Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 I feel numb in this kingdom - Hayes

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2 participants
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Hiro Hayes

Hiro Hayes


Messages : 36

Feuille de personnage
Âge du personnage: 44 ans

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MessageSujet: I feel numb in this kingdom - Hayes    I feel numb in this kingdom - Hayes  EmptyMer 23 Aoû - 12:52



Fiche de présentation

Informations Générales


Véritables noms et prénoms :
Hiro Hayes. Un patronyme exotique dans le pays du soleil levant légitimé par la dualité de ses racines, certes japonaises mais transperçant aussi l'autre bout du globe, américaines.
Son prénom le répugne et il tend à se faire appeler sous son nom de famille, car de Héros, il n'en a plus l'innocence.

Pseudonyme :
The Sparrowhawk ou l'épervier, en référence a son accuité visuelle et a ses capacités de sniper approuvées de ses pairs. Bien qu'il n'affectionne guère ce sobriquet trop accolé à la comptine « Épervier part en chasse » qui lui parrait barabarre après ses souvenirs atroces de guerre.

Âge :
44 ans.

Convictions politiques :
La position de Hayes par rapport à la politique de Kira est complexe. Il ne sait lui même sur quelle rive se définir. Il approuve les convictions de ce prétendu seigneur mais ne le louange point, ni ne lui voue une foi docile. Ayant connu des monstruosités et été le témoin des pires massacres de l'Homme, l'ancien militaire ne peut que se satisfaire des conflits réduits que le règne punitif de Kira a engendré... Mais à quel prix ? Ces jeunes de la résistance ont le même éclat dans le regard que ces gamins qu'il a déchiré en lambeaux charnels sur des terres recluses. Et cette pensée obsessionnelle, son empathie débordante le tue, intérieurement.  

Rôle :
Sergent et homme de main des dirigeants de ce pays.

Descriptions


Physique :
La lumière crue du néon oblong sculpte sa surface dermique. Le reflet que lui réverbère le miroir lui renvoie un opalescent fantôme. Un qui s'aligne à la file des pierres tombales à le poursuivre en cauchemar. Les traces de cette nuit d'horreur creusent leurs tranchées violines sous la faïence de ses rétines à reluire comme de la céramique. Leur couleur de héliodore esthétise davantage leur beauté de porcelaine. La composition est analogue à celle de ces poupées de vitrine, et pour cause, ses songes anxieux figent son faciès dans un rictus artificiel. Une amertume pour se convaincre.

Ses phalanges noueuses caresse la toison drue de sa mâchoire. Une pilosité entretenue suit la courbe de sa maxillaire. Il l'arbore depuis cette époque de relâchement, de mutinerie adulescente et n'a eu de cesse de s'occuper de sa taille régulièrement depuis.

Ses ongles perdurent leur errance charnelle et ébouriffent son scalpe. Une couronne de cheveux mi-longs ondulant dans un désordre capillaire pourtant sophistiqué.

Sa génétique tressée de cultures s'incarne dans ces constatations eurasiennes qui le rapprochent et le divisent de ses pairs japonais. Sa place dans le système interne du pays n'est qu'un siège pour en revendiquer une assise tangible. Il a toujours eu ce sentiment de devoir légitimer sa présence sur ce sol d'orient que sa mère avant lui a peuplé.

Un frisson pique son torse dénudé, saillant et grêle. Son appétence est carencée depuis sa promotion. Sa pitance journalière est une besogne qui creuse son estomac d'un dégoût biliaire.  

Hier encore la jeune fille qu'il a livré aux vautours policiers avait tout juste la vingtaine. Son expression de terreur avait hurlé dans ses tympans dans sa vulnérabilité de Morphée.

Un spectre vengeur, dans la ronde de ces pâles figures, qui n'a de cesse de tourner dans ses pensées prisonnières de cet œil de cyclone tortueux.

Il n'est en définitive point ce héros prétendu de la nation.

Dans cette interruption insomniaque, il maudit encore son prénom.

Hiro...

Caractère :
Les émotions grouillent, bouillent, et souillent ses traits, un masque à l'argile flexible et visible sous sa structure de peau. Hayes est un livre dont les énigmes de sa calligraphie se décryptent sous le raisonnement d'une aisance enfantine. Ses sentiments, comme ceux qui les saisissent, sont ses prédateurs dominants, il est assujetti par leur emprise charnière. Une corde sensible vibre sans la tuyauterie de ses veines qu'il a souhaité maintes fois ouvrir : son empathie poignante.

Hayes est un père de famille – déstructurée – aimant. Il est ce voisin silencieux et affectueux. Il est ce pèlerin urbain affable qui vous scrute tout sourire, de ce faciès spontané dénué d'arrières pensées. Parce qu'il est Humain, il accorde à ses pairs une considération équitable et d'éthique. Ce statut à évaluer sa nature de simple mortel, il s'y est confronté à de nombreuses reprises, questionnement violents, introspections saignantes, les constatations atroces des théâtres de guerre.  

La mort a frôlé sa chair et celle de ses camarades dont une hiérarchie diligente les accolait à canon.

Car il vit avec ses morts mais aussi car la vie l'embaume avec l'enthousiasme de sa fille, Mariko, Hayes concilie ces deux mondes aux antipodes avec leur force souveraine : un fléau de ressentis écrasants et universels. Hayes en est l'antenne réceptive. Le plus subtil signal de détresse grésille sa compassion écorchée.

Et parce que son humanité est son trône et son tombeau, sa déficience altruiste le rehausse également dans sa dévotion envers les siens. Ceux de son sang ou ceux à qui il prête bon de le partager. Son allégeance ne s’agenouille sous aucun camp, juste sous la soumission de l'instant vers lesquels ses ébranlements décident ou non d'appuyer sur la gâchette.

Certains manquements ou négligences perpétuées, qui bien que réparées par ses subordonnés, agacent ses supérieurs... Et les font rire sous cape. Car un élément percés par tant de failles peut se placer stratégiquement sur l’échiquier adverse, en infiltrer peut-être les défenses sans que ce pauvre pion ne conscientise la main l'ayant échoué sur un rivage attendu.

Hayes est gentil, et beaucoup trop.

Qu'il tombe donc pendant qu'il préserve cette candeur.

Que sa chute de domino entraîne les âmes rivales où il aura pris souciance de s'aligner.

Particularités ?
→ Victime des syndromes post-traumatiques des survivants de champs de batailles, il arrive encore à Hayes de passer des nuits d'épouvante. Son médecin lui a prescrit des anxiolytiques qu'il tient perpétuellement à portée main.

→ Quand bien même il soit dans le camp des alliés du Très Haut, il éprouve un sentiment de sympathie pour toutes les victimes du régime. Une sensibilité qui ne le rend que plus aisément manipulable et dont il tait les remous. Ne serait-ce que pour protéger sa fille chérie ou son ex-femme des loups qui voudraient lui nuire.

Histoire

Entrée 00 : Le journal se matérialise de la forme physique d'une couverture rigide, ersatz d'un simili cuir synthétique que le temps a terni. Les pages ont elles aussi subi cette usure, jaunies de leur vieillesse cartonneuse. Leurs rides calligraphiques ont pâli du même sort, l'encre qui rature les feuilles tant de fois tournées se devine dans un nuancier de sépia. L'écriture arrondie et maladroite des premières lignes marque une chronologie dans ce que le lecteur devine être une main d'enfant. Cette maîtrise scripturale s'esthétise dans des mains adultes à mesure des nombreux récits, des témoignages de vies compilés dans ce qui semble n'en régir qu'une seule. Appelez ceci biographie ou simple carnet intime. Ces rapports n'ont pas le narcissisme de vanter une existence. Ils ne sont que les témoignages de souvenirs dont son détenteur ne semblent vouloir se déposséder. Car les souvenirs sont les seuls biens figuratifs qui nous connectent au temps avec les songeries futures, à l'exception que ceux-ci sont déjà ancré dans une réalité antérieure. Comme dans ce simpliie respectable de papier qui s'équivaut à une cervelle collective. Les yeux intrus en partagent les souvenances.

***

Entrée 01: Maman m'a offert ce carnet pour mon dixième anniversaire. Elle a eu un magnifique sourire en constatant le mien à la vue de ce cadeau inattendu. C'est la première fois que je me sens si grand et chargé d'un devoir important, d'une tache de mémoire. Maman m'a expliqué en japonais, la deuxième langue de notre maison, que tout humain se construisait en ne niant point son passé. Ce journal est mon confident mais aussi mon anti-sèche pour le jour où je deviendrai un homme. L'exercice me parait amusant, j'ai hâte de continuer à écrire ici. 
Papa m'a également félicité en me caressant affectueusement la tête en m'appelant good boy
Les glaces que nous sommes ensuite allés déguster dans un diner du centre ville de Pittsburgh ont été les meilleures que je n'ai jamais mangé.

***

Entrée 02 : La fougue qui m'animait au début de ma pratique journalière s'est estompée. Je n'ai plus cette innocence enfantine, celle d'inscrire les émerveillements puérils dans un support qui mériterait une attention postérieure. J'ai maintenant dix sept ans et je suis au lycée. La vie s'écoule sans remous et sans fange. Mes parents sont en bonne santé et ma routine étudiante est ordinaire. Je ne suis point des pires élèves ni des meilleurs malgré une reconnaissance de la part de mes professeurs dans l'apprentissage des langues et des aspects littéraires de leur utilisation. Je ne pense pas valoir de pareil mérite. Je suis habitué à un foyer bilingue qui en facilite l'apprentissage. Mes tuteurs scolaires m'invitent pourtant à poursuivre dans ce sens mais je n'en ressens point l'intérêt. J'ai pris la peine d'y réfléchir et je pense gagner l'armée d'ici deux ans. Je ne fais point ce choix par orgueil pour notre pays et sa « prestigieuse » puissance d'armes. Je fais ce choix selon mes convictions et parce que je pense pouvoir trouver ma place en ces rangs. Je veux m'imbriquer au monde et suis curieux de voir quelles richesses il m'offrira en retour. 

***

Entrée 03 : Nous sommes en septembre 2001. Et j'ai vingt ans. Si je prends encore la plume après ce long mutisme d'auteur, c'est parce que notre Terre vient de prendre une rotation particulière dont l'agencement échappe encore à mes cognitions brouillées du choc. Nous sommes tous sous l'effroi. Dans le pays et dans le monde entiers. Le World Trade Center vient de tomber en une journée suivi d'autres actions horribles. Les informations se brouillent dans cette boîte à images qui n'en peut plus de se colorer de sang et de drames. Le pentagone aurait été ciblé. Un autre avion crashé au milieu des terres aurait tenté de viser la maison blanche. Bush vient de faire une allocution à ce propos, reconnaissant ce nouveau chapitre de notre monde et comptant y porter des « remontrances ». J'ai éteint la télévision après son discours. Ne sachant qu'en penser vraiment si ce n'est une certitude. Le jeune militaire que je suis, entraîné, va bientôt se faire réquisitionner dans une péninsule de l'Est loin de ses racines. 
Ce destin était prévisible mais aujourd'hui, je me sens juste fatigué. Éreinté de la bêtise humaine et de ses ampleurs débordantes qui nous échappent. 
Demain j'irai à l'appartement de mes parents les enlacer. Comme au bon vieux temps. 
Pour continuer de les aimer dans ce chaos médiatique où nous ne figurerons pas. 

***

Entrée 04 : Nous ne valons rien. 
Cette phrase sonne probablement d'un nihilisme dévastateur, mais je perds graduellement ma foi pour le genre humain à mesure que passent les semaines ou les mois. Mon quotidien est trop perpétué d'horreur pour que j'atteste des repères temporels d'usage. 
Me voici en Afghanistan. Au cœur d'un complexe dont mes camarades et moi même ne sommes que de la chair sacrifiable. Des enjeux à la con agrémentés d'un certain racisme de mes pairs. Une haine que je ne partage point. Nos ennemis sont tantôt des hommes armés, tantôt des adolescents enrôlés dans une machinerie perfide... Quand nos mires vivantes ne muent pas en de simples civils, proies de leurs geôliers invitées à prendre les armes contre l'opposant américain, pour préservée la vie de leur famille menacée. Nous avons abattu un père de famille ainsi l'autre jour. Je jure que je me suis senti à chier. 
J'ai la conscience sale de trop de pourriture. C'est ça de voir la mort en face.   

***

Entrée 05 : Je viens de rentrer sur le sol sécurisant des States. Ma main tremble et je m'excuse de la lecture tortueuse que cela requiert. Les nerfs sont à bout. J'ai beau être aux antipodes de la menace, je la sens courir encore sur ma peau. J'ai vu tant de mes camarades partir, d'innocents et de corps mutilés que je pense ne plus m'intégrer sainement dans cette société. Les gens m'accueillent en héros et je n'en peux bientôt plus de ce nom que je ne mérite point. Mes mains sont souillées de ceux que je n'ai pu sauver. 
En sortant de l'aéroport, j'ai vu deux gamins « jouer à guerre » entre eux, imitant à l'aide de leurs grêles phalanges et des bruitages de leurs langues un échange de tirs. 
Je me suis effondré. J'ai fait ce que les secours nomment une crise d'hyperventilation. 
Tandis que j'écris ces lignes, une boîte à comprimés repose apposée au dessus de mon carnet.
Les médecins me l'ont prescrite pour dormir. Car j'avais besoin d'un repos que je peine à gagner et que même plongé artificiellement je redoute maintenant. 
Mes rêves ne sont plus aussi agréables.

***

Entrée 06 : Le traitement commence à faire effet. Mes angoisses sont toujours présentent mais sont gérables. Je reprends doucement cette maîtrise sur moi-même. 
Je pense changer de décor pour faciliter mon insertion en société. Je compte retourner sur les terres natales de ma mère, au Japon. 
J'ai ce besoin de me couper de ma propre culture pour revivre. De m'amputer de mes racines. Qui sait le terreau sera-t-il peut-être plus fertile ailleurs ? 

***

Entrée 07 : J'ai découvert l'existence d'une curieuse entité en reprenant contact avec la société et plus particulièrement la société japonaise. Je m'étais tenu éloigné de l'actualité pour ma propre sanité et canaliser mes angoisses pernicieuses ravagées par la moindre image crue. Et le constat est d'autant plus troublant qu'il paraît irréaliste. 
Un mystérieux sauveur châtie les criminels de ce monde en empruntant le nom de Kira. Qui qu' il soit, je ne peux que saluer son initiative. Je ne médite pas sur son éthique mais sur la portée de son holocauste contre le vice. Pour avoir vu la guerre, que je ne souhaite à personne, je serais satisfait que Kira nous offre un monde sans conflit. Une belle et vraie utopie.

***

Entrée 08 : Me voici à mon trente et unième anniversaire. Un homme heureux. Et comblé. Je viens de devenir père d'une magnifique petite fille du nom de Mariko. 
Ma femme ? C'est vrai que je n'ai pas inscrit notre rencontre. Elle se nomme Nomi. Une japonaise que j'ai rencontré dans mon voisinage. Nous nous étions tenus compagnie entre célibataires un trente et un décembre et l'alchimie s'est faite. Nous nous sommes vus plus fréquemment part la suite... Puis elle est devenue ma partenaire.. Puis ma fiancée... Et ma femme. Jusqu'à devenir la femme te de notre enfant. NOTRE. Je me sens proche d'elle et saisis d'une euphorie qui chasse la suie de mes sombres pensées. 
Je ne veux que l'épanouissement et la sécurité de ma fille et de mon épouse.
Kira... Je ne sais quel jugement porter encore sur ses actions. Mais j'ai la certitude qu'il m'aidera dans cette conviction. Je vais me mettre à son service. Du moins au service du gouvernement qui revendique son idéologie. Je me fiche d'être une épée ou un mortier pensant. « Elles » sont le centre rotatif de mon existence. 

***

Entrée 09 : Les échelons ont été gravi par efforts et non sans suer dans l'ascension. Me voici sergent sous les ordres directs de notre gouvernement. Un grade au plus bas de l'escalier mais dont je jouis de la réussite m'enorgueillant de cette perspective : j'ai à présent la position adéquate pour protéger davantage mes femmes. Même si Nomi n'est plus officiellement la mienne.
Nous avons divorcé d'un accord commun le mois dernier. La distance de mon travail nous a fait relativiser les sentiments de notre couple. Nous nous aimions plus de la même fougue. Mais nous sommes restés bons amis pour la joie de Mariko. 
Elle rayonnait dans la robe que je lui ai offerte pour ses douze ans. 
Je ne sais vers quel avenir me dirigera mon actuelle fonction. Des sentiers périlleux, je présume. La résistance s'intensifie de jour en jour et leurs actions sont de plus en plus infâmes... Au même titre qu'elle se renforce de désespérés qui s'enlisent dans d'innocents larcins pour des punitions toutes aussi iniques. 
Je suis traqué entre deux cordes qui enserrent mon cou. Mon humanité, mon amour pour le genre humain et ma famille, et mon devoir militaire et paternel de protéger mes trésors de chairs. Et cette potence cornélienne garrotte son étreinte a chaque confrontation ennemie qui mue en dilemme. 
Appelez ça le transfert mais dans les yeux de certains de ces rebelles brillent la même ingénuité que celle de Mariko. 


De l'autre côté de l'écran ?

Vous  ?
Pouet.

Votre âge :
24 ans

Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ?  
Grâce à Mellouminet. ♥️

Quelque chose à ajouter ?
Je suis un dc. Celui de Izû.



Dernière édition par Hiro Hayes le Dim 24 Sep - 8:23, édité 9 fois
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Hiro Hayes

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Messages : 36

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MessageSujet: Re: I feel numb in this kingdom - Hayes    I feel numb in this kingdom - Hayes  EmptyDim 27 Aoû - 16:10

Désolée du double message.

Je vous annonce officiellement que j'ai terminé ma fiche.
En espérant que l'essentiel sera bon. N'hésitez pas à me dire dans le cas contraire des modifications à y apporter. J'en prendrai note.

Le code de la fiche bugouille un peu depuis le changement de design, pardon si cela affecte la présentation. :c

Merci d'avance.
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Mello
Enfoiré
Mello


Messages : 471
Age : 32
Localisation : Dans ton...

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MessageSujet: Re: I feel numb in this kingdom - Hayes    I feel numb in this kingdom - Hayes  EmptySam 2 Sep - 16:36

Coucou !

J'ai mis longtemps à lire ta fiche, mais c'est désormais chose faite !

Je te valide avec un plaisir certain, Hiro est très intéressant et j'ai hâte de le voir se développer au fur et à mesure de ses rencontres et des rps !

Le camp de Kira s'élargissant de plus en plus, je pense que tu n'auras pas du tout de mal à trouver un rp ou même embrigader un petit rebelle pour discutailler avec lui !

Contente de te revoir sous ce nouveau compte, je ne t'indique pas les directions des demandes de rps et tout car tu les connais déjà !

Bon jeu à toi !
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