Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Faith Reed, death in my mind [terminé]

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MessageSujet: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyDim 21 Juil - 12:40



 
    Death in my mind



Carte d’identité – ah non, elle en a jamais eu !


     
    Véritables noms et prénoms :

         
    Lùa Payet. Elle mourrait plutôt que de livrer son vrai nom.

     
    Faux noms et prénoms (ou/et pseudonyme) :

         
    Faith Reed. Tout le monde la connait sous cette identité.

     
    Âge :

         
    Qu’on lui demande cette information a tendance à l’énerver ; cependant elle vous avouera sans peine qu’elle a dix-neuf hivers.

     
    Convictions politiques :
      
         
    Anarchiste Rebelle dans l’âme. Elle n’est pas stupide, réfléchit pas elle-même, a lu 1984. Autant de raisons qui la font sérieusement mépriser Kira et sa clique.

     
    Rôle :

         
    Médiatrice entre le clan de Mello et les furies d'Ishtar


Faith, une vie en noir et argent


    Les apparences, pas toujours si trompeuses que cela :

     
    Faith est gothique, autant vous le dire tout de suite. A vrai dire, cette dernière affirmation est fausse, corrigeons-la tout de suite : elle est gothique modéré, c’est-à-dire qu’elle s’habille en noir, se maquille les yeux à la façon gothique, porte des bijoux qui la font paraître comme tel, écoute de la musique de gothique, mais elle ne se peint pas le visage en blanc, n’utilise pas de noir à lèvre, et ne donne pas l’impression qu’elle va mourir d’un instant à l’autre quand on la voit. Ses cheveux sont d'ailleurs blonds, et ses yeux noirs, d’un noir d’encre, ainsi son teint plutôt clair, mais elle ne doit cela qu’à la génétique et non à un quelconque artifice chimique.

    Revenons plus précisément sur son regard ; il est profond, vous sonde et certains se sont déjà noyés dedans. S’il donne ainsi cette sensation de perte de repère et d’oubli de soi-même, c’est en raison de toute la détresse que l’on y trouve. Elle déteste montrer cette détresse au monde, aimerait pouvoir le renfermer en elle-même, car elle déteste paraitre faible. A vrai dire elle fait plus jeune que son âge quand on la voit de prime abord, (on lui donnerait bien deux années de moins) et plus âgée dès que l’on commence à converser avec elle. Son air en permanence légèrement perdu lui confère une impression de fragilité déchirante, et n’importe qui la croisant au petit matin dans la rue, recroquevillée contre un mur ou dans l’angle d’une rue, aurait envie de la prendre dans ses bras, de la consoler de la vie et de lui chuchoter à l’oreille que ce n’est pas si grave et qu’un rayon de soleil peut arriver au moment le plus inattendu de votre existence. Ce genre de réaction ne lui a cependant jamais été d’aucun réconfort, du moins c’est ce qu’elle imagine, car elle repousse toujours ceux qui s’y risquent.

    La solitude rayonne de ses traits, mais c’est un rayonnement sombre, parfois presque malsain, comme une aura obscure en noir et argent…

    Caractère : suicidaire et dépressive sur les bords

     
    L’âme de Faith est sombre, dans le sens où la mort la fascine. Depuis quelques années, elle avance dans sa vie comme au bord d’un précipice hérissé, en jetant régulièrement des coups d’œil fascinés au vide béant et noir à côté d’elle, comme aimantée par la perspective de la fin. Garder l’équilibre lui a toujours été impossible, elle est dans les extrêmes comme on dit, passionnée, jamais dans un juste milieu. Toujours elle a tangué, oscillé entre les moments de désespoir extrême où son corps penchait de plus en plus vers la rupture, vers le vide, vers le fond de l’abysse, et ceux où elle était fermement ancrée dans le sol, s’éloignant du précipice, pour y revenir toujours cependant, un peu plus tard…

    Elle aime la nuit, elle aime les étoiles, elle aime voir la lune ressembler à un spectre de derrière des nuages gris s’étirant devant leur reine, la masquant au regard du vulgaire. Elle aime ce qui est fin, ce qui est éphémère, ce qui est subtil et déchirant. Elle aime quand à la fin de la passion violente, l’amante perd la vie, laissant son compagnon seul avec son désespoir. Elle aime regarder les légères gouttes prises dans les toiles d’araignée qui reflètent doucement la lueur faible de la nuit. Elle aime sortir quand il est dangereux de sortir, aime tomber amoureuse, aime regarder à la gare les adieux les plus tristes… Elle est fragile, oui, toujours sur un fil comme un funambule, au milieu d’une nuit sans fond de laquelle elle n’a pas envie de sortir, et dans laquelle personne ne peut la rejoindre.

    Particularités ?

     
    Déjà deux tentatives de suicide à son actif ; rien ne dit qu'elle ne réitère pas.


Comment Lùa est devenue Faith


     
    La Réunion est une terre incroyablement douce. La mère de Faith était originaire de cette île perdue au milieu de l’océan Indien, et a donné à sa fille son nom pendant les premières années de sa vie. C’était une femme instable, pas toujours très mature, et qui ne savait pas très bien s’occuper d’un enfant. En revanche elle était séduisante, et fut séduite un soir par un métropolitain de passage qui lui promit la lune. Le lendemain matin il n’était plus là, Lénaïs se retrouvait enceinte à dix-huit ans, et  ne sut jamais ce qu’était devenu cet homme qui l’avait trahie –car dans sa naïveté elle avait toujours considéré cela comme une trahison. Une petite fille qui tenait physiquement surtout de son père naquit, et à qui Lénaïs donna le nom de Lùa. Elle qui avait toujours été très courtisée dans son village, la venue d’un enfant en découragea plus d’un. Elle dut se débrouiller pour survivre comme elle le pouvait.

    Un jour elle rencontra un jeune homme de qui elle tomba amoureuse ; ces choses-là ne s’expliquent pas, Lénaïs s’installa avec Kenji quand sa fille avait deux ans. Ce dernier se trouva être d’un caractère lunatique pire encore que celui de sa compagne, qui n’était pourtant déjà pas un modèle de raison et de sérieux. Il avait lui aussi déjà un enfant, un petit garçon nommé Titouan, plus jeune encore que Lùa, et qu’on devinait pourtant déjà craintif.

    Kenji était imprévisible. Tantôt il se comportait comme un père attentif, -ce qui cependant n’arrivait que rarement, tantôt il était violent et emporté, allant de temps en temps jusqu’à cogner sur sa femme, voire sur ses enfants. En grandissant, Lùa apprit à ne pas se faire remarquer, et à tenter de ne pas attirer les foudres de Kenji. Il n’y avait que la nuit où elle pouvait sortir sans crainte, et être enfin elle-même. Elle garda de cette époque la sensation de sérénité qui depuis lors l’étreint toujours quand elle contemple la nuit.

    Sa mère resta dix années en ménage avec cet homme, cessa probablement de l’aimer assez tôt, le quitta du jour au lendemain pour une raison qui demeura obscure aux yeux de tous. Pourquoi déclarer qu’elle n’en pouvait plus si brusquement, alors qu’il y avait si longtemps qu’elle vivait avec lui ? Sans doute eût-elle du le quitter avant, disait-on, ne serait-ce que par égard pour sa fille qui souffrait des sautes d’humeur constante de cet homme. Ainsi Lùa se retrouva-t-elle un jour de l’été de ses douze ans dans un avion pour les Etats-Unis avec sa mère, à regarder l’île qu’elle aimait disparaître au fur et à mesure qu’elles s’éloignaient, et avec la sensation d’une déchirure intense. On l’arrachait à son frère, on l’arrachait à la seule figure paternelle qu’elle avait jamais eue, on l’arrachait à son monde enfin, et là où elle allait le ciel ne serait jamais le même.

    En posant le pied sur le sol du nouveau continent, en voyant les yeux de sa mère briller d’excitation devant tant de grandeur, Lùa se sentit la détester.

    Rapidement cependant même Lénaïs déchanta : tout le monde bien entendu connaissait la menace qu’exerçait Kira sur les esprits, mais la Réunion, pays très pacifique et moins atteint par les médias que le reste du monde, en avait moins pris conscience que le reste du monde. Les Etats-Unis en revanche gardaient cette présence divine chaque seconde dans leur esprit.

    Lénaïs eut plusieurs compagnons, voulut tomber enceinte, n’y parvint pas, passait son temps à se plaindre et à épancher à sa fille ce qu’elle avait sur le cœur comme s’il s’était agi d’une adulte. Lùa devint de plus en plus sombre, et un jour, après une énième rupture de sa mère, s’enfuit de chez elle. Elle avait treize ans, c’était l’automne, le vent soufflait sur les buildings et soulevait de la poussière.

    Elle n’emportait rien d’autre qu’un peu d’argent qui lui permettrait de prendre l’avion, du moins l’espérait-elle. La première nuit qu’elle passa dehors, elle pleura durant des heures, de nombreux passants s’arrêtèrent devant cette toute jeune fille qui semblait si frêle, aucun ne fit rien. Elle se recroquevilla dans un coin et resta là jusqu’à ce que le soleil se lève. Quand elle aperçut un rayon de lumière poindre, elle se leva et marcha toute la journée vers l’aéroport le plus proche, avec dans l’esprit uniquement la pensée qu’elle n’avait plus personne au monde. Elle envoya ses pensées affectueuses à Titouan, souhaita à sa mère de cesser ses enfantillages et de trouver enfin la stabilité, pria pour le repos de l’âme de Kenji.

    Puis elle prit l’avion pour le Japon.

    La raison pour laquelle elle choisit cette destination est toute simple et ne dépend d’aucune considération affective : les prix étaient particulièrement bas durant cette période, il restait de la place et c’était une destination suffisamment éloigné de sa mère et de tout ce qui avait pu constituer sa vie à un moment où un autre pour qu’elle s’y sente absolument libre de toute attache et déterminée à effacer tout le passé.

    A partir de ce moment-là, elle s’appela Faith Reed, et elle méprisa Kira, à défaut de le haïr. Cependant elle ne pouvait se permettre de dévoiler au grand jour tout ce qu’elle pensait vraiment de Dieu. Tant de rancœur s’accumula en elle qu’elle n’y faisait même plus attention ; parfois elle se demandait si elle n’était pas née pour souffrir. Elle se reconnaissait dans cet état d’attente languissante de quelque chose sur lequel elle n’aurait su poser des mots, ce dégoût de tout ce qui est humain ou presque, ce déséquilibre fragile dans lequel elle vivait constamment. Elle vivait comme elle le pouvait, soit en dormant dans la rue, soit dans des squats, avec d’autres personnes qui, comme elle, manquaient singulièrement de repères et de points fixes ici-bas. Elle communiquait peu, se livrait peu, demeurait effacée. Elle avait l’air liant, mais demeurait en vérité à bonne distance des personnes qu’elle côtoyait, ne faisant vraiment confiance à personne. Son esprit était bordé de barrières difficilement franchissable, et personne pour l’heure n’y avait jamais eu vraiment accès.
    Pendant quelques années elle se débrouilla ainsi, vivant au jour le jour, enchaînant les petits boulots et les périodes de vide complet. Elle fit sa première tentative de suicide à quinze ans. A dire vrai, ce n’était pas la première fois que l’idée de mettre fin à ses jours l’effleurait, lui papillonnait autour, l’entourait comme une brume légère et insaisissable, pourtant le jour où elle passa vraiment à l’acte, il lui sembla avoir fait cela comme un geste irréfléchi, et détaché de toute conscience. Comme une impulsion soudaine.

    Elle se réveilla au milieu de la nuit, c’était l’hiver, elle avait froid. Elle se leva sans bruit, au milieu de l’appartement du garçon chez qui elle avait passé la nuit, (il ne s’était rien passé, au grand désappointement d’ailleurs du garçon qui avait espéré quelque chose de plus, mais Faith n’était pas fille à se laisser séduire pour un soir, non par un quelconque souci de vertu ou quelque autre ridicule notion, mais plutôt par… manque d’intérêt complet ; peu étaient les personnes qui intéressaient Faith). Il lui sembla que c’était déjà le matin, il était en vérité quatre heures.

    Elle marcha lentement à travers la vaste chambre à coucher, traversa le couloir en caressant du bout des doigts les deux murs. Sous ses pieds le carrelage semblait particulièrement glacé, elle sentait un peu de chaleur du sommeil sortir d’elle par ce contact léger. Sans réfléchir, sans qu’aucune pensée autre que cette considération sur la température de son corps qui baissait peu à peu, elle se dirigea vers la cuisine et la balaya du regard, une fois, immobile, sans savoir ce qu’elle venait faire ici. Elle avait l’excitante sensation de n’être pas à sa place, et cela lui tournait un peu la tête. Elle se sentait comme une intruse.

    Alors elle attrapa un couteau, et d’un mouvement hésitant, s’érafla le poignet du bout de la lame. Puis une seconde fois, un peu plus fermement cette fois-ci. Elle s’était agenouillée, observait avec fascination le sang jaillir de sa blessure et tomber comme au ralenti sur le sol d’un blanc immaculé. Quand elle lâcha le couteau, il tomba au sol en un bruit cristallin, certainement la cause du réveil du jeune homme de la chambre à côté qui jusque-là dormait paisiblement. Quand il eut la présence d’esprit de se lever pour vérifier ce que faisait Faith, il la trouva sans connaissance sur le sol de sa cuisine, du sang tâchant sa chemise de nuit, ses longs cheveux blonds éparpillés autour de sa tête, belle et sur le point de perdre la vie.

    Il la conduit à l’hôpital, elle n’en garda aucune séquelle physique. Le garçon qui l’avait pourtant sauvée disparut de sa vie aussi silencieusement qu’il y était entré, elle ne le revit plus.

    La seconde fois fut aussi celle où elle rentra en contact avec un clan. Le clan de Mello.

    C’était cette fois-là le plein milieu de la journée, l’été de ses seize ans. Elle portait une petite robe légère, et il lui semblait que l’obscurité s’était éloignée pour quelques temps de son esprit, chassée par le soleil et la gaieté diffuse et naturelle qui régnait dans les rues. Elle se promenait donc en toute quiétude, le soleil la faisant presque sourire de satisfaction. Soudain le souvenir. Elle aperçut un petit bonhomme dans la rue, qui ne devait pas avoir plus de quatre ou cinq ans ; brun, bouclé, il lui rappela terriblement Titouan, son frère qu’elle avait perdu il y avait de cela tant d’années. Le paysage, la rue et les passants se brouillèrent autour d’elle, le bruit de fond de la circulation se fit musique obsédante, et seul ce petit garçon paraissait net. Seul lui aimantait son regard, seul lui comptait. Le soleil lui sembla hostile alors, trop différent de celui qui régnait à sa Réunion natale qu’elle avait perdu à ses douze ans, laissant une blessure jamais refermée pour de vrai dans son esprit. Elle s’effondra dans un coin de rue, pleura pendant quelques minutes. Puis elle se relava doucement et, s’approchant de la chaussée, se jeta sous les roues d’un camion.

    Le conducteur freina aussi vite qu’il le pût, mais le véhicule était déjà sur elle. Elle eut de la chance, ce fut surtout son épaule qui prit le choc. Elle s’effondra à terre, un passant se précipita en courant, déjà des sur accidents se profilaient derrière le camion. L’homme appela des secours, elle perdit connaissance une fois allongée dans l’ambulance. Lorsqu’elle se réveilla, elle aperçut un médecin expliquer à un homme dont elle ignorait tout qu’elle s’en remettrait avec seulement un peu de rééducation. Après cet épisode, elle ne prononça plus un mot pendant des mois. Les médecins qui s’occupaient d’elle pronostiquèrent un état de choc intense. Ils se trompaient simplement sur la nature du choc, celui du camion étant insignifiant en comparaison à celui du petit brun croisé dans la rue.

    Lorsqu’elle revit son sauveur, ce fut au printemps suivant, elle avait dix-sept ans ;  elle s’était remise à prononcer quelques mots quelques temps auparavant. Un écran géant sur lequel apparaissait Kira trônait au milieu d’une grande façade, au détour d’une large avenue. Comme tout le monde lorsqu’apparaissait Dieu, elle s’arrêta quelques instants pour écouter son message, ou du moins faire semblant, sans en réalité assimiler le moindre mot de ce qu’il était en train de raconter. Cependant elle scrutait la foule, quand son regard tomba sur cet homme. Elle le reconnut tout de suite, lui aussi visiblement, mais ce qui la frappe le plus fut la façon avec laquelle il semblait recueillir les paroles du dictateur. Faith devina dans son maintien tout entier un mépris complet pour tout ce qu’elle était en train d’entendre, et elle comprit qu’il avait lu la même chose en elle. A la fin de la transmission, il marcha d’un pas décidé vers elle et, comme s’ils se connaissaient depuis toujours, lui proposa de faire quelques pas avec lui, et l’invita à prendre une glace. Quelque peu décontenancée, Faith ne répondit qu’un « oui » hésitant, et légèrement bafouillant. Elle le suivit comme si de rien était, ils semblaient exactement comme deux connaissances se croisant dans la rue et partageant un bout de chemin ensemble. Puis il l’entraina au hasard de ruelles plus détournées et moins fréquentées, et là seulement elle put saisir l’ampleur du réseau de rebelle qui régnait au Japon. L’homme lui dévoila qu’il faisait partie du clan de l’héritier de L, Mello, et l’invita à les rejoindre, comme s’il était évident qu’elle était des leurs, et non une pro-Kira.

    Ce fut ainsi qu’elle se retrouva, quelques heures plus tard, à faire la connaissance de Mello, qu’elle n’imaginait pas aussi… chocovore, qui lui exposa les raisons de leur lutte contre Kira –uniquement des arguments qu’elle connaissait pour s’en être déjà fait la réflexion dans son for intérieur- et lui annonça qu’elle pourrait être une excellente espionne, vu son apparence de fillette fragile. Faith lui signifia d’ailleurs, à cette phrase et avec un sourire mi-figue mi-raisin :

    « Je suis réellement une fillette fragile. » ce qui n’eut pour conséquence chez Mello qu’un vague haussement d’épaules.

    Cependant ce fut très peu de temps après également qu’elle fit la connaissance d’Ishtar, chef des Furies, dans un couloir. Elle ne savait rien de cette femme, qui lui proposa pourtant de rejoindre les siennes.

    C’est ainsi que Faith Reed devint, à dix-sept ans, médiatrice entre deux clans de la résistance, jouant un rôle qui avait certainement manqué à ces deux personnages : la communication. Parfois elle servait également d’informatrice, ou bien de personne à qui l’on peut se confier sans crainte que les secrets soient divulgués, tout le monde savait Faith peu encline à se livrer, et moins encore quand il s’agissait de livrer les autres. Elle avait définitivement renoncé à Lùa Payet.



    De l'autre côté de l'écran ?

    Vous  ?

     
    Moi. Ce mot résume tout.
    Non je plaisante bien sûr, moi je suis une fille qui aime lire, et surtout écrire (l'écriture est ma vie *_*), qui ressemble par certains côtés à mon personnage, (mais je ne suis pas Faith, ne confondons pas fiction et réalité voulez-vous =P), qui adore sa (nombreuse) fratrie, aime bien entendu passer du temps avec ses amis, se prend régulièrement la tête avec ses parents, mais rien que de très raisonnable, aime débattre, le  champagne et les forums rpg. Ah et puis raconter sa vie aussi, vous l'aviez remarqué ?

    Votre âge :
     
     
    15 ans. J'vous interdit de me trouver jeune.

    Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ?  

     
    Par le bouche à oreille ; c'est Hadès qui m'en a parlé, nous sommes tous deux sur un autre forum, d'heroic fantasy celui-ci, basé sur les romans de Pierre Botterro. Je vous conseille d'ailleurs vivement d'aller y jeter un oeil, il est très sympa !
    Sinon j'aime déjà beaucoup ce forum ^^ Le design est très beau, le contexte bien fichu (bien que je m'y perde un peu avec les différents groupes), sauf que...Pas de bannière wht 

    Quelque chose à ajouter ?

     
    Vive l'anarchie !



Dernière édition par Faith Reed le Sam 27 Juil - 17:39, édité 3 fois
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Fate Harlaown
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyDim 21 Juil - 23:31

Bienvenue parmi nouuuus !

Et rassure toi pour la bannière, apparemment c'est propre à pas mal de membres x) Mais je peux pas aider ._.

Bonne chance pour finir ta fiche :3
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyLun 22 Juil - 12:06

Bienvenue !
Voilà, pour le groupe de Mello c'est ça mais si tu as la moindre question, n'hésite pas. ~
Et oui, les bannières c'est un bug dû à chrome, il semblerait.
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Ishtar Nâgina
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyLun 22 Juil - 22:35

Bienvenue!!
Fiche sympathique, j'ai hâte de lire l'histoire :) (ps: tu es sure que tu veux pas rejoindre les Furies d'Ishtar plutôt? On manque de super demoiselles comme toi :p *voit un regard menaçant* ok ok j'ai rien dit ^^")
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyMar 23 Juil - 20:00

Bonjour tout le monde, d'abord merci beaucoup de votre accueil, ça fait plaisir ^^

Ensuite je suis en train d'écrire l'histoire de Faith, et je me posais une petite question : comment est-ce qu'on intègre l'un ou l'autre des clans ? Par exemple si je veux que Faith soit un peu rattachée à Mello et un peu aux Furies, tout en gardant de l'indépendance, quel genre de déroulement il faut que je mette dans l'histoire ?

Ah et puis pour la bannière, je fonctionne pas avec Chrome, donc je sais pas pourquoi ça me fait ça...
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyMar 23 Juil - 20:25

Pour la bannière, si tu veux je peux essayer de te la mettre. Il faudrait que tu me passe le lien :).
Ensuite pour l'histoire de Faith l'on peut dire qu'elle a commencer à prendre contact avec le camps de Mello ou d'Ishtar (au choix comme tu veux) et que tu as prit connaissance avec l'autre antagoniste. Vu tes aspirations a être un électron libre, Mello et Ish aurait put décider de te donner la fonction d'intermédiaire entre les furies et les hommes de Mello. Faut voir avec Mello, je vais lui en parler. Tu peux être une informatrice, une médiatrice, bref comme tu le sens :)
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyMar 23 Juil - 20:37

Cette idée de médiateur me plaît assez, et correspond bien au besoin de Faith que les choses bougent un peu ^^

Donc résumons : vu que Faith débarque à treize ans au Japon et vit plus ou moins dans la rue, je vais voir comment je vais faire ça, je peux dire qu'elle tombe un jour sur une personne appartenant au clan de Mello, qui la rallie étant donné ses opinions quant à Kira, et un jour elle tombe sur Ishtar qui cherche également à l'avoir parmi les siennes, et à partir de là, magouille de médiation !

Si y a un truc qui va pas, dites-moi tout de suite, que j'écrive pas de bêtise ^^ Je vais déjà mettre le début de l'histoire, ça sera peut-être un peu moins embrouillé...
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyMar 23 Juil - 21:12

Alors déjà pour Ishtar, elle l'aimera déjà car comme elle, elle est aussi de la Réunion ;)
Ma foi je ne vois pas grand chose à dire, bonne continuation
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyJeu 25 Juil - 3:12

Voilààà, version définitive de Faith. J'aurai mis le temps... ^^'

Dites-moi s'il y a des choses à modifier, et j'le fais tout de suite ! Bonne lecture.
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyJeu 25 Juil - 7:36

J'oublie à chaque fois, est-ce que tu pourrais mettre ton avatar au format 200*400 par contre ?

Sinon, tout le reste est bon, ça fait drôle de voir un personnage suicidaire. ~
Donc, validée !
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyJeu 25 Juil - 15:42

Merci Day ! Pour l'avatar par contre, j'comprends pas, j'ai essayé de mettre l'image à partir de mon ordi, puis depuis un hébergeur d'image (hostingpics) mais ça marche pas... Je dois avoir un genre de malédiction mrgreen 
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyJeu 25 Juil - 15:46

Alors, quand tu héberges l'image, il faut prendre le lien direct de celle-ci, et tu le colles dans la partie avatar dans la dernière case "Lier l'Avatar à partir d'un autre site", et là normalement, ça devrait être bon si ton avatar a les bonnes dimensions.
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyJeu 25 Juil - 18:25

Done ! Merci pour tes conseils.

Et... ô miracle ! J'ai la bannière ! =D
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Takeshi Saitô

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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] EmptyJeu 25 Juil - 18:27

Bienvenue !
Oui, j'profite de mon passage chez des amis qui me prêtent humblement leur ordinateur pour mettre la bannière d'une manière différente.
C'est mieux comme ça ? :)

*passage éclair*
Chouette de voir de nouvelles têtes, héhé !
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MessageSujet: Re: Faith Reed, death in my mind [terminé]   Faith Reed, death in my mind [terminé] Empty

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