Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny]

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MessageSujet: Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny]   Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny] EmptyMer 12 Mar - 0:46

La semaine a été éprouvante. Je me suis fait engueulé par un ministre, j'ai pété des doigts, fait plein de trucs idiots et éprouvant physiquement, et maintenant les courses ! Avec la gamine ! Ma mère me l'a foutu entre les pattes, comme quoi c'est celui qui les fait qui doit s'en occuper. Le club belote attend pas – c'est juste un prétexte pour augmenter l'alcoolisme chez les seniors, ce truc.
Bref, je dois me farcir les courses et la gamine. C'est pas que j'aime pas passer du temps avec, c'est très reposant de jouer aux poupées en sa compagnie, sincèrement, et elle fait de super câlins, mais l'hypermarché j'appelle pas ça du temps parental de qualité. Enfant de quatre ans plus jouets et gâteaux partout autour égal gros merdier. C'est une équation connue. Et... j'aime pas les lieux plein de mondes. Enfin surtout quand je travaille pas. J'ai plus l'uniforme et le flingue, juste un jean moche et un sweat à capuche. Du coup, je suis juste un grand noir avec des dread qui deale probablement et qui fait des gosses pour les alloc'. Et je suis plus... dans mon rôle quoi. Mon attitude change, je courbe le dos pour avoir l'air moins grand – ça marche pas – et j'ai peur de parler à la caissière. Les courses, ma némesis.

J'ai déjà envie de pleurer alors que je viens de mettre la pièce dans le caddie. J'installe la môme sur le portoir à gosse, qui se met déjà à crier d'une voix stridente pour réclamer du Coca. Elle aime beaucoup ça. Elle en boit tout le temps. Grosse panique si j'oublie d'en racheter – c'est arrivé une fois, j'en ai encore les oreilles qui saignent tellement elle a gueulé. Je rentre dans le magasin, me précipite sur le rayon des sodas pour qu'elle arrête de crier et d'attirer l'attention de tout le monde. Bon... la liste. Elle est longue. Les besoins d'une vieille japonaises, d'un enfant de quatre ans et d'un gars sous stéroïdes sont assez divergeant mine de rien, ça demande beaucoup d'articles bizarres et variés. Merde, elle est dure à lire l'écriture de ma mère, putain de vieux avec les mains qui tremblent. Qu'est ce que ça peut bien être du « smecta » ? Bah, je verrais plus tard, j'vais gérer mes yaourts zéro pour cent déjà.

Comme c'est le début des courses, la gamine se souvient encore de mon sermon dans la voiture et joue gentiment avec sa licorne en peluche préférée – parce qu'elle a une corne en paillette. J'arrive presque à chercher la bouffe normalement. Tellement normalement que j'en viens à me dire que je vais tout finir sans problème, qu'il y a juste des gens qui me matent en coin pour vérifier que je vais pas manger d'enfant ou épouser une huitième femme au passage, mais que c'est gérable, et que finalement je t'ai tenu la jambe à te raconter mes courses pour rien.
Évidemment, non.

Je sais pas exactement à quel moment ça s'est barré en couille. La môme s'est descendue une demi bouteille de coca dans le caddie – une descente qui force le respect – et s'est mise à brailler comme si on l'assassinait parce que ces cons d'inventeurs de jouet on fait une licorne-pégase rose/violette à paillettes de trente centimètres au garrot. UNE LICORNE PEGASE PUTAIN. C'est celles qui peuvent utiliser la magie et contrôler la météo en même temps dans le dessin animé ! Je trouve ça très mesquin d'en avoir fait un jouet et de le foutre sur un étalage en avant comme ça, pile le jour où j'ai pas dormi depuis des lustres et que je viens faire mes courses. Je peux gérer un attentat terroriste, une tentative d'étranglement, un interrogatoire musclé, mais je suis impuissant face aux licorne-pégases. La seule option est la fuite ! Je fourre la gamine dans le caddie à moitié plein – elle escalade drôlement bien les rebords maintenant – et je pousse tout ça dans la direction opposé. Je me retrouve dans le rayon des luminaires, où je peux absolument pas continuer mes courses, mais qui a l'avantage d'être un milieu absolument dénué de licorne.

La petite manifeste son désaccord en me balancer une boîte de biscuit au visage. Ensuite elle menace de répéter à mamie que j'ai dit « putain de merde » devant elle. J'lui explique qu'il faut pas tout répéter à mamie, sinon elle va casser inutilement les couilles à papa et personne n'aura de licorne – enfin j'utilise pas ce vocabulaire là. Parmi les manœuvres de guerre, me balancer des trucs au visage et menacer de raconter des trucs à mamie, c'est du niveau d'une bombe H. Je peux pas lutter.
A ce moment là, un autre sale chiard mal élevé balance une boîte de légo par terre. Le bruit ressemble vaguement, de très loin, à un bruit de balles, passé à la moulinette de l'épuisement et des nerfs.

Je mets un gros coup de pied dans le caddie pour mettre la gamine hors de portée de tir, je m'accroupis et sors mon arme avant même de prendre le temps de réfléchir. Heureusement, il a personne dans le rayon pour me voir faire l'idiot. Mais on déconne pas avec les bruits de flingue, prendre le temps de réfléchir c'est prendre le temps de mourir, comme le disait toujours je sais plus qui. J'ai l'impression qu'on m'enfonce un million d'aiguilles dans le crâne et qu'il va exploser, tellement l'adrénaline est forte. Comme ce jour où on était quatre à glan... monter la garde, et que des terroristes nous sont tombés dessus par surprise. On buvait un café putain. C'est le bruit de balle que t'entends en premier, et avant même de savoir ce qui se passe t'es entouré d'un bordel d'enfer avec des morceaux de pote sur toi. Toshiro s'était pris un coup de fusil à pompe, et j'en avais plein sur moi. PLEIN DE MORCEAUX DE POTE SUR MOI.

… qu'est ce que je fais par terre comme un con déjà ? Je range précautionneusement mon arme avant d'analyser. Et le résultat est douloureux. Merde. Le lait a explosé par terre, les œufs aussi, j'ai cassé des lampes et la gamine est en train de hurler. J'ai encore eu un putain de passage à vide là non ? Et je saigne du nez. Quand est ce que je me suis mis à saigner du nez ? Je vais voir la petite, elle a rien de cassé, malgré les morceaux de verre partout autour. Dieu merci. Mais merde. Merde merde merde. Je pose la gamine plus loin et... je peux rien faire, je pisse le sang partout là.
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MessageSujet: Re: Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny]   Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny] EmptyDim 16 Mar - 22:56

Jenny est fatiguée, mais elle s'est promis d'aller acheter une nouvelle lampe aujourd'hui. Elle doit absolument en trouver une bien et pas trop chère, juste histoire de pouvoir l'allumer pendant la nuit, et ainsi éviter de mourir de peur. Parce que oui, elle est achluophobe. Mais il ne faut pas le dire. C'est plus qu'irrationnel chez elle, ça déclenche des crises pas possibles. C'est pour ça qu'elle a toujours une mini-lampe de poche pas très loin. En cas de soucis, elle l'allume et la fixe en faisant ce qu'elle doit faire. Généralement, elle arrive à se contrôler en fermant les yeux puis en respirant, tout ça, mais quand elle n'est pas en mission ou pas crevée, elle est capable de totalement paniquer. Et dans ces cas-là, sa lampe de chevet est la bienvenue.

Bref, elle marche dans la rue. C'est le retour des beaux jours et elle a laissé son écharpe et son trench à la maison. Elle se balade en jean avec un joli tee-shirt blanc ample, et son sac à main pendu à l'épaule, en direction d'un supermarché qu'elle trouve assez tranquille en règle générale. Il n'y a pas trop de monde et on y vend vraiment tout type d'emplettes : autant des lampes et des vêtements que de la nourriture et des jeux vidéos. Elle aime bien y aller à pieds quand il y a du soleil, ça lui permet de respirer et de se défouler un peu. Et puis, ici elle n'a jamais acheté de voiture à cause du monde qui se presse sur les routes. Ce serait comme se frayer un chemin entre des ronces. Très dur. Les transports en commun ne sont pas top non plus ; il y fait chaud et les gens sont compressés comme des dossiers. Alors le mieux reste la rue, même s'il y a foule dans l'avenue commerçante. Elle préfère ressembler à une sardine en plein air que suer comme une truie dans les sous-sols.

La jeune femme s'arrête devant les portes à ouverture automatique et s'aperçoit avec horreur qu'elle n'a pas pensé à prendre sa carte de transport. Parce que, malgré toute sa réflexion susdite, elle ne tient pas à se trimbaler un gros carton dans les bras sur toute la route jusque chez elle. C'est encombrant, puis elle ne verra rien. Elle se maudit et s'insulte de tous les noms qui lui passe par la tête, mais elle entre quand même. Elle n'est pas venue pour rien, et elle repartira avec cette fichue lampe.
La dernière fois qu'elle était venue acheter, elle avait retenu un modèle sympa à essayer si elle faisait encore de mauvais rêves. Ce qui, évidemment, ne s'arrêterait jamais selon elle. C'était un modèle moderne en verre avec trois balles de plastique blanches sur le dessus de ce qui ressemblait à un soliflore très fin. Un genre de vase qui n'est fait que pour contenir une seule fleur quoi. Elle ne sait plus trop combien il coûte et ça l'embête un peu, mais enfin, elle verra bien.

Se balader dans les rayons climatisés du magasin lui semble vraiment très étrange. C'est comme si elle était pour quelques minutes une citoyenne ordinaire sans autre but dans la vie que... de la réussir, justement. Non pas qu'elle se sente au-dessus de tout cela, mais elle n'est pas ordinaire. Elle passe son temps à se cacher et à agir pour que tous ces gens puissent avoir une meilleure existence, pour leur bien. Même s'ils ne sont pas toujours d'accord. Certes. Mais c'est en quelque sorte un sacrifice qu'elle fait pour la communauté, et elle n'en est même pas gênée : c'est dans son caractère. Protéger les gens et se battre pour son idéal de vie. Elle a un peu l'impression de parler comme une martyre, et elle sourit toute seule en arrivant près de l'étalage des lampes.

Soudain, elle entend un grand fracas en provenance du rayon en face d'elle, et des pleurs d'enfant. Ses réflexes reprennent le dessus et elle court pour atteindre le lieu d'où provient le bruit. En fait, plus exactement, ses tennis patinent sur le carrelage, puis elle se rattrape plus ou moins aux étagères et les contourne. Le spectacle qui s'offre à elle est désastreux. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de rire nerveusement. Un grand black baraqué saigne du nez au-dessus d'une petite fille (probablement la sienne, elle a le même nez et les mêmes pommettes) tandis qu'un caddie à moitié renversé étale par terre un mélange peu ragoûtant d'oeuf et de lait. Et de verre aussi. On dirait que Jenny est abonnée aux morceaux coupants cette semaine.
En quelques secondes, elle se retrouve auprès de l'homme et lui sourit. Elle a récupéré par terre une peluche de licorne qui, après secouage intense, paraît saine de tout verre. Elle s'agenouille au pieds de la gamine et lui présente sa peluche en tentant de l'apaiser en lui parlant gentiment.

- Coucou ma grande. Tu vois ce que j'ai là ? Ce ne serait pas ta licorne ? En tout cas elle est toute jolie. Par contre, je crois qu'elle est un peu triste de te voir pleurer. Si elle pouvait parler, elle dirait certainement que ça y est, c'est fini. Elle te dirait que tout va bien, et que Papa ne s'est pas fait trop mal. Elle te demanderait aussi d'arrêter de pleurer, parce que ça lui fait sûrement mal aux oreilles. Mais elle te dirait surtout qu'elle t'aime et qu'elle a envie de te faire un grooos câlin !

Jenny approche la peluche du cou de la môme qui la prend dans ses mains et la serre contre elle en regardant la brune avec des yeux mouillés. Elle a stoppé ses cris. But atteint.
La jeune femme lui caresse les cheveux puis se relève face au père et lui tend un paquet de mouchoirs. Puis elle se rend compte qu'il va probablement mettre du sang partout et que les mouchoirs n'auront servis à rien. Donc elle en sort deux : un pour qu'il s'essuie les mains, le deuxième pour son nez. En attendant, elle engage la discussion.

- Dîtes-moi, c'est un vrai champ de bataille ici, non ? Vous me direz, ça arrive de perdre le contrôle de son caddie. Mais, excusez-moi hein, c'est tellement rare de voir un homme faire les courses avec sa fille, vous vous en sortez ? Je peux vous aidez si vous voulez. Je n'ai pas grand-chose à faire aujourd'hui !

Elle se met à essuyer les gouttes de sang au sol. Ca fait un peu tache sur le carrelage blanc.
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MessageSujet: Re: Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny]   Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny] EmptyJeu 3 Avr - 22:33

Une jolie fille vient gagatiser sur la gamine pendant que je retourne tout doucement au monde réel. Je suis en train de dégueulasser le carrelage, mais sinon je sais plus très bien ce que je fais là. Des courses. Mais y a vraiment pas de bruit de balle ? Je tends l'oreille, et j'ai l'impression d'entendre des coups de feu. Mais je suis pas sûr. D'habitude, c'est pas le genre de bruit qui permet le doute, pourtant.
Pendant ce temps, un autre être humain gère à ma place mon rôle parental. Je la regarde faire, hébété. J'ai l'impression d'être à moitié endormi et pas vraiment concerné par ce qui se passe, parce que je garde un œil sur le décor à la recherche d'ennemis armés et invisibles. Mais peu à peu, le bon sens reprend ses droits et je suis tout à fait sûr d'être dans un hypermarché, avec rien de menaçant autour, et une gentille demoiselle qui me tend un mouchoir pour m'essuyer le nez. Pas d'armes à feu nul part. J'ai vraiment cru pourtant, putain.

Peu soucieux des précautions de mon interlocutrice, je prends en vrac les mouchoirs pour les plaquer sur mon museau en grognant un « rci ». J'ai fait que de la merde sur ce coup là, mais je suis moyennement surpris, c'est pas la première fois que ça m'arrive. J'ai pas trop osé en parler au psy de l'armée, je pense pas qu'ils soient spécialement tenu au secret professionnel. J'pourrais me faire virer pour des petites conneries comme ça. Et qu'est ce qu'elle deviendrait la petite si j'ai plus de travail ? Comment j'en trouverai un autre ?
Une fois que je me noie plus dans mon sang, je prends la gamine dans mes bras et lui adresse quelques paroles rassurantes histoire de pas être le dernier des merdeux non plus. La jeune femme s'étonne de voir un homme faire les courses et me propose son aide.

- Ah bah euh... merci beaucoup. Vous pourriez euh... la porter pour qu'elle aille pas dans le verre pendant que je ramasse le bor... tout ça ? Je lui tends la petite. OK je la connais pas, mais si c'est une sociopathe tueuse d'enfant, le camouflage est très très bon.

Là dessus, avant que j'ai eu le temps de ramasser ne serait ce qu'un yaourt 0%, un responsable du magasin, attiré par le bruit, vient rajouter au bordel ambiant en venant paniquer autour de nous. Il fait signe à une employée pour qu'elle vienne nettoyer et me demande comment c'est arrivé.

- Euh... j'ai glissé sur... un truc, je crois.

La gamine a le bon goût de pas me contredire et le mec se répand en excuse, puis engueule la nana qui vient nettoyer, sans doute en pensant me faire plaisir. Moi je me baisse pour ramasser mes affaires, mais mon nez arrête pas de saigner et la tête me tourne alors je renonce vite. J'ai mal aux sinus à la force 1000. Saloperie d'amphet'. Vu comment ça me brûle à l'intérieur des naseaux ça peut être que ça.
Je me sens un peu perdu du coup, pas le courage de finir mes courses. Justement, une fille vient de me proposer son aide. Elle a une tête qui inspire la confiance, ce qui me gêne plus c'est la honte de devoir demander à une inconnue. Elle a trop une tête à faire infirmière ou un truc comme ça, elle a l'air de bien aimer les enfants et tout.

- Je... j'ai une voiture mais je... je crois que je me suis cogné la tête ou quelque chose comme ça.

En tout cas, j'ai l'air suffisamment égaré pour être convaincant dans le rôle du mec qui s'est assommé tout seul. En fait, je flippe pour les caissières, les gens qui vont me regarder avec du sang plein la figure.
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MessageSujet: Re: Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny]   Qu'est ce qui est jaune et qui fait cent vingt kilos ? - Un très gros poussin. [PV Jenny] Empty

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