Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes

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MessageSujet: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyLun 26 Mai - 14:08



   
    Fiche de présentation



Informations Générales


       
    Véritables noms et prénoms :

          
    Lorenzo Jean-Marc Ernest Lefebvre

       
    Faux noms et prénoms (ou/et pseudonyme) :

          
    Enzo Nakamura (エンゾー中村) / Mongrel

       
    Âge :

          
    25 ans

       
    Convictions politiques :

          
    Entre Kira et Enzo, c’est une longue histoire d’ « amour ». Si Kira a tué un assassin, Kira a également tué un père qui ne voulait tout comme lui, que vengeance et justice. Kira n’a aucun état d’âme, aucune conscience et aucun savoir vivre. Rejoindre les rangs du Cavalier Noir, c’est assurer un lendemain à ce Nouveau Monde empli de démence. Enzo est un rebelle à la plume frénétique. Dénoncer et exposer au grand jour, l’envers du décor du despote mégalomane est son idéal, aussi bien que ses désirs de vengeance personnelle quant à la cruauté dont fait preuve ce tyran. Agir dans l’ombre, en combattant le feu par le feu. Voilà comment procéder pour mettre à sac cette sombre folie. Lorenzo veut se lever et offrir un meilleur avenir à cette terre déjà bien abimée. Cela commencera par sauver le peu d’ordre et de bon sens qui règnent sur ce monde. Arrêter la censure, et montrer ce qu’est réellement cet Eden illusoire au grand dam de Kira. Pas de compromis. Voilà la conviction politique De Lorenzo.

       
    Rôle :

          
    User de la rhétorique et de l’art du discours. Se faire un Brutus à sa manière. Écrire les faits. Dénoncer. Appeler à réfléchir.


Descriptions


    Physique :

       
    Lorenzo est plus ou moins grand, sportif et trapu. Bien bâti, les bras musclés, les cuisses bien fermes, les mollets durs, Enzo a une morphologie plutôt à son avantage. Globalement, Lorenzo est plutôt agréable à regarder. Atypique, pour un homme naturalisé japonais, il se distingue des tokyoïtes par son teint de jais et ses yeux vairons. À ses oreilles, il porte des boucles d’oreilles. Ses cheveux longs et crépus forment un amas de dreadlocks qui semblent sa fierté.

    Sur son torse se dessinent une toison de poils courts, comme sur ses bras et ses jambes. Sur son bras droit gisent les marques qu’il s’est infligé lorsqu’il voulut en finir avec la vie. Sur son visage se dessinent des tâches brunâtres que l’on pourrait nommer « tâches de rousseur », bien qu’il ne soit pas roux. Ses mains sont quant à elles rugueuses et rêches, et ses pieds trop grand.

    Ces petites parcelles brunes se répandent également sur d’autres endroits de son anatomie, tels que sa poitrine ou encore son dos. Il a le visage long, mais un petit front. Un petit nez parfaitement fin mais légèrement bossu, de belles lèvres charnues et généreuses qui en feraient frissonner plus d’une. Des yeux effilés, des sourcils savamment dessinés. Lorenzo se laisse souvent une barbiche de trois jours qui surmontent sa mâchoire carrée.  

    Niveau apparat, Lorenzo se vêt la plupart du temps de vêtements sombres et près du corps, soulignant ses efforts sportifs. Il préfèrera néanmoins les couleurs sobres, simples et noires.

    Caractère :

       
    Lorenzo a l’esprit vif, le goût de la connaissance et l’esprit de compétition. Si durant sa jeunesse, ce garçon adorait la castagne, aujourd’hui il préfère utiliser sa raison et son bon sens plutôt que de cogner dans le premier type qui viendrait lui chercher des noises. Cependant, Lorenzo sait se servir de ses poings, et pas que. Il est d’un naturel flegme et serein. Sa voix est plutôt rauque, monocorde et apaisante. Son naturel froid peut toutefois très vite monter à température d’ébullition lorsqu’on le pousse à bout. Dès lors, il cognera fort et ne se laissera pas marcher sur les pieds.

    Mis à part cela, Lorenzo est polyglotte. Il sait s’exprimer dans trois langues différentes, c’est à dire, le français, le japonais et l’anglais. Trois langues qui lui ont été enseignées à des âges différents, mais qu’il a su maîtriser, même s’il lui arrive parfois de chercher ses mots ou en utiliser certains, inappropriés dans telle ou telle langue. Les personnes qu’il côtoie savent qu’il peut très facilement ressortir ce qui est dit au cours d’une conversation si celle-ci a eu lieu il y a longtemps. Il peut aisément relater des propos échangés il y a plusieurs années.

    Lorenzo a certains tics comme celui de faire claquer sa langue dès qu’il est contrarié, blasé ou indigné. Il est très friand de la culture traditionnelle japonaise, amateur de sports et de cuisine. Il a une grande peur des souris et du tonnerre. Il est également très susceptible et paranoïaque. Avec les gens, Lorenzo n’est pas facilement à l’aise. La promiscuité le dérange, tout aussi bien que les relations humaines pour lesquelles il n’a jamais été doué. Il n’a pas peur de dire la vérité et manque parfois totalement de tact et de diplomatie. Souvent maladroit, trop franc et direct, il ne le fait pas exprès. Il a juste été très difficile pour lui de s’adapter, non pas seulement à la population nippone mais aux personnes en général, qui n’ont que très rarement su lui donner une chance. Il a appris l’autosuffisance et la débrouillardise. Ce qu’il faut savoir, c’est que Lorenzo a un coeur en or. Dévoué pour ses amis, de ses proches, il a peur d’être délaissé. Sa plus grande peur reste l’abandon et la solitude.

    Particularités ?

       
    • Lorenzo ne passe pas inaperçu. Dans une ville japonaise, il est plutôt rare de croiser de grands hommes à la peau sombre, le crâne garni d’une multitude de tresses entrelacées.
    • Lorenzo parle français, anglais, japonais et comprend quelques bribes de russe.
    • Bonne mémoire auditive.
    • Lorenzo a la phobie des souris, de l’orage et des espaces clos.
    • Peut soulever des stades.
    • Manipulateur mais influençable.
    • Se régénère en une fraction de seconde.
    • Peut traverser les objets.
    • Télépathe.
    • A été abusé sexuellement et a aimé ça.
    • Richissime et beau gosse.
    • A un jumeau maléfique.
    • Séduit tout le monde en une fraction de seconde, parce qu’il a trop de sex-appeal.
    • Moitié-humain, moitié-shinigami, mi-vampire, mi-sorcier, mi-stique et mi-molette.



Histoire

    Enzo Nakamura, né Lorenzo Jean-Marc Ernest Lefebvre, passa les cinq premières années de sa vie aux États-Unis, à Philadelphie, avant de s’installer en banlieue parisienne à Nanterre. Il apprend très tôt le français grâce à sa mère, mais prend également très vite des cours du soir afin de maîtriser aussi bien l’anglais que le français. Ses parents voulant à tout prix qu’il devienne bilingue. Néanmoins, Enzo devint quelque peu dyslexique, aujourd’hui encore il lui arrive de mélanger certaines bribes des langues qu’il maîtrise. Lorenzo n’a jamais été un enfant facile. Très tôt, il voit une psychologue, pour ses réactions pour le moins antisociales. Il n’a jamais vraiment réussi à se faire des amis. Les déménagements n’y ont pas aidé, tout comme l’éducation stricte et vieille école que lui a donné son père. Son père, Sylvio, était un homme d’affaires, très intéressé par la politique et l’économie. Il avait quitté le Nigéria très tôt, en raison des tensions internes et de l’insécurité. Sa mère, Lydia, était une ravissante jeune française d’origine malgache, qui pour gagner sa vie avait ouvert un salon de coiffure. Son père l’avait alors épousé lorsqu’il séjournât en France. Il l’avait alors suivie jusqu’aux États-Unis. Enzo fut le seul enfant du couple.

    Son père s’était lié d’amitié avec un expatrié japonais, Takao. Un homme très sincère et très amical qui offrait beaucoup de cadeaux à la famille chaque fois qu’il retournait au pays. Takao s’était très vite associé au père de Lorenzo dans un projet à deux qu’ils financèrent. Autant dire que Takao était un grand ami de la petite famille. Takao adorait les enfants. À tel point qu’il développa une relation privilégiée avec le fils de son meilleur ami. Malgré son français approximatif, Takao était un véritable ami pour Enzo. Il le traînait dans les meilleurs restaurants japonais d’Opéra et l’emmena même un jour à la Maison de la culture du Japon, voir une exposition sur les samouraï, et dès lors, il se passionna pour la culture nipponne.

    Un jour, le père d’Enzo reçut un mystérieux invité qui changea son attitude vis à vis de sa famille. Distant, le chef de famille devint paranoïaque. Il se ferma à sa femme, à qui il ne faisait plus l’amour, et devint plus doux avec son fils. Takao, remarquant les tensions dans la famille, proposa son aide à son ami. Ce dernier ne lui dit jamais un mot. La réalité étant qu’au Nigéria, Sylvio avait plongé dans de sombres affaires, et s’était fait beaucoup d’ennemis. Aujourd’hui, les pontes réclamaient leur dû, et Sylvio voulut protéger sa famille. L’argent commença à manquer, Lydia dût vendre son salon de coiffure, mais les vieux amis de Sylvio demandaient toujours plus d’argent. Faisant comprendre qu’il ne pouvait plus rien donner, il congédia ces vieux fantômes du passé. Mais un jour, alors que Lydia rentrait chez elle, quelqu’un la poignarda, juste en bas de chez elle. Une mort qui ne fit que fermer Enzo davantage. Enzo vécut pendant plusieurs semaines dans un état catatonique. Malheureusement, on ne trouva jamais les coupables, faute de preuves. Effrayé, son père, Sylvio, envoya son fils chez son ami, sans lui expliquer les raisons de son départ. Quelques nuits plus tard, Sylvio fit la une des journaux.

    « Série de meurtres sanglant, cinq victimes à St Ouen. L’agresseur a été retrouvé dans une ruelle par la police, un couteau de boucher entre les mains. »

    « Sylvio, pourquoi avoir fait ça ? » s’exprimait le japonais en bégayant, derrière le parloir.
    — On ne touche pas à ma famille, mon ami.
    — Ces hommes, ils voulaient quoi ?
    — Mon argent. J’ai fait des choses que je préfèrerais oublier. Maintenant, je veux protéger mon fils, ma famille.
    — Tu sais qu’ils vont placer ton fils ?
    — Non. Ils ne peuvent pas.
    — Tu as un bon avocat ?
    — Tu connais de très bons avocats, non ?
    — Je vais voir ce que je peux faire.
    — Merci, de prendre soin de mon fils.

    Takao eut un sourire pâle, avant de quitter l’instance. Enzo demanda plusieurs fois à son vieil ami, comment son père avait pu en arriver là. Il lui fit comprendre qu’il était trop jeune pour se mêler de cela. Enzo se conforta à la méchanceté de ses camarades, qui ne cessèrent de médire à son sujet. Pour l’occuper, Takao lui fait avaler de nombreux films de samuraï en VO, l’emmène à des matchs de baseball et tente de le distraire autant qu’il peut, tandis que l’enquête de son père avance à pas de fourmis.

    L’avocat de Sylvio trouve cependant une preuve de légitime défense, un document et des menaces de mort, et parvient même à rouvrir le dossier de la mort de Lydia. Malheureusement, alors que le procès devait avoir lieu, et que de nouveaux éléments avaient été ajoutés au dossier, Sylvio meurt mystérieusement d’une crise cardiaque le jour de son procès, sans avoir eu le temps de dire au revoir à son fils. Kira. Enzo se mit à haïr ce héros de l’ombre d’une haine viscérale. Il eut envie de cogner. Son père était mort, pour « le bien du monde ». Son père n’avait pourtant voulu que protéger sa famille. Comment un être pouvait se proclamer dieu, et annihiler sans états d’âme. Cela le révulsait. Il n’avait plus aucune famille en France. Lorenzo fut alors envoyé en maison d’accueil, et fit allées et venues entre les nouveaux foyers, tandis que Takao remuait ciel et terre pour obtenir sa garde. Il passa au tribunal, aux ambassades, afin de devenir son tuteur légal. Après un long combat, c’est d’un Lorenzo âgé de dix ans que Takao eut la garde. Mais le combat ne faisait que commencer pour le beau-père comme pour l’enfant. Takao voulait fuir au Japon, et les procédures d’admission furent longues et périlleuses. Lorenzo arriva finalement à Kyoto, chez la mère de Takao. Cette dernière, une exécrable bonne femme nationaliste et raciste comme pas permis, mena la vie dure à Lorenzo. Ne cautionnant pas sa venue, elle accepta de les héberger à quelques conditions.

    « Dans un premier temps, vous devrez trouver une autre solution d’ici trois mois, sans quoi, je vous mettrai à la porte. Si j’ai de la visite, vous mangerez et dormirez dans une pièce que je vous aurai préparé et vous n’en sortirez pas. »

    Finalement, les jours devinrent des mois, puis des mois devinrent des années. C’est cette bonne femme apprit à Enzo l’écriture japonaise, qu’il ne maîtrisait aucunement à l’époque. Elle utilisa pour ce faire des méthodes cruelles et sadiques, le réprimandant et levant la main sur lui, chaque fois qu’il se trompait. Elle l’éduqua d’une poigne ferme et l’éleva à la dure. Finalement, Enzo pouvait remercier cette femme, qui avait fini par obtenir sa compassion. Elle s’adoucit par le temps. Mais Takao ne supportait pas sa mère, et lorsqu’il trouva un petit appartement à Tokyo, il ne perdit pas une minute pour emmener Lorenzo.

    À Tôkyô, Lorenzo est accueilli comme un gaijin dont personne ne veut être l’ami. « Lorenzo fait peur, il effraye. Il est trop différent de nous autre, japonais. ». À l’école, il est le bouc-émissaire de sa classe. Un ijime. Victime de boycottage, de rejet, de bizutages, de sévices, de brimades, sujet aux rumeurs. Il se souvient encore de la fois où l’on dissimula des souris dans ses chaussures de sport, ou qu’on l’enferma dans les vestiaires. De ses vêtements de sport, suspendus à un arbre, de son casier rempli de bananes, les bruits de gorille qu’on lui scandait aux oreilles. De la torture cruelle dont les autres enfants faisaient preuve, que ce soit à Kyoto ou à Tokyo.

    Même les professeurs n’osent rien dire. Pire encore, certains se complaisent à rabaisser le pauvre gaijin. Il s’enferme alors dans son monde, se fait des ennemis et se met à la bagarre. À l’âge de quatorze-quinze ans, il tente de se suicider. Une décision qui choquera fortement son beau-père, qui mettra tout en oeuvre pour que son beau-fils se ressaisisse. Pour son beau-père, Enzo décide de ne plus se laisser faire et s’entraîne d’arrache-pied. Il joue leur jeu, intimide et tente tant bien que mal de se faire respecter. Il défend les plus faibles d’une petite bande de frappes et gagne le respect d’une mince poignée d’amis qu’il compte sur les doigts de la main, Choi, Haruka et Meiko. Sa petite bande. Choi est un zainichi, qui en raison de ses origines coréennes n’a pas su non plus se faire beaucoup d’amis, Haruka, un petit japonais qui prétend être de « pure souche », avec qui Enzo adore se quereller, et Meiko, une jeune fille, qui elle-même a été victime de ijime et qu’il a défendu coûte que coûte. De l’autre côté, l’enseignement de Kira devient oppressant pour le jeune homme, qui sait pertinemment que ce despote est à l’origine de la mort de son père. Takao fait très vite comprendre à son fils adoptif qu’il ne doit en aucun cas se mettre en danger et dénoncer publiquement Kira ou médire à son sujet.

    Enzo consigne alors dans son carnet intime son ressenti et sa haine virulente à l’égard de ce nouveau dieu sur terre. Il s’intéresse à beaucoup de choses et se cultive. Il dévore des livres de plusieurs auteurs, tels que Murakami, Bradbury, Orwell, Anne Frank, Miano, Césaire, Diop. Il s’intéresse aux minorités, au combats, aux droits civiques, etc. Tandis qu’à côté de cela, il s’entretient et pratique baseball, kendô et athlétisme.

    Enzo manqua à plusieurs reprises de voir sa carte de séjour destituée. Mais après de multiples pirouettes et saltos-arrière, Takao finit par obtenir pour son beau-fils, la nationalité franco-japonaise. Lorenzo Lefebvre change alors de nom pour Enzo Nakamura (エンゾー中村). À l’âge de seize ans, Enzo effectue quelques baitos pour financer ses études. En plein milieu de son adolescence, fait inéluctable, il finit par se disputer avec son beau-père, en raison de son attitude désinvolte, ses fréquentations, l’usage de l’alcool et même de la drogue. Avec sa petite bande, il expérimente et tente de vivre en autarcie de ce système totalitaire.

    Il finit par faire des études, financer celles-ci en travaillant à mi-temps dans un bar à sushis, tenu par un expatrié russe. Se destinant à une carrière de professeur, la seule qui veuille bien de lui. Terminant ses études, il se trouve un toit, s’émancipe de son beau-père à qui il rend souvent visite. Il abandonne très vite celle-ci en raison de la censure constante de l’académie, très peu pour lui. Mais lorsque son beau-père lui fait une frayeur en faisant une attaque, et qu’il croit à un coup de Kira, Enzo reprend son activité de professeur et reste au chevet de Takao dans le coma, promettant d'être là jusqu’au dernier jour. Il essaye d’oublier ses idées de vendetta et de rébellion, tentant de se concentrer sur ses élèves.

    Jusqu’à ce qu’une connaissance ne le fasse entrer dans le sombre milieu de la résistance et de l’illégalité. Il côtoie alors la Cour des Miracles, les bas-fonds et les rebelles. Il est un jour repéré par le Cavalier Noir, grâce à sa plume frénétique, consignée dans son carnet, qui tomba malencontreusement entre leurs mains. Il prit le nom de plume de Mongrel, et dès lors, se destina à une tout autre vie, un tout autre destin.


    De l'autre côté de l'écran ?

    Vous  ?

       
    Je suis ton père.

    Votre âge :
    (question optionnelle) 
       
    19 printemps

    Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ? 

       
    L’Admin

    Quelque chose à ajouter ?

       
    Ouais  : ta mère.



Dernière édition par Enzo Nakamura le Mar 27 Mai - 20:13, édité 4 fois
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Beyond Birthday
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyLun 26 Mai - 22:50

Veille à te servir de tes poings plutôt que tes points. Ça pourrait servir... c'était la seule bourde que j'ai repéré dans ta fiche.
Sinon, elle est bien écrite et reflète bien la malheureuse réalité de l'intégration des étrangers à Tokyô, et même au Japon.

Le Cavalier Noir accueille avec plaisir cet intéressant personnage !
Tu as le droit à deux compétences gratuites pour commencer dans la boutique du forum, et ta patronne actuelle est Day, rédactrice en chef provisoire du Cavalier Noir, elle-même menée d'une main de maître par Lady Illness et par le ministre de la censure qui contrôle le journal.

Bienvenue sur le forum et bons rps !
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Lady Illness

Lady Illness


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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyLun 26 Mai - 22:57


 face 

D'une main de maître ? Hihihi, mon BBou, je vais rougir ! Bienvenue dans nos rangs, ça fait toujours plaisir d'accueillir un nouveau journaliste. Surtout avec une écriture de qualité comme la tienne ! Ton CV passe, mon mignon. =)
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyLun 26 Mai - 23:47

Grazie !!

Alors, pour les points, je ne vois pas du tout de quoi tu parles...  :DD 
Pour la dure réalité des étrangers au Japon, j'ai vraiment voulu être au plus proche de la réalité car la vie au Japon n'est pas toute rose ! Surtout envers les étrangers.

J'ai hâte de travailler pour le Cavalier Noir, alors !

Et merci pour le flot de compliment, Lady !

Pour les compétences : Journalisme, pardi ! avec : Persuasion / Fonctionnaire : Influence !
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyMar 27 Mai - 15:24

Bienvenue, bienvenue !!!

Enfin un collègue qui ne va pas me hurler dessus/maltraiter/bordéliquer mon bureau/etc...

 face 
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyMar 27 Mai - 15:31

Merci, je serai très gentil avec toi chaque fois que je viendrai dans ton bureau. :p
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Fate Harlaown
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyMar 27 Mai - 18:32

Une fois de plus bienvenue parmi nous !

Je te souhaite beaucoup de courage pour survivre avec les tarés du Cavalier Noir ! :D (Entre Day et Yuno t'es pas servi *fuit*)
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes EmptyMar 27 Mai - 19:01

Merci, mais j'suis pas mal dans mon genre non plus !
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MessageSujet: Re: Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes   Enzo ~ Un petit singe dans un monde de brutes Empty

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