Death Note RPG : une nouvelle ère
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-15%
Le deal à ne pas rater :
(Adhérents Fnac) LEGO® Star Wars™ 75367 Le croiseur d’assaut de ...
552.49 € 649.99 €
Voir le deal

 

 "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptyMer 2 Mai - 20:28


    Fiche de présentation



    Informations Générales

    Véritables noms et prénoms Park Casey
    Faux noms et prénoms (ou/et pseudonyme) : Shakespeare, ou le poète.
    Âge : 25 ans.
    Convictions politiques :Shakes' est un être engagé contre Kira, pour la liberté, pour le droit d'expression, pour arrêter que la population soit lobotomisée, au fond, c'est un grand idéaliste sous ses airs de pitbull.
    Rôle :Rebelle, rallié au camps de Mello, il sert un peu à tout, surtout aux tâches ingrates et salissantes -à tous points de vue-.


    Descriptions
    Physique :

    Grand, voire très grand, c'est la première chose qu'on constate quand ce mec de presque deux mètres entre dans une pièce -pour être précis, il fait un mètre quatre vingt dix sept-. La deuxième chose qu'on se dit, c'est qu'on a de la chance, pour sa taille, il est plutôt fluet. Disons qu'il s'est plus étiré en longueur qu'en largeur. Même si, à la vue de la taille de sa main, on aimerait pas vraiment la prendre au coin de la figure. Bref, c'est une grande carcasse que se traîne le jeune homme. Pas spécialement bien bâti, il a une largeur d'épaule proportionnel à sa taille. Il n'en reste pas moins impressionnant, d'autant plus que ses bras semblent quand même plus musclés que grassouillets, mais, une musculature discrète, faite pour la fuite plus que pour les affrontements. D'ailleurs, en parlant de fuite, il est clair qu'avec des échasses comme les siennes, pour fuir, il est clairement avantagé ! Parce qu'à ce niveau là, ce ne sont plus des jambes, c'est une machine à fuir : longues, taillées pour la fuite, musclées sans lourdeur. Oui, cet homme est un coureur.

    Mais son physique l'empêche par contre de courir facilement les jupons -et pantalons-. Trop impressionnant, trop peu rassurant, il a plutôt tendance à faire fuir la demoiselle qu'à l'attirer. Et puis, il faut dire aussi qu'avec sa gueule, fallait s'y attendre. Il y a d'abord son regard, noir, intense, profond, le genre de regard qui paraît toujours un peu agressif, le genre de regard qui terrorise, et ce ne sont pas ses sourcils broussailleux, toujours un peu froncés qui enlèvent cet air patibulaire. Cela tient peut-être aussi à son nez qu'une fracture de jeunesse a rendu un peu difforme, bossu, déjà qu'il n'était pas forcément gracieux avant d'être cassé, ça n'a rien arrangé, ou alors à sa mâchoire très marquée. Ajoutez à cela un bouc de poil rêche au menton, quelques poils sur les joues qui ont échappés au rasoir, et oui, vous obtiendrez un vrai pitbull de compétition. Seules ses lèvres, un peu trop pulpeuses pour un garçon attendrissent un peu son visage, le rajeunissant légèrement, mais cette impression est légère, fugace, surtout que ses lèvres sont plus souvent figées dans un rictus menaçant ou moqueur que dans un sourire enfantin.

    Mais il y a cependant chez lui quelques excentricités qui peuvent attiser la curiosité de dames et damoiseaux téméraires -jusque là peu nombreux- , tout d'abord, ses cheveux d'un bleu électrique, qui pourraient presque être fluorescents tant ce cyan est intense. Pas très discret pour un criminel me direz vous, c'est bien pour cela qu'il porte toujours bonnet, casquette ou sweat-shirt à capuche pour les dissimuler en cas de besoin. Ensuite, de façon plus naturel, on peut noter une petite tâche de naissance brunâtre sur sa joue droite, ovale presque régulier d'un centimètre de diamètre à peine. Ajoutez à cela bon nombre de piercings aux oreilles, approximativement une demi dizaine sur chaque oreille, un à l'arcade sourcilière gauche, un tatouage dorsal représentant une vanité : un crâne, sur un drapé entouré de roses à la limite de faner, si vous lui demandez, il dira que c'est en référence à Hamlet.

    Après, question vêtement, il fait sobre. En même temps, il a déjà en son sein assez de signes distinctif, alors il veille à porter des vêtements qui les dissimulent. En général, des vêtements sombres, très souvent noirs. L'essentiel est qu'il lui laisse la liberté de mouvements et d'armement. Cela se résume donc en général à un treillis noir, une veste de cuir, et comme dit plus haut, un sweat à capuche en dessus, là uniquement pour dissimuler sa chevelure, ou alors un bonnet des plus simple, uni, gris ou noir.

    Caractère :


    Parole.


    Shakespeare, c'est une voix. Une voix forte. Une voix qui sait se faire entendre. Qui sait aligner les mots les plus simples avec une certaine classe. Des mélanges de langages inattendus. Mais c'est aussi une voix rare. Il ne parle pas pour ne rien dire. Il sait la valeur des mots. Ils ont de l'impact, si on les utilise avec parcimonie. Aussi, il n'aime pas avoir à se répéter. Il aime qu'on retienne ce qu'il dit. Il n'accepte pas qu'on lui demande de répéter, d'écrire. Non. Une parole, c'est tout. C'est la seule chose qu'il délivre. Calme, incisive, raisonnable, drôle, ironique, véridique, fiable, les déclinaisons sont multiples. Mais toujours unique. Les répétitions, ça ne fait qu'abrutir, y'a qu'à voir ces abrutis qui scande un nom sans rien comprendre. Pour lui, chaque phrase a son poids. Chaque mot à du sens. Alors, faites bien attention à ne pas déclencher une bombe par une parole provocatrice.

    Frustration.


    Car, se dégage de lui, cette aura des gens qui se retiennent. Ces gens qui gardent en eux la plus pure des colère. Une colère permanente froide, glaçante. Une haine puissante qui passe parfois furtivement dans son regard. Une haine qu'il pourrait bien déverser sur le premier venu s'il fait céder les infimes barrières qui empêche l’inondation, le retardateur qui empêche l'explosion.

    Agressivité.


    Et quand les barrières lâchent. C'est l'agressivité qui prend la place du calme apparent. Les mots, les poings, tout passe en mode attaque. La réflexion devient sous-jacente. Il perd une partie de son humanité, de cette part de vous qui vous empêche de frapper à mort quelqu'un qui vous a insulté. Mais c'est aussi une part de lui qu'il redoute. Une bête noire, le côté obscur qu'on voudrait oublier. Pourtant, ces phases reviennent de façon cyclique.

    Violence.

    Partenaire de son agressivité, elle est néanmoins indépendante, pouvant être suscitée à n'importe quel moment. Verbale, elle blesse l'ego, le psychisme, physique, elle brise les côtes dans le meilleur des cas. Mais elle laisse rarement indemne. D'autant plus, qu'il n'a aucun scrupule. Du moins, il n'en laisse rien paraître.

    Mémoire.

    Pourtant, il n'oublie rien. Chaque chose qu'il a fait, il s'en souvient. Sa mémoire est très développée, pour combler sans aucun doute les handicaps dont il est atteint. Il est toujours très attentif à ce qu'on lui dit, ce qu'on lui fait subir, ce qu'il peut observer. Car, il est toujours très observateur. Faisant attention aux moindres détails, il sait bien plus de choses que ce qu'il laisse croire. Il engrange les connaissance, et vous serez sans doute surpris d'apprendre, qu'il réfléchit beaucoup sur chaque événement auquel il assiste. Il ne fait pas forcément part de ses réflexions, mais, il ne pense pas moins en silence.

    Distance.

    En effet, il ne se met pas en avant. Disons plutôt qu'il garde ses distances, avec les responsabilités, avec les autres en général. Rares sont ceux qui le connaissent réellement, il laisse des barrières entre lui-même et ses compagnons de lutte. Il semble aussi par son silence relativement présent, et son apparente insensibilité, il soit totalement loin des événements, désintéressé, soit complètement insensible à la souffrance. Mais, ce n'est qu'un masque, un moyen de cacher ses fêlures, de ne laisser aucun moyen de l'atteindre. Une armure pour mieux se battre.

    Révolte.

    La vie de Shakespeare n'est que combat. Il est inconcevable pour lui de laisser le modèle en place s'imposer. Il est perpétuellement révolté face à lui et ses représentants. De différentes façons, directement, car, il est particulièrement réjoui de mener à bien des actions à leur encontre, qu'il s'agisse de sabotage, de meurtres, ou d'un quelconque autre fait. Mais aussi indirectement, par le dialogue, il n'est pas rare que ses quelques paroles soient des brûlots à l'encontre du gouvernement, ou plutôt du pastiche de gouvernement qui est mis en place par Kira, les inégalités qu'il tend à cacher, et les populations qu'il a stigmatisé sans leur offrir de chance. Alors, il brûle d'envie de libertés, de justice, de tolérance, chose actuellement difficile à trouver. On peut lui reprocher d'être dans son investissement trop intense, trop violent, trop brutal. Une puissance brute qui choque parfois. Alors qu'il est un maître dans l'improvisation, lui permettant d'échapper régulièrement aux problèmes, réussissant à tirer profit de chaque élément. Il est le spécialiste de l'arme improvisé, avec lui, un cintre devient une arme terrible...

    Impartialité.

    Mais n'allait pas croire que Shakespeare est un simple actant, obéissant aux ordres de façon soumise. Non, il n'est pas en opposition avec ce phénomène avec le gouvernement pour le reproduire dans la rébellion. Il est clairement un criminel de la pire espèce, mais cela ne l'empêche pas d'avoir son éthique, et de l'appliquer avec impartialité. Il ne tue que si nécessaire. Il ne vole que ce qui est nécessaire ou symboliquement nécessaire. Et surtout, il ne trahira jamais la rébellion. Il souhaite rester intègre à ses idées, quitte à y laisser sa peau. C'est un peu excessif, mais ce n'est pas pour rien qu'il s'appelle Shakespeare.

    Confiance.

    De même, Shakespeare a un comportement totalement excessif dans sa notion de confiance. Elle est très difficile à obtenir. Mais, imaginez que vous l'obtenez de façon totale, alors, c'est sa vie qu'il met de façon la plus complète entre vos mains. Et si dans une situation périlleuse, votre vie est mise en danger, alors, si cela peut vous sortir d'un mauvais pas, il se sacrifiera. Comprenez donc, que sa confiance ne soit remise qu'à un tout petit groupe d'individus. Par contre, contrairement à Roméo -qu'il a tendance à dévaluer d'ailleurs-, il n'est pas le genre de personne qui se perd dans la passion amoureuse -même s'il trouve cela beau sur le papier-. Il est même plus méfiant envers les personnes qui voudrait profiter charnellement de son corps. Il trouve cela suspect, et trop intime, cela montre que trop rapidement nos faiblesses. Aussi, ses rapports amoureux sont bien plus souvent conflictuels que fusionnels. La véritable relation pour lui, c'est la fraternité, le rapport entre compagnons d'arme, la relation qui met en jeu sa propre vie et non pas des émotions de pacotilles.

    Particularités ?

Atteint de dysgraphie et de dyslexie, il ne touche jamais à un stylo, si ce n'est pour dessiner, mais il évite clairement d'écrire. L'écriture est un très gros complexe chez lui. Peu de personnes sont au courant, du fait qu'il compense ce handicap par une mémorisation très poussée. Mais ces particularités peuvent aussi expliquer son agressivité face à certaines taquineries déplacées, notamment sur sa lenteur en matière de lecture.
Autre détail, il fait toujours en sorte d'être armé de façon discrète (cutter, pistolet, sarbacane-c'est silencieux et utile quand on s'en sert bien-).
    Histoire
    « Tu n'es qu'un bon à rien ! Regarde moi petit con ! Je me tue au travail pour t'offrir ce dont tu as besoin, et toi, tu n'es pas foutu d'apprendre tes leçons ! »

    La claque tomba sur sa joue. Puis les autres coups suivirent. L'enfant recula, chuta, se ratatina au sol. Il ne pleura pas. Il ne pleurait plus. Les coups s'arrêtèrent. Il se releva. Il disparut, laissant sa mère avec l'alcool. Il sort de leur studio minable. Ses pieds nus descendent les escaliers froids. Il essuya le sang au coin de sa lèvres. Il s'assoit sur une marche. Enfin les larmes affluent. De rage, de tristesse, d'impuissance.

    Il ne comprend pas. Il a beau essayer, il a beau persévéré. Il n'y arrive pas. A l'école, tout le monde se fiche de lui. On le traite d'attardé. Le soir, sa mère prend le relais. Et pourtant, rien ne change. Rien ne se débloque. Sa main reste inapte. Ses mots illisibles. Et les livres tellement compliqués à déchiffrer.

    Il releva la tête en sursaut. Pourtant, la main qui venait de se poser sur son épaule n'était pas violente, pas dure, juste douce. Il fronça les sourcils. Qu'est-ce qu'il lui voulait lui ? Qu'est-ce qu'il faisait là ? Il s'assit à côté de lui.

    « Tu sais, j'peux t'aider, à l'école. Et puis, au lieu de rester dans l'escalier, je crois que mes parents voudront bien que tu viennes chez moi. »

    Regard méfiant. Les doigts du garçon passèrent sur sa joue gonflée. Puis attrapèrent sa main. L'animal était apprivoisé.

    *

    « Vous savez, avec votre niveau, on ne peut pas vous garder dans cette école. Vous feriez mieux d'aller vers des métiers plus manuels. Vous avez l'âge légal pour travailler. »

    Le garçon sortit du bureau en claquant la porte. Natsu l'attendait de l'autre côté, anxieux. Il avait beaucoup grandi, ses traits s'étaient durcis, devenant plus viril, plus adulte, mais il veillait toujours sur le pauvre gamin du dixième, bâtard. Pourtant en huit ans, les choses avaient bien changé. Casey avait beaucoup changé, son corps s'était mu en une stature grande, imposante, loin des carrures que l'on croise habituellement au Japon, témoignant de ses origines mixtes. Les regards étaient passés envers lui de la pitié à la méfiance, son comportement lui, était passé de la passivité à la violence. Pour un gamin de quinze ans, il savait particulièrement bien aligner les coups. Sa réputation avait fait le tours des quartiers. Il était une des terreurs. Un de ceux qu'il ne faut pas emmerder. Un dont il ne faut pas emmerder les amis. Natsu était sans doute le seul élève frêle et brillant que personne ne vient ennuyer.

    « Et tu vas faire quoi ? Tu peux pas aller bosser maintenant, tu vas trouver que des métiers sous payés ! On va t'exploiter ! »protestait son ami.

    Casey s'arrêta, posant son regard noir dans celui du garçon.

    « Tu veux que je fasse quoi ?! Tu sais très bien que j'arrive pas à écrire ! Tu sais très bien que la seule chose que j'ai, c'est ma mémoire. T'as déjà vu un médecin analphabète toi ?! Alors arrête. Je ne suis pas comme toi. Je ne suis pas aussi brillant que toi. »lâcha-t-il d'un ton froid, sec.

    Les deux garçons se regardèrent silencieux. Puis reprirent leur route. Natsu continua ses études, Casey continua d'écouter sa voix, d'écouter ses idées, ses émulations philosophiques. Il grandissait dans son ombre, ses mains se salissant. Le travail honnête était bien plus difficile à obtenir que l'illégal.

    *

    « Toute mes condoléances. »déclara le médecin alors qu'on recouvrait le corps de sa mère.

    Le jeune homme récupéra les effets maternels. Il ne pleura pas. Il ne ressentit rien. Il ne l'avait pas vu depuis des mois. Elle était morte de l'alcoolisme. Il furent deux à son enterrement. Il était donc définitivement libre à présent. Même si la liberté, il l'avait déjà prise. Même depuis l'émergence de Kira. Jamais il ne rentrerait dans les rangs. Surtout pas sans Natsu.

    Ils avaient pris à deux la décision de bafouer les règles. Mais pas cette fois pour l'argent. Cela commença par de simples grafitis sur les affiches. Puis la distribution de tracts contre Kira. Des méthodes douce, Natsu, ou plutôt Alcibiade était fervent défenseur du pacifisme. Mais, les symboles, les mots, cela ne refait pas le monde. Alors petit à petit Shakespeare ajouta de sa violence à l'intelligence d'Alcibiade, il était la tête, il serait ses mains. Puis leurs actes isolés de la première heure rejoignirent ceux plus grands, plus coordonnés d'une rébellion encore affaiblie par les discordes....


    De l'autre côté de l'écran ?
    Vous ? Cedrick, sir !
    Votre âge :J'ai 4368 ans et toutes mes dents ! Héhé.
    Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ? J'étais perdu, j'ai vu de la lumière, j'suis venu ! Plutôt sympa, par contre, le retour à la ligne un peu étrange dans l'histoire, c'est un bug d'affichage chez moi, ou une volonté, ou une merdouille ? Et aussi, un historique daté, ça pourrait être cool pour tout re-situer, pour avoir des points de repères pour ancrer les personnages dans des événements du background.
    Quelque chose à ajouter ? Non, je ne ferai pas un remake de Roméo et Juliette.
    Et l'avatar est tiré d'un dessin d'Andra Hilde, qui fait des trucs trop chouette, alors en attendant que je dessine une version perso' de Shakespeare, et bha vous aurez cette très belle image ! =D



Dernière édition par Shakespeare le Sam 5 Mai - 8:37, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptyJeu 3 Mai - 18:58

Bienvenue !
=)
Revenir en haut Aller en bas
Ishtar Nâgina
Kali
Ishtar Nâgina


Messages : 261
Age : 33
Localisation : Somewhere..

Feuille de personnage
Âge du personnage: 27

"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptyJeu 3 Mai - 19:05

Un perso qui a l'air prometteur, et du camps de Mello en plus ^^

Bienvenue et bonne continuation :p
Revenir en haut Aller en bas
Takeshi Saitô

Takeshi Saitô


Messages : 907
Age : 32
Localisation : Dans le QG du gouvernement

Feuille de personnage
Âge du personnage: 37 ans

"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptyJeu 3 Mai - 20:14

Je m'occupe de ton code dès que ce **** de mal de tête part, ma puce ! =)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptySam 5 Mai - 8:37

Merci Hadès, t'es un amour !

Et j'en profite aussi pour dire que normalement ma fiche est terminée.

Et merci pour la bienvenue !
Revenir en haut Aller en bas
Takeshi Saitô

Takeshi Saitô


Messages : 907
Age : 32
Localisation : Dans le QG du gouvernement

Feuille de personnage
Âge du personnage: 37 ans

"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptySam 5 Mai - 12:12

Hahaha,
et bien, j'ai hâte de voir quel genre de duel de coq ça peut faire avec Mello ! N'hésite pas à jeter un coup d'oeil dans les missions et bon jeu !
Les gens faisant partie du groupe de Mello sont Mello (à réveiller par mp), Matt (à demi), Ishtar (amante de Mello), Hast et Elie ! ;-)
J'ai hâte de voir ce que ça va donner en jeu ! Bon rp, amuse-toi bien sur le forum ! :))
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptySam 5 Mai - 14:44

Bienvenue (à la bourre, c'est bon je sais), c'est fun ça un nouveau poto chez Mello
Revenir en haut Aller en bas
Yu

Yu


Messages : 397
Age : 29
Localisation : Devant mon ordinateur...

Feuille de personnage
Âge du personnage: 25

"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  EmptySam 5 Mai - 18:53

Very interesting...welcome !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty
MessageSujet: Re: "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||    "N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
"N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie ?" || Shakespeare ||
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Death Note RPG : une nouvelle ère :: Hors RP :: Archives (numériques) :: Anciennes fiches de présentation-
Sauter vers: