire.
Il était donc revenu et avait commencé à répondre à ces quelques paroles que je lui avais adressé. Il avait l'air de s'être bien amusé. Enfin, d'après ses paroles du moins. Comme il le disait si bien, oui, je m'étais certainement autant amusé de mon côté, même si j'ignore ce qu'il a fait à cet homme là-bas qui a tenté de l'attaquer. Cela doit être intéressant tiens~ Je suis bien curieuse moi, mes méthodes me suffisent, mais les siennes doivent être de bons sujets d'études. Passons passons. Intéressons nous à ce qu'il nous demande.
"Bon alors que dit la suite, qu'est ce qui nous est possible de faire ici et maintenant, les gardes ont certainement dû faire un peu le ménage dedans comme dehors, nous allons leur laisser le temps de compter leurs morts, j'aimerais pouvoir rentrer maintenant mais je ne sais pas je pense que je resterais sur ma faim, qu'en penses-tu ? Fate, je te demande ton avis ...
L'autre zigoto est toujours dedans, mais cela m'étonnerais qu'il commande à lui seule tout ce petit beau monde, pourquoi faire le ménage dehors, la nuit ne fait que commencer et j'ai envie de passer encore du temps avec toi, tu réserves des surprises et j'aime les surprises !"
Serait-il déjà satisfait?... Oh non! Il y a encore tellement de chose à faire! J'ai encore tellement de chose à lui montrer pour tout dire. Il faut dire que j'en connais des camps rebelles, un bon paquet même, seulement du haut de mon petit poste d'autrefois, je ne pouvais me permettre le choix d'aucune frappe de mon propre rechef, il fallait toujours attendre la validation de mon supérieur incompétent qui finissait par abandonner l'idée d'une descente avec pour arguments le manque de preuve. Manque de preuve! Manque de preuve! Comme si leurs allées-venues et ces activités suspectes ne suffisaient pas! Quelle manque de compétence! Rah. Repenser à cette époque où du haut de mon petit poste je ne valais pas grand chose me fit esquiver une grimace. J'étais tellement mieux maintenant, là où mon entourage professionnel voyait les choses comme moi et où je pouvais servir Kira comme je considérais que je devais le faire.
Enfin, tout cela pour dire que je connaissais pas mal d'endroit digne d'amusement dans le coin~ Et que c'était l'occasion de les exploiter s'il en demandait plus~
Il parla ensuite d'un "autre zigoto", il devait être question de cet homme de tout à l'heure. Il l'aurait laissé en vie? Étonnant.
Je crois qu'il est d'accord avec moi. La nuit est loin d'être finie et nous avons encore des tas de choses à faire et à nous montrer.
"Et bien, nous sommes du même avis. Je pense que nous avons bien des choses à faire encore! Si vous croyez que nous en avons assez fait ici, je connais pas mal d'autres coins infestés de rebelles et qui n'ont jamais été attaqués~ Mais je pense qu'en continuant à évoluer dans ce dédale nous dégotterons bien des choses intéressantes! La réunion de tout à l'heure n'était-elle pas symbole d'une frappe organisée à venir?~"
Je sors alors mon paquet de cigarettes et en tire une clope que je porte à ma bouche avant de l'allumer avec mon briquet. Je tire une bouffée et le regarde :
"Vous fumez?"
La fumée emplit doucement l'air... Il est agréable de sentir cette odeur... Ce n'est peut-être pas très distingué d'avoir une telle attitude surtout quand on est une femme mais bon, autant qu'il me connaisse. Je pense que je n'ai rien de féminin hormis le physique. Je fume, je bois, je jure, autant qu'un homme sûrement. Mais je suis bien comme ça non? Ca a beau faire fuir les hommes, ça permet de se faire respecter~
Il intercepte alors un soldat et s'empare de son talkie-walkie murmurant ainsi quelques paroles à ses hommes. Je continue mon explication :
"Oui, les plus grosses bases rebelles doivent communique via ces tunnels. C'est un véritable réseau. Ils doivent rejoindre les égouts mais c'est un atout considérable pour leurs agissements."
Je désigne le tunnel derrière nous :
"Nous sommes actuellement sous Nakano, à la limite avec Shinjuku qu'on doit atteindre dans le kilomètre qui suit je dirais. En continuant par là, vers le nord, nous devrions rejoindre le quartier de Shibuya. Là-bas, il y a plusieurs groupements. Mais en fouillant un peu, on devrait trouver des bases. Des réserves surtout je dirais, mais plus loin. Le quartier de Shinjuku est totalement annexé et passé au peigne fin, ils ne peuvent rien installer là-bas, ils doivent cacher leurs armes quelque part, il doit y avoir un stock... S'il y a un gros regroupement comme celui-ci, on doit pouvoir le trouver dans les quartiers externes. Le plus loin possible du quartier des affaires là où se concentrent nos effectifs. Sûrement du côté d'Edogawa ou de Katsushika. A moins qu'ils ne cachent le tout de l'autre côté, vers Ota. C'est tout à fait possible. En tout cas, je pense que ces tunnels doivent mener vers quelque chose ou même quelque part d'intéressant. Je ne sais trop quoi pour tout dire... Mais ça vaut le coup d'essayer non?~"
moi, ce qui reste tout de même assez rare dans ce monde ou même si
les tordus se font de plus en plus nombreux, ce que les gens appelle la "sainteté d'esprit" reste majoritaire est seule à être considérée comme "normale", c'est une chose qui va changer avec Kira, enfin je suppose : encore une raison de le suivre (car si je puis me permettre, faites un tour dans le haut du panier de la hiérarchie de Kira, vous verrez qu'il n'y a pas des masses de gens que l'on qualifierait de "saint d'esprit") enfin tout n'est qu'une question de point de vue -, ni personne avec qui parler pour tout dire.
Il était donc revenu et avait commencé à répondre à ces quelques paroles que je lui avais adressé. Il avait l'air de s'être bien amusé. Enfin, d'après ses paroles du moins. Comme il le disait si bien, oui, je m'étais certainement autant amusé de mon côté, même si j'ignore ce qu'il a fait à cet homme là-bas qui a tenté de l'attaquer. Cela doit être intéressant tiens~ Je suis bien curieuse moi, mes méthodes me suffisent, mais les siennes doivent être de bons sujets d'études. Passons passons. Intéressons nous à ce qu'il nous demande.
"Bon alors que dit la suite, qu'est ce qui nous est possible de faire ici et maintenant, les gardes ont certainement dû faire un peu le ménage dedans comme dehors, nous allons leur laisser le temps de compter leurs morts, j'aimerais pouvoir rentrer maintenant mais je ne sais pas je pense que je resterais sur ma faim, qu'en penses-tu ? Fate, je te demande ton avis ...
L'autre zigoto est toujours dedans, mais cela m'étonnerais qu'il commande à lui seule tout ce petit beau monde, pourquoi faire le ménage dehors, la nuit ne fait que commencer et j'ai envie de passer encore du temps avec toi, tu réserves des surprises et j'aime les surprises !"
Serait-il déjà satisfait?... Oh non! Il y a encore tellement de chose à faire! J'ai encore tellement de chose à lui montrer pour tout dire. Il faut dire que j'en connais des camps rebelles, un bon paquet même, seulement du haut de mon petit poste d'autrefois, je ne pouvais me permettre le choix d'aucune frappe de mon propre rechef, il fallait toujours attendre la validation de mon supérieur incompétent qui finissait par abandonner l'idée d'une descente avec pour arguments le manque de preuve. Manque de preuve! Manque de preuve! Comme si leurs allées-venues et ces activités suspectes ne suffisaient pas! Quelle manque de compétence! Rah. Repenser à cette époque où du haut de mon petit poste je ne valais pas grand chose me fit esquiver une grimace. J'étais tellement mieux maintenant, là où mon entourage professionnel voyait les choses comme moi et où je pouvais servir Kira comme je considérais que je devais le faire.
Enfin, tout cela pour dire que je connaissais pas mal d'endroit digne d'amusement dans le coin~ Et que c'était l'occasion de les exploiter s'il en demandait plus~
Il parla ensuite d'un "autre zigoto", il devait être question de cet homme de tout à l'heure. Il l'aurait laissé en vie? Étonnant.
Je crois qu'il est d'accord avec moi. La nuit est loin d'être finie et nous avons encore des tas de choses à faire et à nous montrer.
"Et bien, nous sommes du même avis. Je pense que nous avons bien des choses à faire encore! Si vous croyez que nous en avons assez fait ici, je connais pas mal d'autres coins infestés de rebelles et qui n'ont jamais été attaqués~ Mais je pense qu'en continuant à évoluer dans ce dédale nous dégotterons bien des choses intéressantes! La réunion de tout à l'heure n'était-elle pas symbole d'une frappe organisée à venir?~"
Je sors alors mon paquet de cigarettes et en tire une clope que je porte à ma bouche avant de l'allumer avec mon briquet. Je tire une bouffée et le regarde :
"Vous fumez?"
La fumée emplit doucement l'air... Il est agréable de sentir cette odeur... Ce n'est peut-être pas très distingué d'avoir une telle attitude surtout quand on est une femme mais bon, autant qu'il me connaisse. Je pense que je n'ai rien de féminin hormis le physique. Je fume, je bois, je jure, autant qu'un homme sûrement. Mais je suis bien comme ça non? Ca a beau faire fuir les hommes, ça permet de se faire respecter~
Il intercepte alors un soldat et s'empare de son talkie-walkie murmurant ainsi quelques paroles à ses hommes. Je continue mon explication :
"Oui, les plus grosses bases rebelles doivent communique via ces tunnels. C'est un véritable réseau. Ils doivent rejoindre les égouts mais c'est un atout considérable pour leurs agissements."
Je désigne le tunnel derrière nous :
"Nous sommes actuellement sous Nakano, à la limite avec Shinjuku qu'on doit atteindre dans le kilomètre qui suit je dirais. En continuant par là, vers le nord, nous devrions rejoindre le quartier de Shibuya. Là-bas, il y a plusieurs groupements. Mais en fouillant un peu, on devrait trouver des bases. Des réserves surtout je dirais, mais plus loin. Le quartier de Shinjuku est totalement annexé et passé au peigne fin, ils ne peuvent rien installer là-bas, ils doivent cacher leurs armes quelque part, il doit y avoir un stock... S'il y a un gros regroupement comme celui-ci, on doit pouvoir le trouver dans les quartiers externes. Le plus loin possible du quartier des affaires là où se concentrent nos effectifs. Sûrement du côté d'Edogawa ou de Katsushika. A moins qu'ils ne cachent le tout de l'autre côté, vers Ota. C'est tout à fait possible. En tout cas, je pense que ces tunnels doivent mener vers quelque chose ou même quelque part d'intéressant. Je ne sais trop quoi pour tout dire... Mais ça vaut le coup d'essayer non?~"
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