Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]

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Reaper
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MessageSujet: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptySam 8 Fév - 21:47


© Yamashita sur épicode

future little target
« I want your life in my hands »


feat. Reaper & Nathan


Depuis longtemps The Reaper arpentait les rues de la ville, connaissant chaque ruelles et chaque recoins où se cacher lorsque la police de Kira passait trop proche de lui. Il se faisait discret lorsqu'il ne chassait pas; ils étaient rares les criminels et encore plus les tueurs alors il ne fallait pas non plus qu'il se fasse chopé trop tôt! Mais cette journée, ou plutôt nuit, le petit Faucheur fit une exception; il avait une cible et cette dernière allait en prendre plein la tronche!

S'était emparer d'un exemplaire du Cavalier Noir il y a peu, l'assassin y avait lu la mort d'une jeune femme; Noa. Cette dernière avait été froidement tué par le ministre de la censure et de la propagande. Un rire grave et amusé était alors sortit d'entre les lèvres fines du meurtrier, se répercutant sur les murs froids et glacés de sa planque; cet homme se prenait ainsi pour Dieu et croyait pouvoir s'en sortir impunément.

Aux yeux du tueur, ce Nathan se prenait plutôt pour un criminel et tentait de lui voler la vedette et juste pour ça, il méritait une petite visite du Faucheur dans toute sa splendeur! Il allait avoir mal, il allait pleurer comme une fillette et le supplier d'en finir, mais Reaper Jack ne le ferait pas; il voulait s'amuser et quand Reaper Jack veux s'amuser, il s'amuse longuement!

Ainsi, depuis plus d'une semaine, l'assassin suivait discrètement le ministre et observait chacun de ses faits et gestes. Tantôt assit sur un banc à lire un livre, son chapeau à large bord cachant son visage, il l'observait en train d'acheter des vêtements jaunes dans un boutique, tantôt il le suivait tel son ombre, se cachant dans la foule sans être vue. Quoi qu'il fasse, le ministre était toujours dans la ligne de vu du tueur, mais ce dernier n'était pas con; il changeait régulièrement d'habit et masquait son jeu dans le courant de la société; entrant dans un magasin et achetant un petit truc, s'arrêtant devant une vitrine et regardant ce qu'elle montrait pour appâter le client.

Un véritable petit caméléon qui évitait soigneusement les caméras qui risquait de montrer son visage, car dans sa traque il ne portait pas son masque; trop risquer de se faire remarquer!

L'assassin avait aussi remarquer le stresse impressionnant du ministre et s'était demander durant un temps si l'homme ne l'avait pas remarquer. Cet incompétent qui se pensait tout permis aurait-il réellement pu le remarquer? Pourtant ce Nathan semblait avoir la tête ailleurs, comme si quelque chose d'important se passait dans sa vie. Est-ce que ce genre d'homme pouvait tomber amoureux? Si oui, cela promettait d'être intéressant! Il suffisait au Reaper de mettre la main sur cette gonzesse et il aurait un point sur lequel appuyer pour faire mal à cet homme politique.

Après tout, cet idiot avait tué une fille pour ensuite hurler son innocence. Un crime ne doit pas rester impuni, sauf lorsqu'il est perpétré par un homme comme lui; un véritable criminel pur sang! Y en avait-il seulement un autre dans cet ville pour lui tenir compagnie et le faire sentir moins seul? Oh, bien sûr il y avait son Araignée, mais ce n'était pas pareil. Lui il voulait un tueur avec qui il pourrait jouer ou faire autre chose que le jeu du chat et de la souris.

Les jours passants, l'assassin notait chaque habitude de cet étrange homme, mémorisant ses traits de caractère et ses tiques. Qu'est-ce qu'il fut surprit lorsqu'il le vit avec une atèle! Mais qu'est-ce que cet imbécile de ministre pseudo-dieu avait-il bien pu faire pour se casser un truc? Et surtout, qui avait osé toucher à son futur jouet?! S'était à lui de blesser le ministre, à lui de le briser en mille morceau jusqu'à ce que chaque parcelles de son être ne soit plus que cendre et miette bonne à jeter à la poubelle, car telle était l'amusement du tueur; verser le sang et briser les gens. Et ça serait un plaisir de faire subir se sort à cet homme.

Le temps passant, près d'une semaine d'observation d'habitude et de chichi, le serial Killer s'attendit sur une date pour faire la rencontre du ministre. Oh, pas en prenant un rendez-vous, il détestait les rendez-vous car les secrétaires n'étaient que des pouffiasses sans cervelles juste bonne à apporter le café et passer sous le bureau du patron, mais aussi à faire des gaffes et mettre une rencontre dans trois ans! Et le tueur qu'il était n'avait pas trois ans à attendre avant de voir le ministre. Après tout, il allait peut-être encore se faire enlever par la résistance et le pauvre bourgue qu'il était, il allait perdre son seul jouet d'intérêt! S'était pas à tout les jours que l'on pouvait donner une leçon à un ministre!

Lorsqu'il se sentit finalement prêt et qu'il sut que le ministre se retrouverait seul et sans défense, le tueur se prépara; aiguisant un max ses lames, Reaper avait envoyé quelques cadeaux à sa nouvelle cible; un colis enveloppé d'un papier cadeau rouge, blanc et rose contenant un coeur transpercé d'une balle, pris sur un cadavre d'une personne tué par quelqu'un autre que lui, avec une lettre.

Hello Nathan Suzaku

Il parait que l'on se prends pour un gros vilain méchant en tuant une pauvre fillette? Permettez-moi, mon cher ministre de la censure et de la propagande, de vous montrer de quoi est capable un véritable tueur. De cette façon, vous apprendrez de quoi nous sommes réellement capable, nous, les vrais méchants.


Au plaisir de vous traquer
Reaper.


P.S; Au fait, prenez du thé vert et faite du yoga, ça vous aidera à déstresser... vous me semblez un peu trop tendu mon cher, y aurait-il une femme derrière tout cela? Ça me semble des plus intéressant comme perspective! Oh et, joyeuse St-valentin, en espérant que mon présent vous plaises pour la cause! Nous allons passer beaucoup de temps ensemble, vous verrez...


Le tout, bien sûr, écrit avec le sang de la pauvre victime qui s'était retrouvé sans son coeur. Homme, femme, enfant? Reaper ne le savait pas et s'en foutait. Après tout, ce n'était pas lui qui l'avait tué alors pourquoi s'en préoccuper?

Une fois ses lames biens aiguisées, l'assassin avait préparé un kit de soin au cas où le ministre serait armé. Après tout, il avait bien tiré dans le coeur de cet pauvre enfant, donc il devait se savoir en danger. Surtout après ce qu'il lui avait envoyé! Mais cela faisait quoi, deux ou trois jours? Peut-être que l'homme se serait calmer les nerfs en suivant son conseil.  

Attrapant imper' et chapeau, le Serial Killer sortit de sa planque, la referma, la trappe se verrouilla automatiquement, et enfila son manteau avant de réaliser qu'il avait oublié son masque. Sortant un petit couteau, le tueur s'accroupit et après s'être piquer un doigt, appliqua se dernier sur une petite surface.

- Ouvres-toi, ordonna-t-il et la trappe se déverrouilla.

Il descendit, attrapa son masque et le mit avant de remettre son chapeau et de remonter à la surface après s'être assurer que ses gants étaient bel et bien dans ses manches. Une fois qu'il fut sûr de n'avoir rien oublié, l'homme à la sombre carrière referma la trappe et sortit de l'Entrepôt treize pour se diriger vers la vieille ville.

La nuit allait tomber bientôt et le ciel se colorait allègrement de orange, de rouge et de rose, plus loin le noir de la nuit étendait ses tentacules comme un cancer, dévorant les couleurs comme un animal affamé. Le sourire aux lèvres, Reaper passa par les petites ruelles pour ne pas attirer l'attention des policiers. La dernière chose qu'il voulait s'était bien à avoir a nettoyer la vermine qui se mettrait sur son chemin; il voulait garder ses lames intactes pour effrayé d'avantage sa petite cible. Quoi que des lames pleines de sang étaient toutes autant effrayantes!

Ses pas raisonnèrent contre les murs de briques froids et symétriques. Ce nouveau dieu aimait un peu trop la symétrie au goût du tueur; rien n'était droit et parfait dans la vie, il en était la preuve vivante! Pourtant, il trouvait cela amusant. Son regard se perdit sur les quelques sans-abris qui s'y trouvaient, dans les ruelles qu'il empruntait. Des victimes idéales, mais à quoi bon? La police n'y ferait pas attention et le considéreraient comme un vulgaire street-cleaner; il n'était pas un foutu nettoyeur de rue!

Arrivant finalement à la périphérie de la vieille ville, le tueur enfuit ses mains dans ses manches, les plaçant à l'intérieur de ses gants qui les moulèrent; il ne pourrait pas les perdre facilement! Il bougea un doigt, faisant cliqueter le métal en souriant. Oh qu'il allait s'amuser cette nuit! Oh oui, il donnerait une bonne leçon à cet homme et lui montrerait le véritable visage du mal; celui d'un tueur en série...

Ses pas se firent plus pressant, excité qu'il était d'enfin se présenter en personne à ça petite cible fraîchement choisi et dont il ne lâcherait pas les baskets de sitôt! Enchaînant les ruelles désertes, Reaper arriva finalement au point de rendez-vous qu'il s'était fixé; à une bonne distance de l'appartement du ministre, mais aussi assez loin de la zone de surveillance de la police. Elle ne passerait pas de sitôt et l'angle des caméras étaient plutôt idiot à cet angle, pour son plus grand plaisir! À moins que bien sûr le gouvernement n'ait changer cela.

S'appuyant sur le mur de brique qui se trouvait à sa droite, le tueur ferma les yeux un instant, penchant sa tête pour masquer entièrement son visage. Le bas de son imperméable alla claquer dans le vent. Un silence de mort régnait à se moment-là, les ténèbres de la nuit avait achevé de dévorer la vie du jour et digérait maintenant se copieux repas, contrairement au tueur qui attendait de boire le sang de sa cible s'il en avait l'occasion. Soudain, des bruits de pas; un policier passa devant lui sans le remarquer, levant un bras pour saluer quelqu'un. Rapidement, Reaper regarda sa montre; s'était l'heure... son petit ministre était-là!

Glissant derrière l'homme de loi, Reaper retira ses mains de ses manches; retirant par le fait même ses gants et dévoilant ses longues lames acérées. Un éclat de lumière passa sur ses dernières lorsqu'il bondit en avant, plantant sa main droite dans le dos du policier, lui transperçant les deux poumons et manquant de peu le coeur, alors que son autre main servit à détacher la tête du corps en un mouvement rapide et fluide. D'un rire malsain, Reaper laissa le corps tomber au sol et donna une coup de pied dans la tête qui alla rouler au pied de l'homme que le défunt avait salué plutôt.

- Alors mon cher ministre, nous nous rencontrons enfin. Avez-vous aimé mon présent? Pour la St-valentin, il est de coutume de s'offrir son coeur, mais je tiens un peu trop au mien voyez-vous. J'espère que vous me pardonnerez d'avoir usé de celui d'un autre, dit doucement l'assassin d'une voix fluide et glaciale, légèrement grave et caverneuse.  

Lentement, le tueur redressa sa tête, révélant son masque venitien qu'il tapota du bout d'une lame sanglante.

- Désolé de ne point vous montrer mon visage, mais je préfère éviter de finir clamsé du coeur. Je n'ai pas fini de mettre cette ville en sang!

Enjambant sans distinction le corps à ses pieds, le tueur s'avança d'une démarche de fauve vers le ministre.

- Alors très cher Nathan, on s'amuse à tuer des innocents enfants et de crier sur tout les toits que l'on est pas coupable? Oh, ça m'attriste pour vous; vous n'avez pas la trempe des vrais criminel. Alors, laissez-moi vous montrer de quoi nous sommes capables. Et ne tenter pas d'appeler à l'aide; il y a déjà eut un mort par votre faute, vous ne voudriez tout de même pas que je repeigne toute cette rue avec du sang n'est-ce pas?

Sans attendre la réplique de Nathan à cette réplique, le tueur lui mit une lame sur la joue avant de lui mettre son genoux en plein ventre, le regard pétillant d'excitation. Oh qu'il allait s'amuser!

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Nathan S. Suzaku
Ministre de la Censure et de la Propagande
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MessageSujet: Re: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptySam 8 Fév - 23:57

Des oignons, le reste du fromage. Le lactose avait un goût particulièrement désagréable lorsqu'il sortait de cette manière, les lardons l'étaient tout autant. Tout ce qui venait de sortir de son œsophage lui rappelait cet excellent repas qu'il avait pu manger ce midi dans un restaurant de luxe italien, en compagnie de quelques uns de ses collègues. Les spaghettis étaient al dente, préparés avec soin, à la main, pas ces pâtes industrielles de supermarché, et le reste était tout aussi bien, si Nathan Suzaku avait dû moins quelque chose à faire du goût de la nourriture qu'il mangeait. Ce midi, il avait la mine soucieuse, et il repensait aux derniers incidents qui avaient eu lieu dans sa vie, ceux qui lui avaient fait tellement de souci, l'empêchant d'aller se confier à Illness, cette femme qu'il aimait tant.

Depuis que Lady Illness lui accordait un peu d'attention, Nathan Suzaku avait rapidement changé. C'était assurément le bon adverbe : il avait acheté des habits plus beaux, rentrait plus souvent chez lui, se montrait plus courtois et agréable...avec elle, du moins, car pour les autres, il restait l'éternel chieur qu'il avait toujours été. Les récentes menaces dont il avait été victime de la part de ses confrères du gouvernement l'avaient choqué, aussi prenait-il soin à faire son travail du mieux qu'il le pouvait, en harcelant soigneusement chacun de ses collègues. Ce n'était bien sûr pas une chose facile lorsque l'on savait que Suzaku recevait, depuis quelques semaines environ, d'étranges colis qui n'avaient rien de très drôles. Il s'était efforcé de les cacher à Illness, mais leur contenu à chacun était à vomir. Des membres, des lettres de menaces. Et pour ne rien arranger, Nathan Suzaku se sentait traqué...il lui arrivait parfois de se retourner brusquement, mais jamais, jamais il ne parvenait à voir la personne qui le traquait. Il aurait, à la fin, donné raison au ministre de la santé sur le fait qu'il était beaucoup trop stressé, si ce n'était ces étranges colis.

Celui qu'il reçut ce jour-ci fut pire que les autres. Les mains blanches et fines de Nathan tremblaient déjà alors qu'il les avait posées sur l'emballage. Ce fut lorsqu'il ouvrit le colis qu'il vomit de son saoul, ne pouvant plus s'en retenir, cette fois-ci. Un cœur humain se trouvait là, juste devant ses yeux. L'odeur qui s'en dégageait suffisait à elle-seule d'explication pour son mal-être, il y avait-il besoin d'expliquer clairement le reste ? Des menaces, Suzaku avait l'habitude d'en recevoir, depuis que son adresse mail était sur le site du ministère. Le chat de Cheshire en personne avait supprimé ses accès et il était jusqu'à présent ce que Nathan Suzaku pouvait le plus qualifier comme étant « son ennemi juré ». Là, c'était différent...les autres voulaient l'insulter, voire le tuer mais ne passeraient jamais à l'acte. Les bouts de corps avant, ce cœur là, Suzaku tremblait de peur. Mal, il essuyait sa bouche, recrachant les derniers bouts de spaghettis qui lui collaient aux lèvres, tentant d'attraper maladroitement la lettre puante écrite en lettres rouges. Il la lut avec appréhension, avant de se précipiter au commissariat.

Si Nathan Seito Suzaku n'était un homme qui ne supportait pas la violence physique, il n'en était pas pour le moins idiot. Il connaissait les démarches à accomplir en cas de harcèlement, c'est pourquoi il s'était précipité au commissariat le plus proche, avec les preuves bien sûr, pour remplir une déclaration en due et bonne forme. Malgré le fait qu'il était soumis à la pression des médias, il continuait à être respecté et recevoir les honneurs qui lui était dus. Il fallait dire que le ministre avait également la réputation d'être quelqu'un de particulièrement travailleur et exigeant. Personne ne bossant à ses côtés n'avait intérêt à faire un écart, ne serait-ce que pour le futur de sa carrière...Suzaku en avait fait ruiner pour moins que cela.

Il y avait dans ses yeux une frayeur étrange qui poussa le commissaire à le prendre au sérieux et à lui coller, quand il reviendrait, son homme qui était formé pour des situations comme celles-ci. On ne rigolait pas avec les ministres, surtout lorsque l'on savait que le précédent ministre de la censure avait été sauvagement assassiné.

« C'est bien vous, Yumitaka ? »

Sa question resta jamais sans réponse, tandis que Suzaku s'était arrêté pour interpeller le flic qui l'avait appelé. On lui avait dit que l'agent chargé de sa sécurité serait rapide à venir, qu'ils se rencontreraient sans doute proche de chez lui...alors Suzaku ne s'attendait pas à cela...mais ce qu'il vit de ses propres yeux le fit se figer. Il n'était, à la normale, pas très réactif, alors cette fois-ci, il l'était encore moins. L'homme qui était bien vivant en face de lui arrêta de sourire, de le saluer. Sa tête tomba par terre et roula sur le sol, une gerbe de sang lui éclaboussant le visage. Suzaku porta lentement sa main droite à la bouche, le son ne voulant plus sortir, le reste non plus. Il était choqué choqué, affreusement choqué et n'avait même pas le réflexe de voir qui avait pu faire cela.

Le coup qu'il reçut le cueillit dans le ventre et Suzaku finit de vomir le peu de spaghettis et de bile qu'il lui restait dans l'estomac. Qui ? Pourquoi ? Si toutes ces questions avaient pu paraître dans son cerveau, il en aurait été très heureux, car pour l'instant, tout ce qu'il arrivait à penser, c'était qu'il avait peur. Il avait peur, il allait mourir, et ç'allait être sans Illness. Mourir à cause de cette fille, Noa, celle qui voulait le tuer et qu'il avait exécuté en légitime défense.

Il tenta de se relever, porta de nouveau la main à sa bouche et essuya le vomi sur sa bouche et son menton. Encore. Ce geste devenait malheureusement machinal. Il respirait avec hâte, son teint était plus blanc que jamais. Il allait mourir, on allait le tuer, merde... ! La lame du couteau lui parvenait contre la trachée, aussi s'efforça-t-il à ne faire aucun mouvement qui puisse être redhibitoire. Que faire, maintenant ? Nathan Suzaku tenta de se souvenir des années où il était en charge des rafles. Où il était sur le terrain, et son cœur se calma un peu. Des situations difficiles, il en avait vaincues, et il avait appris qu'il ne fallait jamais donner ce qu'il voulait au type en face.

« Légitime défense. Cette affaire a été classée en légitime défense. La tueuse Noa allait me tuer. Vous avez tué Yumitaka. C'est vous qui m'envoyez ces colis horribles depuis quelques temps. La police de Kira a été prévenu, je n'ai pas peur de vous. »

Au mot « peur », son cœur sembla s'envoler, mais il réussit à vite se contrôler. Illness, penser à Illness.

« Je ne compte pas bouger, vous si. Ne m'appelez pas Nathan, mais Monsieur le Ministre. Nous n'avons pas élevé les cochons ensemble, voyez-vous...vous allez me tuer...Reaper, puisque tel est votre pseudonyme ? Tuer vous amuse-t-il ? En quoi retirer une vie est amusant ? Vous savez...je doute parfois des méthodes de mes collègues, mais lorsque je vois une personne telle que...vous, je me dis qu'ils ont parfois raison. »

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MessageSujet: Re: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptyDim 9 Fév - 1:17


© Yamashita sur épicode

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« I want your life in my hands »


feat. Reaper & Nathan


La semaine avait été longue et sa traque fastidieuse. Ce ministre sur qui pesait un lourd scandale semblait pourtant être la perle rare pour un petit jeu avec le tueur en série. En neuf ans de métier sanglant, jamais Reaper n’avait trouvé victime aussi amusante! Et stressé. Mais pourquoi? Uniquement à cause de lui ou… ou y avait-il quelqu’un d’autre qui lui mettait les nerfs? Reaper n’était pas un politicien, Reaper aurait dû être mort, alors comment pouvait-il se glisser dans la peau de cet homme? Simplement parce qu’après ce scandale, il était sûr que ce Nathan allait avoir ses supérieur sur le dos et pas qu’un peu!

Pourtant, quelque chose le dérangeait; cet homme devait avoir l’habitude de la menace en plus d,avoir été tenu captif un mois, alors comment quelques lettres et des membres sanglants pouvaient-ils le mettre dans cet état? Il devait y avoir quelque chose d’autre et Reaper allait le découvrir! Après tout, ne s’était-il pas donner comme objectif premier de briser cet homme politique?

Ce jour-là, Reaper décida pourtant d’envoyer un colis spécial; un colis de St-valentin! Il ne se doutait pas que le pauvre ministre allait renvoyer son repas à la vue du cœur humain. Après tout, il en avait arrêté un lui assit, comment ne pouvait-il pas en supporter la vue?

S’était ce qui avait conduit Reaper Jack dans cette ruelle non loin de la demeure du ministre, ce qui l’avait poussé à tuer ce policier qui se mettait entre lui et sa cible. Personne n’en avait le droit; le ministre de la censure et de la propagande était à lui et à personne d’Autre! Le droit de lui donner une leçon revenait au tueur, pas à la société où à un policier!

Il s’approcha du ministre, lui tenant jasette, mais l’homme semblait si tétanisé qu’il ne pipa mot. Oh, mais comment ne pas être effrayer? Son imperméable était imbibé de sang, son masque blanc était éclaboussé de ce liquide vital tout comme ses lames. Il mit son genoux dans le ventre de l’homme qui vomit une deuxième fois, mais se fait était inconnu au tueur qui s’écarta à tant, riant de cette scène plus que cocasse.

- « Allons, ne me dites pas que malgré vos vagues sanglantes, vous n’avez pas l’estomac plus solide? C’est une honte qu’un ministre de votre trempe ne rendre son quatre heure aussi facilement… À moins que votre mois de détention vous ait laissé plus de séquelles qu’il ne le paraît? » demanda l’homme, le regardant s’essuyer la bouche et se redresser péniblement.

- « Légitime défense. Cette affaire a été classée en légitime défense. La tueuse Noa allait me tuer. Vous avez tué Yumitaka. C'est vous qui m'envoyez ces colis horribles depuis quelques temps. La police de Kira a été prévenu, je n'ai pas peur de vous. »

- « Légitime défense, légitime défense, tous l’invoque quand on ne veut pas aller en prison et un ministre tel que vous n’aurait pas de difficulté à faire confirmer cette thèse n’est-ce pas? » questionna-t-il avant d’éclater de rire. « La police vous pouvez en faire ce que vous voulez, je m’en moque; cela fait neuf ans quelle me traque et neuf ans que je la fais tourner en bourrique alors ne penser pas, mon mignon, qu’ils me mettront le grappin dessus aussi vite que vous le croyez. Je pourrais en finir ici et maintenant, mais à quoi bon? Cela ne serait pas amusant et je n’ai pas envie qu’une prise de choix comme vous ne finissiez entre les mains d’un légiste avec l’étiquette « autre victime du Reaper ». Vous méritez un sort autrement plus spectaculaire; de rester en vie, mais comment? Intacte? Personne n’est intacte après une rencontre avec moi » murmura le tueur en essuyant un reste de repas digéré sur le coin de la bouche de l’homme et ce du bout de sa lame.

- « Je ne compte pas bouger, vous si. Ne m'appelez pas Nathan, mais Monsieur le Ministre. Nous n'avons pas élevé les cochons ensemble, voyez-vous...vous allez me tuer...Reaper, puisque tel est votre pseudonyme ? Tuer vous amuse-t-il ? En quoi retirer une vie est amusant ? Vous savez...je doute parfois des méthodes de mes collègues, mais lorsque je vois une personne telle que...vous, je me dis qu'ils ont parfois raison. »

Reaper éclata de rire. Cet homme, l’aimait vraiment beaucoup! Décidément, il avait fait une bonne prise cette fois; ce Nathan allait l’amuser jusqu’au bout il en était certain! Il était vrai qu’ils n’avaient pas élevé les cochons ensemble, mais Reaper n’avait ni loi ni fois et ne donnait jamais de titre au gens. Monsieur? Et puis quoi encore! Pas de respect pour les croissants! Euh…, pour les ministres!

- « Nous ne les avons peut-être pas élevés ensemble, mais je ne crois pas que vous soyez en position de me demander quelque chose. Et puis, pourquoi vous écouterais-je « monsieur le ministre? ». Je suis un tueur sans foi ni loi, je n’ai à vous appeler ainsi que si je le désire et pas par vos ordres. Face à moi, votre rang vous vous le garder; tous égaux devant la mort tels nous sommes tout comme vous » commença le tueur, caressant la joue du ministre d’une lame fine et aiguisée. « Et Reaper n’est pas mon pseudonyme; c’est le nom que la société me donne car j’ai la fâcheuse manie de faucher mes victimes comme vous avez pu le constater allègrement »

Puis il rigola doucement en replaçant son chapeau avec ses griffes comme si elles étaient ses doigts.

- « Allons Nathan. Tuer ne m’amuse pas; c’est un passe-temps! Je n’ai rien à faire de mes jours et il est hors de question que j’entre dans la monotonie de cette société qui est devenu n’importe quoi. Mais vous savez, contrairement à vos collègues, moi, je tue rapidement et sans douleur. Mes victimes ne le voient que très rarement venir et n’ont le temps de rien comprendre alors qu’à cause de vos collègues, les victimes qu’ils font, eux, on le temps de comprendre qu’elles ne reverront plus l’astre solaire ou lunaire » dit-il, caressant la joue de Nathan d’une autre griffe avant de l’enfoncer dans sa joue pour le couper avant de lui mettre une baffe magistral avec le revers non tranchant de ses lames. « Mais il reste un point que je n’apprécie point; Comment expliquer que vous n’ayez pas été tué après la mort de cette Noa? Kira tue sans distinction les criminels, vous auriez aussi du périr. À moins que vous ne soyez se pseudo-dieu, dans ce cas attendez-vous à souffrir, mais si c’est la deuxième… Cela signifierait que vous en êtes proches et alors cela devient intéressant car j’ai une dent contre votre cher dieu Monsieur le ministre » acheva le criminel en rigolant, passant derrière l’homme politique et le forçant à avancer jusqu’à un endroit plus propre où il ne risquait pas de se salir et le força à s’asseoir.

- « Ne vous inquiété pas pour votre misérable vie, je souhaite juste faire plus connaissance avec l’homme dont j’ai l’intention de briser son petit et faible esprit… Alors, qui est cet être dans votre vie qui vous cause tant de stress? Et je sais que ce n’est pas moi… En échange, je vous laisserais un temps de répit, pour vous ménagez; je ne veux pas vous briser trop rapidement non plus! » rigola-t-il, passant une lame sur les épaules du trentenaire



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Nathan S. Suzaku
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MessageSujet: Re: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptyLun 10 Fév - 15:41

Nathan S. Suzaku avait toutes les raisons du monde d'être stressé, le fait qu'Illness soit en danger étant probablement la première. Oh, pas par ce petit criminel, bien sûr, il n'était pas ce qui inquiétait le plus le ministre...les rapports qu'il avait avec le gouvernement étaient bien plus inquiétant que cela, et le fait qu'ils n'hésite pas à le menacer, à lui casser le doigt alors que lui-même était ministre, tout cela était fortement inconvenant.

Là, par terre, il semblait être dans une position assez délicate. Il avait forcé son cerveau en ébullition quelques secondes plus tôt à se calmer, et à penser tout autre chose que ça, que la peur, que tout le reste de ces sentiments quelconques qui bouillonnaient dans ses entrailles. Voilà, Nathan S. Suzaku redevenait un peu un humain, un humain comme les autres maintenant qu'il était ici. Même s'il avait su son nom, celui du Reaper ne lui disait rien du tout. À part porter plainte et prévenir la police, il n'avait fait aucune recherche spécifique, rien du tout. Sans doute parce qu'il avait trop de travail à faire en même temps, probablement parce qu'il estimait que ce n'était pas le sien. Le ministre de la censure était un homme étrange, capable de se révolter pour des faits que le commun des mortels ignorait, restant la plupart du temps prostré devant ses dossiers.

Les lames du Reaper étaient froides et silencieuses ; il sentait les morceaux consistant de ce qu'il avait recraché se balader sur son visage et n'osait plus faire une seule respiration trop forte qui l'eut condamné. Il était en compagnie d'une personne qui était capable de tout, il le savait. Les plus insaisissables, car ils étaient les plus vils, les plus horribles. Il avait bien une arme dans la poche droite de son imperméable, celle-là même qui avait tué Noa, mais Suzaku n'était pas idiot : il savait que le temps qu'il y glisse la main, son adversaire aurait compris son jeu et aurait fait le nécessaire pour qu'il n'ait, au choix, soit plus de main, soit mort. Il ne voulait plus infliger cela à Illness, surtout maintenant qu'elle le voyait comme un être humain, un vrai. Il l'écoutait parler, tranquillement, s'efforçant de se montrer le moins effrayé possible et de ne pas être impressionné. On lui avait toujours dit de ne pas entrer dans leurs jeux, à eux. Qu'ils étaient assez narcissiques, qu'il devait attendre qu'ils en disent trop, un peu comme les méchants de comics.

Mais la tête de Nathan Suzaku s'envola vers la droite, toujours collé à son corps. Une traînée de sang s'envola, d'une manière presque lyrique, et il hurla. La lame lui avait déchiré la joue, la marque allait sûrement rester un long moment après cela. Les yeux de Nathan Suzaku commencèrent à se rapetisser après cela, tandis qu'il entendait son adversaire l'accuser d'être Kira. Sa main gauche alla se figer sur sa joue afin d'empêcher le sang d'en couler ; son cerveau analysa rapidement la situation, qu'il jugeait improbable. Improbable, improbable qu'il soit Kira. Il avait pourtant demandé à Minyu d'arrêter cela, qu'ils couraient un grave danger. Il le fit ensuite marcher jusqu'à un endroit plus propre, sans doute, le corps de Nathan obéissant aveuglément à l'étranger. Ses fesses s'appuyèrent sur ce qui devait être un banc.

« Je ne suis pas Kira. Je n'ai pas fait de droit de réponse au Cavalier Noir car cette accusation était assurément ridicule. Mes chefs ont été vexés et je suis actuellement sous constante surveillance satellite et policière. Je vous conseillerai donc de me laisser tranquille.. Vous avez déjà violé nombres de lois, alors fuyez pendant qu'il en est encore temps. Personne n'a envie de se retrouver enfermé dans les geôles du gouvernement. »

Il pensait à Illness, à tous les autres qui avaient subi les tortures de Darkwood et son équipe. Bien qu'il était ministre, Suzaku n'était particulièrement pas d'accord avec ces emprisonnements. Son regard tenta de croiser celui du Reaper, mais il semblait ne toujours pas arriver à distinguer sa tête. L'obsession qu'il semblait avoir à son égard était bien plus inquiétante que celle que le ministre pouvait nourrir à l'égard de Illness, collectionnant les moindres petits riens que celle-ci pouvait égarer.

« Me briser... ? Vous ne savez pas à qui vous parlez, Monsieur. Je vous trouve impoli. Et j'espère sincèrement que vous serez capturé et jugé pour les crimes que vous avez commis. Si Kira m'a épargné, c'est tout simplement que ce crime était de légitime défense. Les policiers ont encore le droit de se défendre, et je trouve cela parfaitement normal : c'était sa vie, ou la mienne. Dans votre cas, ce policier n'avait même pas fait un seul mouvement pour vous agresser. »

Il récitait tout cela d'une voix qu'il voulait automatique, de bon robot. Suzaku avait pris récemment quelques médicaments prescrits par le ministre de la santé dans le but de calmer la douleur, de le calmer tout court aussi, il était définitivement trop stressé, en ce moment. C'était sans doute ça qui lui évitait de faire une crise cardiaque, tellement la peur qu'il ressentait était intense. Sans ces médicaments, et son syndrome qui avait tendance à le maintenir six pieds au-dessus des êtres humains normaux, planant d'une manière étrange dans le ciel, Nathan Suzaku aurait sans doute été mort. Et ce depuis longtemps.

« Mais je comprends que vous intéressiez à moi, finalement : je suis quelqu'un d'intéressant. Vous me donnez envie de vomir, Monsieur. Vous vous croyez obligé de menacer quelqu'un pour lui parler...un cœur pour la Saint Valentin, donc ? Je l'ai donné aux laboratoires, ils se chargent de l'examiner. Arrêtez de vous croire hors d'atteinte, même les pires criminels comme Beyond Birthday seront capturés. »

Il avait entendu le nom de ce dernier au hasard d'une conversation téléphonique, et, étonné, pensant que ce mastodonte était mort, avec fait quelques recherches qui avaient manqué de le faire vomir. C'était donc lui qui filmait ses victimes et transmettait le meurtre en direct à la télévision. Abject.

« Savez-vous au moins qui je suis ? »

Autiste, gars de la campagne, menteur, menteur, menteur, menteur. Suzaku était tellement de choses, et jamais lui-même.
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MessageSujet: Re: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptyJeu 13 Fév - 1:37


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future little target
« I want your life in my hands »


feat. Reaper & Nathan


Le ministre des censures et de la propagande était là, devant lui, ou plutôt assit, et d’un côté le Reaper était un peu déçu de son apparence de courgette faible comme un chaton. En même temps il l’aurait cru un peu plus dur et non tête de mule avec un balai enfoncé là où il pense. Mais au lieu de ça, il avait droit à un mec qui semblait complètement givré, voir plus que lui!

Mais il y avait une chose qui énervait le criminel; que ce ministre se pense au-dessus de lui uniquement parce qu’il avait ce foutu titre. Un titre n’est rien d’autre qu’un rang et ne vous mène pas au-dessus des autres; vous restez malgré tout un être humain mortel égaux aux autres et malheureusement ce con ne semblait pas le réaliser, à moins qu’il fasse semblant… Jouer la comédie? Reap’ savait faire! Mais ne songeait pas un instant que le brunet à la silhouette svelte en était réellement capable.

Sur un coup de tête, plus par envie de voir le sang de Nathan et d’y goutter qu’autre chose, le Reaper donna un coup telle une gifle à Nathan, lui lacérant la joue et envoyant une traînée de sang dans l’air. La belle marque allait rester longtemps! Sans doute même laisser une petite cicatrice, ça serait amusant car le ministre ne pourrait cacher très longtemps se jeu à son entourage. Seconde cible du meurtrier, il allait sans nul doute s’en servir pour briser l’homme qui se tenait en face de lui.

Parlant et accusant l’homme d’être un Kira, juste pour voir sa réaction surtout parce qu’il n’y croyait pas réellement que ce demeuré puisse l’être après l’avoir mieux observé, il traîna sa cible à un banc et le fit s’asseoir. Pourquoi le salir du sang d’un autre alors que le sien devrait suffire? Ouais, mais Reapy avait décidé de pas le tuer! Donc pas de jolie petit gentil de bain de sang savoureux se soir. La poisse! Bah, au moins il avait eu le poulet de Kira…

Patient, tu parles, avec le sang qui coulait sur la joue du ministre l’assassin avait juste une envie et s’était de le saigner à blanc!, Reaper écouta le ministre étaler ses arguments comme quoi il n’était pas Kira. Lichant ses lames avec sa langue rose, Reaper souriant en coin. Une chance pour lui qu’il ne soit pas Kira, sinon il aurait subi le pire des soirs!

- « Connais-tu le sens du mot Violé avant de l’employé? Dans le métier que je fais, c’est avoir une relation sexuel non-consentante avec une personne et à mes yeux la loi n’est pas vivante alors je n’ai pas pu la violé. Et si par loi tu m’parles de Kira, et bien désolé la courgette mais je l’ai encore moins touché et si j’aurais pu, je ne l’aurais pas violé, mais livré aux rebelles… Les seuls qui ont encore de la jugeote dans ce bas monde! » soupira le serial killer en se grattant la tête du bout d’une griffe, ne comprenant pas comment un mec, face à un tueur, pouvait se mettre à parler de loi! « Et ça fait 9 ans que je les fais tourner en bourrique, tu penses vraiment qu’on va m’attraper se soir pour un gaffeur dans ton genre? Ta disparition serait une bénédiction tu veux dire… »

Mettant un pied à côté de Nathan, sur le banc et de son côté gauche, le Reaper se pencha et admira sa cible un peu mieux. Pourquoi est-ce que la résistance l’avait enlevé lui? Et pourquoi, merde, il n’avait pas choisi mieux comme cible? Quoi que ce tarla pouvait être bien plus intéressant et pratique qu’il le pensait.

- « Oui te briser, te faire craquer psychologiquement jusqu’à te faire interné ou que tu te retournes contre ce qui t’es cher. Un sort pire que la mort qu’est la folie tu sais? Oh, et pour se policier on s’en fiche. Un pro-kira de plus ou de moins ne fait pas de différence, sauf si cela aide les rebelles… Après tout, j’en suis un à ma façon » dit-il, éclatant légèrement, beaucoup, à la folie, d’un rire à vous glacer le sang; un rire de fou. Mais il pencha lentement la tête tel un animal ne comprenant pas quelque chose. « Hum… Beyond Birthday… Beyond… Quel beau prénom! Pire criminel hum? Cela me semble très intéressant! » Il rigola encore « Cela ne serait-il pas merveilleux, un combat entre deux entités aussi cruelle l’une que l’autre? Si votre Beyond en vos autant la peine, cela serait un véritable plaisir que de le frôler, mais le sujet n’est pas lui pour l’instant… »

Offrir un espoir d’échappatoire? Oui, il l’avait fait, parlant comme s’il sauterait du coq à l’âne en se mettant à parler de se soi-disant grand criminel, mais Reaper n’en avait cure pour l’instant. Oh, bien sûr, il s’informerait plus en profondeur, mais pour l’instant il voulait évaluer la brisabilité de sa cible et oui se mot existe, j’emmerde le Larousse et le Petit Robert!

Le Serial Killer éclata de rire lorsque le ministre de la censure demanda s’il savait qui il était.

- « Cela fait plus d’une semaine que je vous suis, monsieur le ministre de la censure et de la propagande ayant fait deux jolies gaffes dernièrement… N’est-ce pas vous qui avez libéré cette femme aussi? Je ne me souviens plus de son nom, il ne doit pas être important comme sa vie de toute façon, mais cela n’a pas du plaire à vos supérieur uh? Et pour que vous soyez suivit, ils ne doivent même plus vous faire confiance. Et comme le dicton le dis, jamais deux sans trois, mais je crois que pour vous la troisième vous sera fatale, ne le croyez-vous pas mister minister? »


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Nathan S. Suzaku
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MessageSujet: Re: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptyLun 17 Fév - 19:54

Nathan eut une drôle de petite respiration : vous savez, celles qui sont à la limite entre le couinement de souris et la bouffée asthmatique ? Déclinez-la encore pour un homme de grande taille et vous comprendrez. La blessure à la joue le brûlait, dégoulinait de sang. Il avait collé sa main droite dessus, mais encore et toujours, de grosses perles de liquide rouge sombre tombaient sur le sol. Cette fois-ci, ce n'était plus le sang de ce pauvre policier dont le seul crime avait été de se trouver dans le chemin de son...de son stalker, mais le sien. Il n'avait jamais été trop blessé, il n'aurait jamais imaginé que son propre sang était de cette couleur. Nathan le regardait tomber, là, sur le sol. Dans deux jours, peut-être que quelqu'un songerait à faire des analyses : telle était sa pensée du moment.

Le ministre de la censure avait de moins en moins peur ou, du moins, il s'efforçait de ne pas avoir pu. La douleur était effrayante, oui, mais le personnage était, en fin de compte, plutôt ridicule. Il l'écouta monologuer au sujet du viol, parlant de relations sexuelles et de tout un tas d'autres trucs qui étaient, de toute façon, inconnus à Nathan. The Reaper était à proprement parler un esprit perverti...mais Nathan y reviendrait. Tout Nathan qu'il était, il ne manquerait pas de lui donner la définition exacte du viol dans le contexte qui les concernait, avec l'air neutre et ennuyant qui le caractérisait. Ciel qu'il haïssait les types comme cela. Ces débiles pas aidés qui semaient la panique aux quatre coins de Tokyô : c'était à cause de gens comme ceux-là, très précisément, qu'ils en étaient ici. Qu'ils avaient autant de boulot, des fous furieux à gérer et que la police de Kira avait acquis cette réputation d'être incapable.

En vérité, il n'avait parlé de Beyond Birthday que pour donner une impression de supériorité : du criminel, il ne savait pratiquement rien. On lui avait dit il y avait quelques semaines, peut-être mois, qu'il était encore vivant, mais que son quota de meurtres était trop peu inquiétant pour que les services comme le sien se mobilise vraiment. Il trouvait cela étrange, ce n'était pas le genre de Kira, mais il n'avait absolument rien à redire, surtout après ses récentes débâcles. Les poils de Suzaku se hérissèrent lorsqu'il entendit ce meurtrier parler de « cette femme ». Illness. La seule personne qu'il aurait voulu voir indemne, la seule personne pour laquelle il éprouvait des sentiments. Disons-le clairement, mais pour tous les autres, même ses collègues de travail les plus travailleurs, Nathan Suzaku ne ressentait absolument rien. Ils auraient pu mourir, tout ce qui serait sorti de sa bouche aurait été un « ah, mince. Il devait me rendre son travail demain », d'un air même pas gêné, envers une veuve, un fils, une nièce éplorée.

Mais Illness : Illness était l'amour de sa vie, et combien même lui ferait-elle comprendre que ce n'était pas réciproque, il continuerait à l'aimer. Après tout, il n'avait pas eu besoin de son consentement pour, ces longues années de solitude, ramasser chacun de ses objets perdus ou laissés pour compte. Découper ses signatures sur les contrats signés, récupérer chacun de ses cheveux, ses ongles égarés dans des toilettes, dans des lavabos. Son trésor était un magnifique stylo doré qu'elle lui avait prêté à l'occasion d'une visite au Cavalier Noir qui s'était fort mal terminée. Si Illness mourrait pas sa faute, il ne se le pardonnerait pas, et il ne doutait pas que cet individu était capable du pire.

« Je ne vois pas pourquoi je ferai d'autres erreurs. Par rapport, je vous rappelle la définition du mot violer, qui est contraindre, transgresser quelque chose. Des esprits tordus comme le vôtre ne voient pas la subtilité, mais la loi est sacrée, et je ne vous parle d'acte sexuel. Saisissez-vous bien mes propos ? Sans compter le meurtre que vous avez commis, vous avez transgressé un certain nombre de lois, allant du harcèlement d'un fonctionnaire de l’État à sa mutilation volontaire. »

Suzaku essuya sa main dégoulinante de sang sur son pantalon tout neuf ; celui-ci devint moite et sale. Sa jambe gauche tressaillit, il ne put retenir un violent frisson avant de se décaler d'un centimètre sur le côté. Un centimètre, et puis encore un centimètre. Lorsqu'il jugea s'être assez poussé de là, il se leva soudainement. La douleur était toujours présente, bien sûr, malheureusement. Elle lui lancinai toujours cette joue qui l'inondait de sang...Il en avait à revendre. Les yeux de Suzaku fixait un point au loin...il n'y avait rien en particulier, mais il voulait se donner du courage. Il pensa à quelque chose, ferma les yeux et se prépara. Leva le bras et montra l'autre bout de la rue, du côté de Reaper.

« Ha ! Au secours, Monsieur ! »

Il n'y avait personne, et tant mieux, c'était une diversion : Nathan Suzaku prit ses jambes à son cou et fuit de l'autre côté.
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Reaper
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MessageSujet: Re: You are my future little target, Nathan [Pv Nathan]   You are my future little target, Nathan [Pv Nathan] EmptyDim 2 Mar - 23:56


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La situation était plus que cocasse. Reaper voyait bien que sa petite cible avait peur à se faire dessus et s'était ce qui l'amusait. Comment un mec pouvait avoir aussi peur hein? Et où était la virilité là dedans? Se pouvait-il que le tueur qu'il était se soit tromper et qu'il vaille mieux éliminer cette... ce... ce truc machin chose qui tremblait comme une feuille et qui récitait des trucs sans rapport?

Le tueur regarda le sang couler doucement sur la joue de l'homme-enfant, se retenant tant bien que mal de ne pas lui attraper le cou entre ses griffes et licher à grand coup de langue cette jolie petite joue. Cela aurait été amusant, mais il aurait laisser une trace de son ADN et ce n'était pas le temps de faire une erreur! Parce que celle-ci lui serait complètement fatale et il en subirait une crise cardiaque. Hors. il ne pouvait pas mourir de la main de Kira! Seul son Absolem en avait le droit...

Oh Absolem! Son petit rival au corps divin qu'il aimait tant avoir entre ses bras. Je vous vois venir avec votre esprit mal tourné et ôtez-vous cette scène de la tête, je parle ici de seulement le serrer contre lui et rien d'autre. Il aimait sentir son odeur tintée de celle du sang de ses victimes.

Perdu dans ses pensées, Reaper n'écouta même pas le ministre de la censure et de la propagande. De toute façon, le tueur qu'il était se foutait bien des lois et de la bonne utilisation des mots. S'était lui qui avait parler de viole, pas le tuer! Pour une fois... Quoi qu'il avait jamais violé personne, même si il était qu'un gros pervers et ce, Absolem aurait pu le confirmé.

Il l'entendit soudainement crier, puis partir à courir. Le criminel le regarda faire, ne comprenant pas se manège. Il regarda autour de lui et ne trouva pas l'origine de la peur du Ministre. Aurait-il finit par perdre le peu de raison qui lui restait? Non, il en avait plus de toute façon.

Se penchant, le tueur attrapa une pierre qu'il jeta de toute ses forces vers sa proie, espérant l'atteindre dans le dos ou à la tête, puis couru derrière lui à toute vitesse. Il avait de très grande jambes, une bonne endurance et était habitué à courir. Après tout, il le faisait souvent avec son amant meurtrier quand ils se battaient.

Il rattrapa finalement le ministre qu'il attrapa par le collet et le jeta contre un mur de brique de toutes ses forces, espérant lui faire très mal. Il commençait à se lasser de ce comportement.

- "Tu penses vraiment que courir te sauveras avorton? Tu m'as parler de Beyond Birthday, laisses-moi maintenant te parler d'un très proche ami à moi; Absolem... et si tu continus à penser que je ne suis rien d'autre qu'un simple criminel, tu n'auras pas que moi sur le dos Nathou" murmura-t-il à l'oreille du Ministre sur un ton de menace

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