Death Note RPG : une nouvelle ère
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Pitié et allégeance à toi, Kira ! La foule s'inclina en silence, respectueusement devant cette idole masquée et inconnue.
 
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 Plus on est de fous, plus on rit. [Noa-Keenan]

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MessageSujet: Plus on est de fous, plus on rit. [Noa-Keenan]   Plus on est de fous, plus on rit.  [Noa-Keenan] EmptyVen 20 Avr - 22:03

Un petit garçon était assis sur le rebord d'un mur. Il regardait les autres enfants courirent dans tout les sens, sautant de flaques en flaques. Les parents avaient intéré à être équipé en produits netoyants.
Ce petit garçon s'appellait Keenan. Un prenom qui ne courait pas les rues sur l'archipel nippone. Ca n'a pas vraiment beaucoup d'importance je vous l'accorde, mais ça prouve bien qu'il vient d'un autre pays.
Le peitit McCormick regardait ses camarades se vautrer dans la boue, certains pleuraient d'autres riaient de leur cascade et repartaient de plus belle. Activité normal pour un mome de primaire à peine assez grand dans sa tête pour comprendre les difficultées de la vie, Kira et autres affaires dites "de grands". Aucunes de ces adorables frimousses ne seraient vous dire ce qui est bien ou mal dans cette société, ni pourquoi Kira est si important. Le mot Dieu est à peine comprehensible pour eux.
Je dis tous, mais il y a une exception qui confirme la regle dans cette cour de primaire japonaise. Keenan McCormick en personne, qui s'exaspere de la stupidité de ses camarades et reflechit à une occupation plus... mature ? Comme se barrer de ce trou vite fait ? Exactement, et il reflechissait optionnellement à ce qu'il pouvait faire une fois dehors. Il y a tellement de chose passionnante à faire en dehors de cette prison, au dela des barreaux qui le separaient de sa prochaine victime. J'avais oublier de vous dire que notre cher petit blondinet était un psycopathe né, aussi doué pour vider ses victimes que pour filer entre les doigts des policiers. Il était comme un poisson dans l'eau le petit Keenan, et les flics étaient comme des chats contraint de reprendre leur souffle pour le chercher. Peut être qu'ils étaient plus imposant, mais jusqu'à maintenant pas l'ombre d'une personne ne l'avait soupçonné d'un crime aussi atroce que d'avoir arracher la vie à un être humain.
Il se leva de son petit muret et s'approcha du portail. Son statut de maigrichon l'avait bien aidé jusque là, lui permettant de se faufiller adroitement un peu partout, comme entre les barreaux de l'ecole.
Probleme reglé, passons à la suite. Il saisit son petit sac et courut aussi vite que lui permettaient ses petites jambes. Il fut rapidement arrivé tout au bout de la rue, planqué dans la foule qui le bousculait dans tout les sens. Une masse de gens qui deambulait avec le même but chaque jour dans cette immense avenue. Keenan était devenu un habitué des foules. Tout ce petit monde qui groullait telle des fourmis sans se soucier de ce mome qui était tout sauf à sa place, dans un asile.
Ce n'était pas la premiere fois qu'il se faisait la malle, et personne n'avait jamais remarqué son absence.
Il finit par arrivé à une embouchure, la rue était bien moins accueillante que le reste de la capitale. Le genre d'endroit malfamé où il serait facile de se faire egorger par derriere... par un mome de 8 ans. Son regard vagabonda un peu partout, il n'y avait personne. Qui voudrait trainer dans les bas-fonds ? A part peut être des suicidaires, pas grand monde. Du moins, pas des personnes trés frequantable. Seul les plus demunis vivaient ici, ainsi qu'une poignée de resistants qui ne demandaient qu'à en decoudre avec la politique. Ce cher Kira, que Keenan reverait de voir decapitait au milieu du quartier des affaires, pour toutes les saloperies que ce type avait osé faire aux gens. Mais il pouvait réver pour croiser un type comme ça dans un endroit aussi glauque.
Le petit garçon continait à deambuler dans les allées, sans but precis. Il s'arreta à un petite ensemble de maison debouchant sur un cul de sac. Il y avait quelqu'un, le petit aurait pu le parier. Parce que cette personne faisait un bruit monstre et qu'elle empestait... le sang.
Le blondinet se colla contre un mur, et sortit un petit couteau de la semelle de sa basket. Il sortit puis rentra plusieurs fois la lame, avant de la mettre dans sa poche. Il se decida à approcher, son sac sur une epaule et sa main dans sa poche pret à degainer la petite arme blanche.
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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit. [Noa-Keenan]   Plus on est de fous, plus on rit.  [Noa-Keenan] EmptyDim 22 Avr - 15:07

    Il faisait sombre dans les bas-fonds, et Noa s'y baladait alors que ses vêtements dégageaient une forte odeur de sang. Seulement elle arriva à un cul de sac. Et mince.

    N'importe quelle personne qui observerait ce tableau se demanderait pourquoi une gamine de seize ans se retrouve dans une situation pareille, dans un quartier pareille, et surtout à une heure pas si tardive que ça. C'est simple. Juste que la fille aux longs cheveux bruns qui avait un sourire très affolant sur le visage, tellement que si vous le voyez, vous partirez en courant, n'est pas une fille normale. C'est plutôt une tueuse à gage qui tente tant bien que mal de se forger un nom dans la capitale nippone. Elle acceptait donc des contrats qu'elle essayait de finir le plus rapidement et proprement possible. Et comme on peut s'en douter, elle venait juste d'en finir un, quand elle avait entendu un patrouille de police qui se rapprochait sûrement pour une ronde dans la ville, et qu'elle avait donc filer dans les bas fonds. De toute façon, c'était l'endroit où elle devait aller pour rendre son contrat. Bon, elle s'était juste plantée de route, c'est pas grand chose. Elle s'assit donc sur une poubelle qui traînait dans le coin et alluma une cigarette. Parce que oui, Noa était accro à la cigarette, même si les marques sur son bras disaient « Pas que. »

    Elle repensa à l'heure qui précédé son arrivée dans cette ruelle sombre. En plus simple, elle repensait à sa dernière victime et à la façon ont elle l'avait tué. Oui, parce que Noa refuse de seulement tuer une personne, surtout quand c'est un partisan de Kira. Dans des cas comme ça, il faut que cette personne souffre, et la supplie d'abréger ces souffrances. Il faut pas croire, mais même à seize ans, la gamine s'était spécialisée dans les tortures en tout genre. Et le pire c'est qu'elle aimait ça. De toute façon, son ancien dossier médical montrait très bien qu'elle avait des tendances pas nettes et qu'on devrait l'interner d'où son gros sourire quand elle repensait à la sensation chaude du sang sur ses mains.

    Elle se leva en s'étirant. Elle devait maintenant aller dans un bar qui se trouvait dans la cave d'une maison en plein milieu des bas fonds. Autant ne pas perdre de temps, elle pourrait enfin boire son premier verre de vodka de la journée. Un bruit sourd retentit. Noa avait simplement fait tomber la couvercle de la poubelle, qui était en fer d'où le tapage. Détail. Elle rigola et allait partir quand elle aperçut un petit garçon qui la regardait. C'était sûrement le bruit qui l'avait conduit jusqu'ici. Enfin, qui lui avait indiqué sa présence. Par contre, le fait qu'il soit dans les bas fonds, ça c'était bizarre. Et son comportement aussi. Le voir se collait au mur et approchait. C'était étrange. Oui ce mot convenait plutôt bien à ce petit être habillé tout en orange.

    Plus Noa y pensait, plus elle se demandait quoi faire. Si ça se trouve il était perdu et quelqu'un allait le tuer. Pas qu'elle en avait quelque chose à faire, non, mais c'est que c'était con pour lui quoi. Il n'allait pas vivre assez vieux pour connaître certain bonheur comme celui des bars. Elle le regarda. En plus, elle sentait le sang et il devait l'avoir remarqué.

    « Tu t'es perdu petit ? T'as besoin d'aides ? »

    Elle avait dit tout cela d'une manière entièrement détaché. Parce que de toute façon, l'avenir de ce garçon n'était pas son problème. Si elle voulait, elle aurait pu le tuer ici maintenant. Ne pas avoir de contrat n'était pas un problème pour elle, mais simplement qu'elle préférait les idiots qui avaient choisis de se cacher derrière un monstre, Kira, donc qui devait payer. Un gosse d'une dizaine d'années, qui ne comprenaient pas forcément ce qui se passait, elle pouvait le laisser vivre. Mais si un de ses psychopathes avec encore moins de conscience qu'elle passait juste après et l'égorgeait, elle rigolerait bien.
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