Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Those who don't met the pain can't know the hapiness...

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MessageSujet: Those who don't met the pain can't know the hapiness...    Those who don't met the pain can't know the hapiness...  EmptyVen 17 Jan - 20:32

Those who don't met the pain can't know the hapiness...  M1zy



 
    Me, and just me.



Informations Générales


     
    Véritables noms et prénoms :

         
    Choi Min Hyu

     
    Faux noms et prénoms  :

         
    Minyu

     
    Âge :

         
    20 ans

     
    Convictions politiques :

         
    Je fais partie de la rébellion, je trouve cette idée de Nouveau Monde absurde. Dieu n'existe pas. J'ai donc rejoint le Cavalier Noir, bien que ce ne soit pas encore considéré comme un camp véritablement rebelle...

     
    Rôle :

         
    On verra bien...


Descriptions


    Physique :

     
    Je suis un jeune homme assez particulier. Tout d'abord, il faut savoir que je suis d'origine coréenne. Donc, comme la plupart des personnes de nationalité asiatique, je suis facilement reconnaissable comme étant un des leurs. Mais je déteste l'uniformité. Il était évident, rien qu'avec mon caractère, que jamais je n'aurais pu rester toute ma vie affublé d'une chevelure aussi sombre, ainsi que d'un regard sans aucune teinte de couleur. Alors, je les ai teints, mes cheveux. Tout simplement. Retombant jusqu'à mes  omoplates, ils sont à présent blond platine, voire même parfois blancs, en fonction de l'éclairage, et aussi de la plus ou moins récente visite chez le coiffeur. Il faut dire que cette couleur beaucoup plus claire que celle que mes cheveux portent d'origine me va bien, malgré le fait que cela contraste avec mon visage purement asiatique, mes sourcils foncés et mes yeux toujours aussi sombres. D'ailleurs, en parlant de mes yeux. Ceux-ci sont en forme d'amande, mis en valeur par de longs cils qui rendent mon visage assez féminin. D'ailleurs, la plupart des gens que je croise pensent que je me maquille en voyant le contour de mon regard. Et la réponse est que, non, je ne me maquille pas. Si certaines jeunes filles adeptes des mignons garçons efféminés avec certains penchants homosexuels lisent cette description, et bien je m'excuse, vous ne serez pas comblées mesdemoiselles.
    Enfin... Je devrais quand même préciser que les traits de mon visage sont fins et arrondis, rendant celui-ci très enfantin et assez féminin. Et oui, je ne suis tout de même pas le garçon le plus viril que vous n'aurez jamais vu. Très loin de là. Ma peau, lisse et pâle, sans défauts, va de pair avec mes cheveux décolorés et mes yeux noirs. Mes lèvres sont roses, et d'ailleurs, j'ai pour manie de faire des petites moues boudeuses lorsque je suis avec mes proches. Il m'arrive de faire une bouche en cœur, ou encore de gonfler mes joues, l'air faussement bougon. Il faut cependant prendre en note que je ne suis comme ça qu'avec les gens que j'aime. Sinon, vous ne me verrez sourire que très rarement, voire jamais.
    C'est comme ça, on ne pourra rien y changer.  Soit vous ferez partie des gens qui me trouveront mignon, soit vous ferez partie de ceux qui ne supporteront pas mon visage angélique et trop enfantin, niais, féminin. Après tout, c'est votre problème, moi ça me va parfaitement.
    Parlons maintenant de mon style vestimentaire. Contrairement à ce que j'ai pu expliquer plus haut, je ne suis pas du genre à aimer le rose et les paillettes. Oui, j'apprécie bien de temps en temps, pouvoir porter des couleurs flashy ou pastels. Mais je suis plutôt dans le genre du noir et blanc, surtout depuis que je porte un deuil. On peut donc souvent me voir vêtu d'un haut blanc le plus souvent, accompagné d'un jean noir et déchiré à certains endroits. Tout ça accompagné d'une veste en cuir, et de nombreux accessoires et bijoux en argent. Il faut aussi noter que je ne porte jamais de T-shirts ou de vestes simples, mes vêtements ont toujours des coupures bien particulières. J'ai mon propre style et je compte le garder, bien que le physique ne soit pas le principal de mes soucis.
    Ah, j'en aurais presque oublié un détail : je mets du vernis, parfois.
    Bon, finalement, vous pouvez dire que je suis féminin, ce n'est pas si dérangeant.

    Caractère :

     
    Il est strictement impossible de décrire une personnalité en seulement quelques mots, même lorsque l'on veut parler de son propre caractère. Je ne fais pas exception à la règle, évidemment.
    Tout d'abord, je devrais préciser que j'ai changé, en l'espace que quelques mois seulement, du tout au tout, ou presque. Mon caractère reste le même, mais ma manière de communiquer avec les autres s'est radicalement modifiée. Avant, j'étais souriant, naturel, décomplexé... Je riais pour pas grand-chose, je me montrais très tactile, très affectueux. Je m'ouvrais facilement, bien qu'un peu timide de nature. Je n'avais pas peur de dire mon avis et de communiquer mes sentiments. Non, j'étais bien loin d'être introverti et solitaire. Mais j'avais aussi des défauts. J'étais sensible, j'étais jaloux, j'étais naïf et innocent, trop innocent, à croire en des choses que je ne pouvais même pas toucher. Disons que dans un sens, je suis toujours comme cela. J'aime rire, j'aime sourire, mais c'est comme si je n'y arrivais plus. Je me sens coupable, horriblement coupable alors que je n'ai rien fait. Ce n'est pas de ma faute si elle est morte, je devrais le comprendre. Mais ce deuil pèse lourd sur mes épaules, et je ne peux pas rire sans avoir l'impression que tout n'est qu'une blague affreusement ironique. Comment pourrais-je m'amuser normalement après ce que j'ai connu...? Cela me semble impossible. J'aimerais pouvoir faire comme avant, sourire quand je voulais sourire, pleurer quand je voulais pleurer. Maintenant, je me sens obligé de cacher. Cacher ce que je pense, ce que je ressens, ce que je suis, en réalité. Je me montre non pas froid, mais peu souriant. Juste isolé, pas solitaire. Ce n'est pas la même chose. J'ai des gens sur lesquels compter. Mais j'ai énormément de mal à me rapprocher de nouvelles personnes. Mes anciens goûts pour le rose et les couleurs flashy ont laissé place à une préférence pour le noir et le blanc. Après tout, ce n'est pas plus mal. Au moins, personne ne peut aller s'imaginer que je suis un travesti, simplement parce que mon visage a quelques traits féminins, et que mes cheveux sont plutôt longs. Bref... J'ai toujours aimé ce qui est juste, j'ai toujours apprécié pouvoir me visualiser le bonheur à portée de main, pouvoir me dire qu'en tendant la main, je pourrais l'acquérir. Alors depuis que j'ai compris que l'espoir et la justice n'existent pas en ce monde, j'ai cessé d'y croire, voilà tout. Mais cela ne veut pas dire que je n'essaye rien pour faire en sorte qu'ils puissent être possibles. Je ne fais pas partie de la rébellion pour rien après tout. Kira est simplement un assassin imbu de lui-même, aveuglé par son ambition. Il n'est pas Dieu. Et puis Dieu n'existe pas, de toute manière. Alors je voudrais que les gens reprennent l'espoir qu'ils avaient avant, que le monde redevienne à l'identique d'il y a quelques années. Ce sont mes convictions.
    Parfois, j'ai comme l'impression que ce que je fais est illogique, insensé. Je m'auto-persuade de croire à ce dont j'ai envie de croire. Je tente de ne pas comprendre ce que j'ai peur de comprendre. Est-ce un signe de lâcheté, de toujours se désister, d'avoir peur de souffrir encore...? Peut-être. Après tout, ça aussi, je le fais souvent. Si peu sûr de moi... Je me traite de lâche et de faible au moins cinq fois par jour, j'en suis presque certain, même si je ne m'en rend pas vraiment compte. Après tout, fuir les gens, fuir les nouvelles rencontres en ayant peur de souffrir dans une véritable relation durable est un signe de lâcheté, non...?

    Particularités ?

     
    Je me teins les cheveux régulièrement, ils sont donc blond platine, parfois même se rapprochant du blanc. J'adore le cuir et les couleurs sombres. Avec le maquillage, les teintures et les différentes coiffures -possibles avec mes cheveux plus ou moins longs-, je peux changer du tout au tout selon mes envies.


Histoire


     
    Je suis né dans un petit village en Corée, avec ma mère et mon petit frère. Mon père... Je ne l'ai pas connu. Quand je demandais à ma mère pourquoi n'était-il pas à la maison avec nous, elle se contentait de me sourire tristement et de me dire "C'est la vie". Je n'ai jamais cherché à comprendre véritablement, pour tout dire. Peut-être parce que je n'avais même pas envie de savoir. Je vécus néanmoins heureux, avec ma petite famille sans problèmes, ou en tout cas, sans problèmes que je puisse comprendre aussi jeune. Jusqu'à mes dix ans environ, tout allait pour le mieux. J'aidais ma mère à s'occuper de mon petit frère en plus de moi, j'étais un garçon bien élevé et mature pour son âge, sage et souriant.

    Quand je fus au collège, je n'eus pas vraiment d'amis. Les autres garçons ne m'appréciaient pas je crois bien. Certains se moquaient de moi, sans raison apparente. J'étais comme eux, juste plus sage que la plupart, peut-être plus timide, aussi. Il n'empêche que j'en ai souffert, de les voir s'amuser et faire les idiots tandis que moi, je restais dans mon coin. Mais bien vite, je m'isolai sans plus de regrets, avec simplement l'idée que j'étais juste un peu différent en tête. Après tout, je ne suis pas certain qu'eux et moi, ça aurait pu être le grand amour...
    Le problème fut plutôt que cela se poursuivit au lycée. Et certaines personnes au lycée étaient très peu fréquentables, et s'amusaient à vandaliser mon casier, à me pousser dans les couloirs... ça n'a jamais été agréable.
    _ Min Hyu ! Pousse-toi, tu gênes !
    Je me retournai vers celui qui m'avait hurlé dans les oreilles.
    _ Quoi ?
    _ Tu vois pas que t'es en plein milieu ?!
    Le garçon qui voulait me virer pour pouvoir passer tranquillement était bien plus grand et musclé que moi, qui, en comparaison, semblait être une gamine inoffensive. Je me retirai donc en soupirant, allant m'asseoir dans mon coin, près de mon casier qui débordait de papiers sur lesquels on pouvait lire des insultes et d'autres bêtises du même genre. Honnêtement, cela ne me blessait pas le moins du monde. Mais lorsque ces intimidations se répétaient au quotidien, c'en était plus qu'agaçant.


    Durant ma première année au lycée, je finis par me décolorer les cheveux. Peut-être une manière de me montrer différent, peut-être simplement par goûts. Ma mère ne s'y opposa pas, déclarant que c'était mon choix et que j'étais libre de faire ce qu'il me plaisait avec mon apparence. Mais bien vite, quelque chose vint changer mon existence, petit à petit. Une fille. Et l'amour. Je n'ai rien vu venir. Elle était si belle à mes yeux, si originale, si différente. Je ne sais même pas ce qui m'a rendu amoureux. Mais y'a-t-il une raison à l'amour ? Elle était juste celle que j'aimais, voilà tout.
    _ Ça va...?
    Relevant la tête vers la personne qui m'avait adressé la parole, je ne pus m'empêcher d'avoir l'air surpris. Une jeune fille que je ne connaissais pas me souriait, tendant sa main pour que je puisse me relever. Elle devait avoir vu les garçons de tout à l'heure me pousser, et à présent, elle voulait m'aider. Dire que j'étais tellement faible qu'une fille voulait m'aider... Je devais faire pitié. Je serrai les dents, avant de murmurer :
    _ Non... C'est bon, je peux me relever tout seul.
    Elle me sourit. Elle avait un beau sourire, sur un visage mignon, aux grands yeux noisettes.
    _ Moi c'est Hanae. Et toi ?
    _ Oh... Je m'appelle Min Hyu.

    Mais à cet instant, comment j'aurais pu savoir ce qui allait s'ensuivre...? Je ne pensais qu'à une rencontre banale, une simple fille qui voulait m'aider. Mais Hanae allait se relever être bien plus importante pour moi.

    Oui, elle fut celle qui restait avec moi au déjeuner, celle qui s'intéressait à ce que j'aimais, celle qui me souriait juste en me voyant et qui n'attendait rien de moi. Et moi, je fus celui qui prenait le déjeuner avec elle, celui qui s'intéressait à ses passions, celui qui lui souriait sans raison et n'attendait rien en échange. Et oui, bien vite, tel une intrigue de pièce de théâtre romantique, nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre. Ça s'est fait, comme ça, au fur et à mesure. Elle était si adorable, si belle, si gentille, je ne pouvais que l'aimer. Et d'ailleurs, je pensais ne pas la mériter, je me demandais ce qu'elle me trouvait. Pour moi, elle aurait dû aller avec un garçon doué, qui aurait plein d'amis et qui saurait se comporter de manière sociable avec tout le monde. Et bien non, elle m'avait choisi moi.  
    _Dis... Min Hyu, on restera ensembles pour toujours ?
    Je lui pris la main en souriant.
    _ Bien sûr... Pourquoi ?
    Parfois, j'avais l'impression que nous étions deux adolescents niais et encore innocents quant à la réalité cruelle du monde dans lequel nous vivions. C'est d'ailleurs ce que nous étions. Elle déposa un bisou sur ma joue, avant de rire doucement.
    _ Je ne sais pas... Parfois je pense à l'avenir et j'ai peur.
    Je ne comprenais pas, lui lançant un regard interrogateur.
    _ Mais... Tu n'entends pas parler de l'affaire Kira ? Tu sais, cet homme qui se fait appeler Dieu...
    Evidemment, j'en avais entendu parler. Cela faisait presque dix ans que je connaissais cette histoire. À vrai dire, je pense que le monde entier savait qui était Kira. De mon côté, je n'y avais jamais fait attention, pensant simplement qu'en restant sage je ne risquais rien.
    _ Et bien... reprit-elle. Tu sais que j'ai un ami... Il est mort d'une crise cardiaque, chez lui, comme ça...
    Je sentis ma gorge se nouer. J'avais déjà entendu parler des agissements de Kira qui commençaient à devenir véritablement effrayants, comme s'il n'y avait plus que les criminels qui mouraient. Mais jamais je n'y avais fait attention.

    En cet instant, le sens de la discussion avait échappé. Je n'avais pas compris pourquoi Hanae s'inquiétait pour notre couple.

    Finalement, le pire finit par arriver. Comment ? Je ne sais pas. Pourquoi ? Je ne le sais pas non plus. Je suis juste certain que ce n'était pas un hasard. Et aussi, qu'Hanae avait bien fait de douter d'un bel avenir. Le drame survint, comme ça, comme si c'était normal, comme si c'était juste, légitime. Comment aurais-je pu le prévoir ? Jamais je n'y aurais pensé. J'étais encore innocent. Trop innocent. Jamais je n'avais vécu la perte d'un être cher, et cela n'avait pas fait partie des possibilités que j'envisageais. Mais après tout, tout est possible. Il y a bien un homme sur Terre qui a trouvé le moyen de tuer à distance après tout...
    _ Hanae est morte. Elle s'est pendue dans sa chambre.
    La nouvelle me fit l'effet d'une claque magistrale. Morte ? Impossible. Je n'y croyais pas. Je ne pouvais pas y croire. Je me mis à rire, d'un rire tendu, nerveux, forcé.
    _ C'est impossible... Hanae était heureuse, elle aurait jamais fait ça.
    Mais l'air sérieux de sa mère, ainsi que les larmes qui coulaient sur ses joues ne purent que renforcer les doutes, qui perçaient déjà comme une évidence dans mon esprit. Une évidence que je ne pouvais pas accepter. Mon sourire forcé ne fit que s'étendre sur mes lèvres, tandis que je murmurais :
    _ C'est une blague n'est-ce-pas ?
    Mais je savais déjà que ce n'en était pas une. Elle était morte pour de vrai. Pendue. Pourquoi ? Je ne savais pas.
    _ Elle était bizarre. Tout d'un coup, son regard s'est fait vide, elle ne répondait plus à mes questions, elle est partie dans sa chambre...
    Je me mis à avoir un doute. Je ne savais pas d'où il venait, mais il était dérangeant. Trop dérangeant. Kira.
    Je ne savais pas si c'était lui ou quelqu'un d'autre qui avait poussé Hanae au suicide. Je savais juste que je ne m'en remettrai pas. Je restai immobile, sans pleurer, sans rien dire, sans rien faire. Le chagrin était au delà des larmes.


    Je me mis à détester Kira de tout mon cœur. C'était forcément lui. Hanae ne se serait jamais suicidée, je le savais, nous n'avions rien à nous cacher. De plus, pourquoi s'était-elle inquiétée au sujet de Kira ? Avait-elle fait quelque chose qui la rendait méritante de mourir ? Je m'en fichais, en fait, ça m'était égal. Elle n'aurait jamais du se suicider. Ou plutôt, Kira n'aurait jamais du la tuer.
    Je partis vivre au Japon, là où toute l'affaire Kira avait commencé, il y avait bientôt dix ans. J'entrai dans la résistance, me mettant à travailler pour le Cavalier Noir, contre le nouveau monde que cet assassin était en train de créer. Après tout, je n'avais aucune envie d'utiliser la violence, et je préférais montrer au monde ce qu'il advenait de la réalité. Plus rien n'allait, je m'en rendis véritablement compte une fois au Japon. Il fallait que je fasse quelque chose, je ne supportais plus de voir ces regards vides, ces adorateurs qui ne comprenaient même pas ce qu'ils vénéraient en réalité.
    Je deviens isolé, replié sur moi-même, comme sur la défensive. Je ne voulais plus aimer personne, je n'arrivais plus à communiquer avec les autres comme avant. Lorsque ma mère me demanda pourquoi je m'en allais, je lui répondis simplement "Je suis assez âgé pour partir, tu ne vas pas me retenir."
    Je savais pertinemment qu'elle allait devoir s'occuper de Ruki, mon frère, toute seule. Ça ne m'était pas égal, mais je devais avant tout aller me battre contre Kira, et contre la bêtise de l'humanité face à ce "Dieu"...


    De l'autre côté de l'écran ?

    Vous  ?

     
    Oui, cey moi, Pandaaa !

    Votre âge :

     
    Gamine.

    Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ?  

     
    J'étais dessus avant, bien que je n'ai pas pu rester très longtemps (sous le nom d'Alycia Crow)

    Quelque chose à ajouter ?

     
    J'vous aime, il FALLAIT que je revienne ♥



Dernière édition par Minyu le Sam 18 Jan - 15:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Those who don't met the pain can't know the hapiness...    Those who don't met the pain can't know the hapiness...  EmptySam 18 Jan - 15:36

Déjà, encore bienvenue ! ♥
Ensuite, ta fiche est très bien. Il y a juste un truc qui cloche. Il faut que précise clairement quel camp ton personnage rejoint. ~
(D'ailleurs, vu que je sais que c'est le Cavalier Noir, je dois te dire que ce n'est pas vraiment la Rébellion. En fait, le CN est le dernier journal qui a une liberté de parole, c'est vrai qu'il est neutre mais il est quand même apparenté au ministère de la censure.)
Donc voilà, modifie ça et c'est bon. ♥


EDIT : VOILA, VALIDÉ. ♥
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