Death Note RPG : une nouvelle ère
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Google Pixel 7 5G – Smartphone 6,3″ OLED FHD+ 8 Go + 128 Go
316 €
Voir le deal

 

 In praise of Saka. \o/

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



In praise of Saka. \o/ Empty
MessageSujet: In praise of Saka. o/   In praise of Saka. \o/ EmptyVen 17 Jan - 14:22



    Fiche de présentation



Informations Générales


    Véritables noms et prénoms :

    Alaeddin Kayako, sous ce nom je suis officiellement un mec qui s'est fait virer de l'école à quinze, a mystérieusement disparu quelques années et tient maintenant un boulot pourri aux archives du gouvernement.

    Faux noms et prénoms (ou/et pseudonyme) :

    Ouh là là, j'en ai eu plein.

    Âge :

    Vingt cinq ans.

    Convictions politiques :
    Pro-Kira.
    Rôle :

    Police secrète de Kira.


Descriptions


    Physique :
    (7 lignes minimum)
    Vachement grand, la peau brune et les cheveux bruns. Un « I » tatoué sur la hanche. Comme la majorité de mon entraînement est physique, je suis très musclé. Y a des mecs que je connais qui prennent des stéroïdes pour être mieux notés, moi pas. Enfin pas trop. Plus maintenant en tout cas. Trop de conséquences pesantes. En mission, quand ça dure vraiment longtemps, et qu'il faut vraiment pas dormir, je dis pas, y a des fois besoin de se speeder un peu, il s'agit de sécurité du territoire et tout. Y a pas forcément de cafetière à disposition. Mais on parlait de mon physique là (et c'est très intéressant ça monsieur). Pour les besoins de l'infiltration je ressemble pas du tout à un flic. Quand j'ai pas mon costume de Power Ranger dépressif – le gilet pare-balle, le masque à gaz, tout ça – je m'habille comme un connard lambda avec des jeans, un blouson en cuir. Et j'ai pas du tout une tête de flic parce que... parce que j'ai des dread. Évidemment. Je tiens bien le rôle du mec louche parce que je suis grand avec des dread. Voilà.

    Caractère :

    J'ai l'air perpétuellement au bout du rouleau. J'crois qu'il y a des mecs capable d'éviter la merde, et ceux qui se font juste rouler dessus la vie entière. Je fais clairement parti de la seconde catégorie. Je me retrouve dans une situation professionnel où je suis souvent en contact avec la mort, la mienne ou celle des autres, sans vraiment l'avoir désiré, et en plus j'ai deux personnes à charge à la maison qui aspirent en braillant tout le temps le peu de substance vitale qu'il me reste. A ce stade j'essaye juste de pas trop prendre cher. Je pense que c'est pour ça que je m'infiltre bien, j'ai pas l'air d'un sournois. Être sournois ça demande de faire des plans, et moi j'ai l'air d'un gars dépassé par ce qui se passe depuis la naissance. Bon pour parler comme ça... je me sens très très fatigué de l'intérieur. Je suis pas tant une merde que ça, je sais bien me servir d'un flingue et je bosse pour le gouvernement, donc je fais parti des gentils. Même quand je mets une balle entre les deux yeux à un petit con plus jeune que moi. Vos impôts en action.

    Particularités ?

    Bah tout ce qui est écrit ailleurs dans la fiche. C'est quoi cette question de merde.


Histoire


    J'ai été adopté. Mes parents étaient vieux, et il y a eu une guerre au Sri Lanka, par là. Ou ailleurs j'en sais rien. Tout s'est à peu près bien passé pour moi jusqu'à ce que je rentre à l'école militaire, vers treize ans. Avant ça j'étais scolarisé à domicile parce que mes vieux voulaient pas que je fréquente des « criminels ». J'étais le genre de gosse timide qui s'enfuit quand un adulte veut lui parler et qui lit des shojo manga. Dans le même temps Kira est apparu et il a pris le contrôle du gouvernement. Je me souviens plus de ce qu'il avait, celui d'avant, mais il devait être incroyablement mauvais. Mes parents ont tout de suite beaucoup apprécié les idées nouvelles. Enfin des façons efficaces de se débarrasser de tous les criminels dehors, ce genre de discours. C'est pour ça que dans l'enthousiasme du moment, ils m'ont inscrit dans une des nouvelles écoles rattachées à l'armée (parce que sinon avant, l'armée japonaise...). Toutes les histoires de limite d'âge étaient aisément contournées grâce à la mention magique de mots comme « apprentissage/formation » sur le fronton des bâtiments. J'ai fait parti des premières promotions. Il y avait tout à faire à ce moment là, de l'embauche pour n'importe qui. J'ai été en internat jusqu'au concours de fin, pour les universités. Au début, j'avais pas de problème grâce à un avantage majeur : je faisais deux têtes de plus que n'importe qui du même âge. Ça aide aussi beaucoup pour les cours de sport, surtout les arts martiaux. On avait plein de cours pour apprendre à se taper dessus de façon plus ou moins créative. Après on avait des cours de math, de mécanique, de droit, d'informatique, puis des cours sur comment le gouvernement aide chacun d'entre nous. Puis, après ce programme réjouissant dans une chaleureuse ambiance de « chacun pour sa gueule », tous les week end, je rentrais chez mes parents me faire engueuler pour divers trucs plus ou moins compréhensibles. C'est mes principaux souvenirs jusqu'à quinze ans. Ensuite ça a commencé à être la merde.

    On m'a chopé à tripoter un camarade de classe. Ça a tué mon père... enfin deux mois plus tard il est mort d'une attaque. Je t'ai dit que mes parents étaient déjà vieux quand ils m'ont adopté. Mais en tout cas ça a donné un prétexte à d'autres gars pour vouloir me fracasser la gueule, parce que la nouvelle s'est répandu dans le bahut, ils se sont dit que je me défendrais pas beaucoup. Ils sont venus à cinq. Je me souviens plus trop comment j'ai fait, mais je les ai semé pour revenir leur casser la gueule un par un une fois qu'ils étaient séparés à fouiller l'école. Il y en a un, je lui ai démis l'épaule. Les autres... je m'en souviens plus. En tout cas ça a vachement perturbé mon parcours scolaire. Au lieu de rentrer gentiment à l'armée à ma majorité, ils m'ont fait passer une évaluation psychologique dont on ne m'a pas montré les résultats. Puis des mecs en costards avec des lunettes de soleil à l'intérieur sont venus me voir. Ils cherchaient des gens pour un organisme plus... discret du gouvernement. Pour lutter contre les ennemis intérieurs. Ça serait très arrangeant pour moi, parce que depuis que mon père était mort on galérait pour les thunes, et puis l'école où j'étais voulait plus de moi après avoir cassé la gueule à cinq élèves, de toute façon. Alors j'ai dit oui.

    Je suis allé au « camp d'entraînement ». Il y en a un seul au Japon ; j'ai pas le droit de dire où c'est. J'étais un des plus vieux, en fait. Ça m'a surpris. Là bas on m'a appris à utiliser toutes sortes de flingue, que j'avais pas intérêt à merder sinon j'allais me pincer les doigts très fort, comment traverser une zone hostile sans manger pendant trois jours et autres connaissances intéressantes. J'ai appris comment protéger un ministre dans un bâtiment public, dégommer en pleine tête un terroriste en train de courir. Comment se faire une intra-musculaire de testostérone. Comment assommer des gens pour les emmener dans un camion. A quoi sert la pièce du fond du couloir.
    La pièce du fond du couloir, c'est un endroit où ils te foutent quand t'as fait une connerie, comme tenter de faire le mur. Ils passent des discours sur Kira pendant 72h, en continue, à fond la caisse, et en stéréo. A bout de trois jours sans dormir à ce régime là, tu fais plus rien qui risquerait de contrarier quelqu'un. Donc j'ai suivi l'entraînement pour avoir le droit d'en sortir au bout de quelques années, parfaitement apte à lutter contre l'ennemie intérieur, avec de très bonnes notes. Ils savaient nous foutre la pression là dedans. Ceux qui avaient les pires notes de la classe avaient systématiquement des emmerdes fournies avec, je me suis débrouillé pour jamais être dans le tas. Et bizarrement je me suis pas trop mal débrouillé. Je sais pas d'où ça me vient, mais tu me mets au milieu de mecs qui veulent me taper, je deviens comme un fou, avec l'ingéniosité d'un rat. Mon naturel taciturne me donne des bons points pour l'infiltration dans les groupes terroristes. Je me débrouille bien avec les armes à feu aussi, la tête pleine d'angles et de force du vent. Bref, ça se présentait pas trop mal pour moi.
    Quoique.

    Officiellement, j'avais disparu, recalé de l'école pour raison psychiatrique. Même pour ma mère. C'était pas problématique à l'époque mais ça allait le devenir. Et en plus j'étais un peu à la masse dans certains domaines. Mais bref. Retour au monde du dehors, mes premières missions. Chercher des gens, et les tuer ou les ramener quelque part – en tous cas ça fait jamais plaisir. Des fois c'est un peu particulier, comme récupérer une tour d'ordinateur. On me demande souvent d'infiltrer des groupes en endossant une fausse identité et en essayant de surtout pas avoir l'air d'un keuf. J'y arrive bien. J'ai pas une tête de menteur, les gens m'estiment à la première impression pas assez intelligent pour ça. J'arrive, je pose plein de questions avec l'air du mec qui comprend rien et je repars, avec plein de noms de dates et de lieux. Quelques fois il faut interrompre la mission parce que ça devient trop dangereux, et une fois on m'a grillé. Ça a été un putain de bordel, je m'en suis sorti de justesse et depuis j'ai plus de rate. On peut vivre sans, faut juste que j'évite de manger de la luzerne ou je sais pas quoi.

    Puis je sais pas ce qui m'a pris, j'ai voulu un peu rattraper le coup et faire un truc sympa dans la vie alors au milieu de tout ça j'ai rencontré une fille, qui n'était même pas militaire. Comme j'ai pas trop eu de cours d'éducation sexuel, bah trois mois plus tard elle était enceinte. J'avais vingt ans. Ça a vraiment foutu la merde. Déjà les supérieurs sont pas trop fan des relations inter personnelles. On devrait pas s'occuper la tête avec des bêtises, puis ça compromet l'anonymat, surtout. Comme je suis un mec fin j'ai mis ça sous un coin de tapis en espérant que les choses se tassent avec le temps, mais si mener une double vie est possible, un triple vie ça devient nettement plus compliqué. Surtout avec un bébé. C'est fou ce que ça demande comme temps ces merdes là. Puis pour un tas de raison la meuf est parti quelques mois après la naissance et je me suis retrouvé bien niqué de tous les cotés. Déjà, j'ai dû retourner chez ma mère parce que j'avais plus personne pour s'occuper de la gamine quand j'étais pas là, par dessus ça j'me suis bien fait engueulé de partout parce qu'au boulot ils ont dû gérer avec mon emploi du temps compliqué et en plus je peux jamais être tranquille. Si je suis pas au boulot j'ai un morpion de quatre ans à m'occuper, et ma mère m'aide pas beaucoup parce qu'elle est vieille . C'est des coups à péter un plomb. Faut bien imaginer la scène : j'ai passé deux jours postés immobile dans le froid pour dégommer un gars au sniper, et je rentre pour récurer du vomi séché sur un parquet pendant qu'une vieille japonaise débite un flot continue de reproche à mon adresse (« … mais se faire avoir par une fille comme ça, il faut vraiment être un con, te laisser sa bâtarde et bla bla bla.... »), pendant que la gamine me cours après en me lançant des jouets à la figure pour attirer mon attention.
    C'est vraiment des coups à péter un plomb, surtout quand c'est comme ça tout le temps. Ça m'est arrivé, la gamine était encore petite. Je voulais juste que tout le monde ferme sa putain de gueule, arrête de me dire qu'avoir un gosse à mon âge c'est vraiment être con et arrête de me réclamer des biscuits en hurlant en continue. Juste du silence, doux, reposant. Même le Lexomil pouvait plus me sauver à ce stade. Ça n'a fait du bien ni à moi, ni à la gamine, que je me mette à gueuler. Elle a eu peur et s'est mise à hurler encore plus fort, par contre ma mère a enfin fermé sa gueule... Cinq minutes à peu près. Depuis, j'essaye de me casser de temps en temps pour pas que ça se reproduise. Au pire je sniffe du speed pour faire ce que j'ai à faire, parce que j'ai pas vraiment le choix.


    De l'autre côté de l'écran ?

    Vous ?

    Je suis une mite en pullover (mais sérieux, qui répond en mode premier degré aux questions HJ ?).

    Votre âge :
    (question optionnelle)
    Bientôt vingt deux. \o/

    Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ?

    Je l'ai trouvé par malchance, et je pense qu'il est tout pourri. Du coup j'ai fait un perso chiant pour rester dans le ton. è_é'

    Quelque chose à ajouter ?

    Je te trouve très très moche, toi, devant ton écran.

Revenir en haut Aller en bas
Takeshi Saitô

Takeshi Saitô


Messages : 907
Age : 32
Localisation : Dans le QG du gouvernement

Feuille de personnage
Âge du personnage: 37 ans

In praise of Saka. \o/ Empty
MessageSujet: Re: In praise of Saka. \o/   In praise of Saka. \o/ EmptyVen 17 Jan - 15:28

Tu es officiellement validé, toi !
Et ta fiche est très bien, elle décrit parfaitement ce qu'il se passe dans les écoles/camps/écoles de Kira.
Donc merci pour cet effort d'imagination qui n'est pas hors sujet, mais pleinement dans le contexte, et tu peux aller t'amuser dans les champs libres du rp !
Revenir en haut Aller en bas
 
In praise of Saka. \o/
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Death Note RPG : une nouvelle ère :: Hors RP :: Archives (numériques) :: Anciennes fiches de présentation-
Sauter vers: