Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Le cas Zéro.

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MessageSujet: Le cas Zéro.   Le cas Zéro. EmptyDim 1 Sep - 20:56



    Fiche de présentation



Informations Générales


    Véritables noms et prénoms :

    Aucune idée.

    Faux noms et prénoms (ou/et pseudonyme) :

    Anciennement « le cas Zéro ». Si ils m'avaient donné un nom, je m'en souviens plus. Mais j'ai bien dû en trouver un quand je me suis évadé du labo. Au moins un pseudonyme. C'est courant les pseudonymes de nos jours, surtout dans un cirque. J'ai choisi Mordred parce que c'est le premier truc qui m'est passé par la tête.

    Âge :

    J'en ai pas la moindre putain d'idée. Quand j'étais au labo, y a quatre ans de ça, je ressemblais à quelqu'un sortant depuis peu de la puberté, avec l'acné à peine séchée sur la gueule. Là j'ai pas encore de bide et mes épaules ont pas fini de s'élargir, j'ai encore à moitié un corps de minet, donc je dois avoir... aucune idée, en fait. Mais quand on me pose la question je dis que j'ai vingt trois ans.

    Convictions politiques :

    Anti-Kira, mais pas en contact avec un groupe de rebelles. C'est plutôt dans l'idée générale, ça m'arrive de décoller une affiche quand j'ai rien de mieux à faire ou de cracher sur un monument quand je suis sûr que personne me voit. Du haut level quoi.

    Rôle :

    Semi-shinigami.


Descriptions


    Physique :

    J'ai un physique plutôt banal, mais caucasien. Je suppose que je ne suis pas né au Japon, que j'ai pas de papiers, et que c'est d'ailleurs comme ça que j'ai pu « disparaître » aussi facilement dans un labo du gouvernement. Mais dans le fond j'en sais rien.
    Je suis plutôt d'une taille moyenne, maigre, les cheveux bruns ternes en bordel, les yeux cernés à cause du boulot qui prend trop de temps, sale parce que je travaille avec des animaux, et les traits peu mémorables. Je m'habille plutôt mal, et pour mon numéro j'ai un costume de gros guignol, style victorien parce que c'est plus ou moins à la mode comme déguisement, va comprendre. J'aime pas trop en tout cas, parce que je suis pas hyper à l'aise avec moi même. Il m'est arrivé d'être... plutôt changeant.

    Caractère :

    Je suis amnésique ; je ne me souviens de rien au delà de ces cinq dernières années. Par la force des choses ça fait de moi un mec assez secret, vu que je peux pas raconter mon passé, vu que j'en ai pas. Je m'en suis bien inventé un, mais il manque de petits détails qui font vrai et j'ai pas assez d'imagination pour en inventer des crédibles. J'admets que j'ai tendance à trop picoler ou fumer des trucs, mais la sobriété c'est vraiment dur à gérer vu la gueule du monde, j'veux oublier. Du coup j'ai souvent l'air éteint et je parle pas trop parce que je suis trop fracassé. Et des fois j'ai des absences. Je m'en fous, visiblement ça arrive quand je suis dans la merde, et je préfère autant pas vivre mes pires moment. Mais je raconterai tout ça plus tard.

    Particularités ?

    Je suis un semi-shinigami. Je crois que ça suffit, comme particularité pourrie. J'ai les yeux de la mort, et d'autres trucs, mais j'ai pas idée précisément de quoi.


Histoire

    J'étais dans le coma, il paraît, sans identité connue, à peine vivant. C'était pratique pour voir les effets physiques de l'expérience sur un corps humain sans avoir à gérer un esprit derrière. Mon réveil a été un pur accident. Mes premiers souvenirs sont confus, des monsieur en blanc insistaient pour que je fasse des choses comme serrer le poing, avaler, suivre un stylo du regard, mais j'étais tellement fatigué... chaque effort se soldait par une longue période d'inconscience, pour émerger de nouveau épuisé. La lumière par la fenêtre, reflétée sur toutes les surfaces blanches dans la pièce, me brûlait les yeux. J'avais l'impression que les gens bougeaient en accéléré, m'oppressaient de paroles, de questions, de demandes. On me réveillait pour me retourner pour éviter que je chope des escarres, pour changer la poche de la sonde naso-gastrique, la sonde urinaire, les perfusions, pour prendre ma température, ma tension, tout un programme. Et des questions, des tas. Est ce que je les entendais ? Est ce que je les comprenais ? Clignez des yeux pour dire oui. Est ce que vous ressentez des choses inhabituelles ? Mis à part la douleur, bien sûr. Voyez vous des dates ou des noms... ?
    Ouais, des questions chelou ça pour un hôpital. Et je crois pas non plus qu'à l'hôpital les toubibs demandent à l'infirmière de retarder la dose de morphine une heure ou deux histoire que le patient soit plus lucide pour répondre aux questions. J'ai trouvé ça mesquin. Mais impossible de mettre le doigt sur ce qui clochait vraiment là dedans, parce que je ne savais pas pourquoi j'étais là. Il y avait sans doute une raison logique à tout ça, qui m'échappait pour l'instant, même si je me cassait souvent la tête sur le sujet dans mes moments de lucidité. Ça allait me revenir, si seulement j'arrivais à me concentrer suffisamment, je l'ai sur le bout de la langue... mais rien ne m'est jamais revenu, je sais pas pourquoi. Maintenant c'est loin, je crois que je ne me souviendrais jamais de ce qui s'est passé avant.

    Faut dire qu'on ne me laissait jamais tranquille quand j'étais réveillé, j'aurais peut être pu arriver à quelque chose si seulement on m'avait pas tout le temps emmerdé. Quand ce n'était pas les questions, c'était à propos de Kira. On me disait des tas de choses à propos de lui, comment je devais le servir, sa grandeur, on me le répétait en m'empêchant de dormir, d'avoir de la morphine... Ça m'a au moins motivé à retrouvé la forme, puisque mon premier mot depuis mon réveil fut adressé au médecin en train de me lire du charabia à propos de mes pouvoirs qui allaient pas tarder à s'éveiller. Je l'ai traité de connasse. C'est comme ça qu'a commencé le deuxième acte de mon séjour dans le labo de Kira, celui où un tas de toubib différents me tournaient autour comme des mouches à merde pour me faire faire des trucs. La phase chiante. Les joies de la rééducation, avec le kiné et tout. Vu le temps que j'ai passé dans un putain de lit, je savais plus tenir debout. Et maintenant je pouvais parler – quand je ne dormais pas -, et on me posait un millier de questions. La moitié, je ne les comprenais pas. Et d'où je viens, et comment je m'appelle, et quelles sont les dates que vous voyez sous la tête des individus présents dans la pièce. Tout ça m'emmerdait mais on ne me laissait jamais tranquille. Et une idée commençait à s'implanter en moi : je ne devrais pas être là. Je dois aller ailleurs. Je ne sais pas où, mais ici ce n'était pas le bon endroit. Une intuition obsédante. Comme vouloir sauter quand on est au bord du précipice. Ma tête était vide, alors l'idée n'a eu aucun mal à s'implanter dedans.
    Un jour j'en ai parlé à un des toubibs, il me posait des questions à propos d'une vitre devant moi. Il y avait un gars dedans. Ça s'est révélé être un miroir. L'expérience de ne pas reconnaître mon propre visage a été assez éprouvante. Je lui ai demandé quand est ce que je partirais d'ici juste après, n'y tenant plus. Il m'a répondu que ça serait quand je répondrait aux questions. Je lui ai dit qu'il fallait que je m'en aille, il m'a demandé pourquoi. Je lui ai répondu que je ne savais pas. Trop dans la purée. J'ai compris après qu'on me donnait des médicaments pour que je puisse pas réfléchir trop fort non plus. Tas de baltringues.
    Une fois mes capacités motrices retrouvées, les toubibs m'ont enfin expliqué que j'étais dans un labo du gouvernement, et que pendant mon coma j'ai eu des... ajouts. De l'ADN de shinigami, en fait. Je suis le premier cobaye humain. Ils cherchaient à découvrir quels effets ça avait eu sur moi. Réponse : plein. Mais leurs apparitions étaient assez aléatoires. Les médecins me donnèrent différents médicaments pour changer mon état physique et mental afin de provoquer les phénomènes étranges. En général, c'était pas très agréable, et ça a duré longtemps. Je me souviens pas très bien de la majorité des séances, les drogues qu'ils me donnaient avaient tendance à faire décrocher ma conscience. Je sais qu'une fois j'ai fini à quatre pattes sur le plafond, mais le reste avait pas de quoi faire rêver en matière d'arme semi divine pour Kira. Je ne contrôle pas la majorité de ce que je peux faire. Les seuls trucs que je sais utiliser avec certitude, c'est être extrêmement agile et avoir les yeux de la Mort. Il semblerait aussi que je meurs vraiment pas facilement. Pas de quoi faire une arme mortelle. Mais ça valait le coup d'insister, visiblement.

    Du coup, les problèmes ont commencés. J'avais toujours des périodes de black out. Et un jour je n'en ai plus eu. A mon dernier réveil de ce type, j'étais dehors, dans la ville.Je ne me souviens pas de comment je suis me suis évadé, seulement du début : j'avais essayé de sortir du labo. Par la porte de sortie, tout bêtement. Jusque là soit je faisais tout ce qu'on me disait de faire, soit je faisais rien. Mais je commençais à développer une accoutumance aux drogues qu'on me donnait, et j'avais réussi à me faufiler vers la sortie. J'ai pas réussi à m'évader comme ça, évidemment. Les gardes m'ont vu. J'ai essayé de repousser les bras qui me saisissaient, j'ai échoué et... je ne sais plus, j'étais tellement en rage après mon impuissance. Il fallait que je me rende ailleurs, je ne devais pas rester ici, pourquoi bordel on me laissait pas partir et...
    Je me souviens pas trop après. Juste de l'ambiance. Un sentiment d'urgence, quelque chose de terriblement oppressant... je ne sais plus. Mais j'ai repris conscience sous une bretelle d'autoroute en plein après-midi dans la périphérie de Tokyo, blessé au ventre. Je suis resté allongé là je ne sais combien de temps, caché, sans savoir du tout où aller jusqu'à ce que j'entende des gens venir près de moi. Pas des médecins, pas des gardes, des gens assez jeunes. Des filles, habillées en noir, genre avec des gants en dentelle avec le bout des doigts coupés et des cheveux colorés pire que fluo. Elles me jetèrent des regards inquiets, parce que j'étais couvert de sang, dans une blouse d'hôpital, et très sale. Mais j'avais l'air d'avoir le même âge qu'elles, alors ça les a rassuré. Elles sont même devenues assez curieuse :

    - Tu viens de t'évader d'HP?

    J'ai réfléchi à la question. HP, c'est hôpital psychiatrique, ça semblait cohérent comme explication pour un « civil ». J'avais oublié tout ce qui concernait ma vie, mais le reste ça allait à peu près. Je savais qui était Kira, de quelle couleur est le ciel, ce genre de truc. Et quelque chose me disait que venir d'un labo expérimental et avoir de l'ADN de dieu de la mort en soi c'était pas quelque chose que les gens peuvent accepter comme ça. Et je veux pas retourner au labo.

    - Oui. Mais je suis où ? Qui êtes vous?

    - On est dans le sud de Tokyo, je sais pas trop, on vient prendre des photos ici avec nos BJD habillées en princesse des ténèbres, l'ambiance est glauque et tout ça va être trop kawai.

    - C'est cool.

    Ça me semblait être la réponse la plus appropriée, vu que j'avais aucune idée de ce qu'elles allaient foutre, en fait. La scène qui a suivi a été assez hallucinante, elles ont toutes sorties de grosses boîtes de leurs sacs, chacune contenant une énorme poupée, et les ont pris en photo. Ensuite elles se sont assises en cercle pour discuter tranquille, et des bouteilles de vins blancs de mauvaise qualité sont magiquement apparue pour rendre la conversation plus festive. Moi j'étais assis un peu plus loin, à regarder tout ça d'un œil torve, trempé d'avoir passé la nuit dehors, fatigué, et les mains collées contre la blessure sur mon ventre. L'une des fille se mis à m'examiner à la dérobée de temps en temps, de plus en plus longuement, jusqu'à me donner un biscuit. En forme de panda. Qui sourit. Beaucoup plus tard, après que le groupe se soit dispersé, la fille me proposa de venir chez elle prendre une douche et manger. Elle me posa plein de question sur l'HP et la folie en général. J'ai répondu majoritairement « je ne sais pas ». J'étais perdu, complètement. J'avais ni nom ni papier, pas de passé quoi. Le labo allait pas mettre longtemps à me retrouver si c'était comme ça, ou la police. Et il fallait que j'aille ailleurs, je sais pas où. Absolument. Ici, c'était pas bien non plus.

    Donc j'ai suivi la gonzesse. Elle m'a donné tout ce qu'elle avait promis, de la bouffe, une douche, et même des fringues, celles à son frère. Je me suis bricolé un pansement dans la salle de bain avec le contenu de l'armoire à pharmacie. Vêtu d'un jogging Nike usé et d'un T-shirt XXL « Tuning Festival 2016 », j'ai rejoint la nana dans sa chambre. J'me suis retrouvé cerné par des poupées aux grands yeux et des posters de gars pas chaudement vêtus. Du vin blanc trop sucré est miraculeusement apparu et on a discuté. Les mensonges sur ma vie me venaient assez facilement, l'alcool aidant.

    - Tu faisais quoi avant l'HP ?

    - ... gymnaste. Mais je peux plus maintenant à cause de l'HP et tout.

    C'était le seul truc que je pouvais raisonnablement prétendre savoir. Oubliez moi pour tout le reste, mais pour faire un salto arrière sans échauffement je suis votre homme.

    - Et pourquoi t'y es rentré ?

    - Euuuh... j'me prenais pour un dieu de la mort.

    - T'as pas trop un physique de gymnaste.

    - C'est à cause de la drogue.

    Ouais donc papotage, tout ça, elle me parle d'un cirque en ville où ils cherchent justement un mec qui pratique bien le genre de sport que je fais pour devenir trapéziste. Et comme c'est le cirque, personne me posera de question sur d'où je viens et tout. La nana ajouta qu'ils avaient des activités de contrebande par en dessous, parce que les arts du spectacle c'est pas ça qui les fait vivre, d'après son pote. J'ai haussé les épaules, mal placé pour défendre la loi, puis j'ai dit d'accord. Ensuite elle est venue contre moi mais j'étais trop bourré pour réagir de façon appropriée. Je me suis endormi.

    Les jours suivant ont pas été très cool, j'ai subi le manque de tout ce qu'on me donnait dans le labo en matière de molécules psychoactives. A chaque crise de vomi, de tremblements, d'angoisse, j'ai maudit le gouvernement, Kira, les toubibs, le labo, et toute l'humanité en général. Mais surtout Kira, cet inconnu qui m'avait foutu dans la merde comme ça sans jamais m'avoir vu. Après ces trois jours malade comme un chien, je me sentais beaucoup mieux. Moins confus. Et j'avais encore envie de partir de là où j'étais. Direction le cirque alors.

    Le directeur du machin, un gros vieux crado qui fume tout le temps des gitanes maïs, me donna l'occasion de montrer ce que je savais. J'ai fait ce qui me semblait être le plus probable en matière de gymnastique, et ça a suffit. Bosser dans un cirque ça attire pas masse de postulants de toute façon. Faut vivre dans une caravane crado, bosser souvent dehors et s'entraîner à des numéros dangereux avec un matériel plein de tétanos. Et c'est mal payé. La première année, j'ai fait la bonniche pour tout le monde, en m'entraînant au numéro sans jamais me produire. J'ai aussi commencé à participer aux activités de contrebande du cirque, qui fait passer des armes et de la drogue. On reste jamais très longtemps au même endroit, ce qui me convient très bien et m'empêche de péter trop les plombs, et l'ambiance est sympa. L'histoire que j'ai raconté à la nana qui m'a conduite ici est devenue mon histoire de vie officielle. Les gens attribuent mon comportement bizarre à ma folie supposée. A cause de l'alcool et tout aussi, mais de toute façon tout le monde picole là dedans. Même les clowns, faut mieux pas en approcher une allumette sinon ils prennent feu à cause des vapeurs d'alcool dans leur haleine. Mais j'y suis bien, ça correspond bien à mes attentes dans la vie. On m'embête pas, on me pose pas de question et si je suis bizarre c'est pas grave parce que les autres le sont aussi. Les gens normaux vivent pas dans des caravanes qui puent et ils nettoient pas de la merde de dromadaire un lundi à trois heures du matin sur le champ communal de Triffouillis-les-oies bourré comme un coing. Ils cachent pas des flingues sous la nourriture des tigres non plus sous les ordres d'un gars avec la gueule pleine de cicatrices. Je pensais avoir toute liberté d'oublier ce qui m'était arrivé avant. Ben nan.

    Un coup en traînant aux alentours du camp j'ai vu un gars dont la date de mort correspondait avec le jour qu'on était. Ça m'a... fasciné. J'ai pas pu m'empêcher de le suivre, en espérant assister au futur décès, en aspirant à je sais pas quoi. Je voulais pas me retrouver de nouveau concerné par tout ça, me foutre dans la merde, mais je l'ai suivi quand même. Et dix minutes plus tard il est mort écrasé en traversant une rue. Ça m'a fait un drôle d'effet dans la tête, et pas seulement. Je suis brutalement tombé en avant à cause d'un gros poids qui a apparu dans mon dos. Des putain d'ailes. J'ai hurlé sous le choc de voir deux énormes membres monstrueux me sortir du dos. J'ai paniqué. Je me suis enfui en courant comme un dément sans savoir gérer mon centre de gravité, je suis tombé plusieurs fois. C'était collé à moi ! Ça partait pas ! Absolument monstrueux. J'aurais eu la même réaction si je m'étais réveillé couvert de tentacules ou je sais pas quoi. J'étais envahi de dégoût. Je me suis énervé après mes ailes, je m'en souviens. Mais après je m'en souviens plus.
    J'ai repris connaissance dans ma caravane, roulé en boule sur le lit, le dos dans son état normal. L'événement m'apparaissait comme un rêve, mais il est probable qu'il se soit réellement produit. Personne n'est venu me parler de ça, donc l'incident n'a eu aucune conséquence, mais depuis je suis inquiet quand même. Je ne peux pas me contenter d'oublier ce qui s'est passé, mais ça me fout en rage quand j'y pense. J'ai été comme un merde entre les mains d'un tas de connards, ça me brûle à l'intérieur de la tête. Des idées contre le gouvernement dans son ensemble me sont assez vite venues. D'autant plus que je fréquente plutôt des gens qui aiment pas avoir des relations avec. J'ai jamais eu commerce avec de vrais résistants pourtant, ou pas que je sache. Ils sont secrets ces gens là. Mais si j'étais pas tout seul dans mon coin, j'adorerais cracher à la gueule du gouvernement, plus ou moins métaphoriquement. En attendant je brouette de la merde de tigre à six heures du matin sur le champ communal de Moigneux-les-Bains dans un froid glacial et je bondis en l'air comme un crétin pendant que des gosses hurlent quatre soirs par semaine.

    blabla


    De l'autre côté de l'écran ?

    Vous ?

    Je suis une brosse à chiotte.

    Votre âge :
    (question optionnelle)
    21

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    Par Nathan.

    Quelque chose à ajouter ?

    J'ai pas lu/vu Death Note. Je trouve pas L sexy.

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Takeshi Saitô

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MessageSujet: Re: Le cas Zéro.   Le cas Zéro. EmptyLun 2 Sep - 19:26

Ben je crois que c'est tout bon, Brosse à chiotte !
Bienvenue sur le forum, tu pourras ensuite faire une demande de rp ou/et bien t'inscrire à l'event !
J'ai beaucoup aimé ta fiche, particulièrement le passage des otaques ! :D
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