Véritables noms et prénoms :
Yamazaki Kaori
Faux noms et prénoms (ou/et pseudonyme) :
Yokosashi Haruko
Âge :
28 ans et des brouettes.
Convictions politiques :
(dites ici où vous voudriez placer votre personnage, quelles sont ses convictions)
Définitivement contre Kira. Indépendante pour le moment, elle désire rejoindre la mafia résistante.
Rôle :
Résistante indépendante, sa spécialité c'est l'infiltration. Elle aimerait s'en servir pour tuer mais se contente de chercher à entraver la propagande permanente, en retirant les affiches ou bien en sabotant discrètement les stocks de certaines librairies par exemple.
Descriptions
Physique :
(7 lignes minimum)
Cette petite silhouette d'un mètre soixante-sept, toute en courbes, c'est celle d'Haruko. Porter soixante-cinq kilos de muscles ne semble pas lui poser de problème, et c'est un corps proprement modelé qu'elle déplace, sans grâce particulière mais avec légerté.
De visage, elle possède une face légèrement allongée, terminée par un menton plutôt rond. Comme toute japonaise d'origine, ses yeux sont bridés, mais peut-être un peu moins que la moyenne, et ils sont d'un marron noisette assez commun. Son nez légèrement retroussé, et sa petite bouche assez haute placée aux lèvres pleines mais pas épaisses lui confèrent un petit air enfantin encore accentué par les quelques taches de rousseur qui s'éparpillent sur ses joues, souvenir d'un ancêtre peut-être étranger à l'Orient.
Son teint mate et ses cheveux noirs coupés presque court rehaussent la longueur et la finesse de son cou tout féminin.
De corps, elle est musclée mais il est évident qu'elle ne mange pas à sa faim tous les jours. En fait, que ce soit sur les cuisses ou sur le ventre, elle ne peut même pas pincer un peu de chair superflue. Des épaules assez larges aux deltoïdes ovales et développés soutiennent un buste étroit et une petite poitrine qu'on pourrait qualifier d'adorable. Son ventre lui, n'a rien de mignon, presque assorti à la forme d'une grenade à main tant les abdominaux y sont puissants. Les hanches larges et rondes à la forme pleine ainsi que le fessier ferme sont peut-être la seule partie à réellement marquer la féminité de son corps, en dehors peut-être de la rareté de la pilosité sur ses membres.
Les jambes quand à elles pourraient être celles d'une danseuse, en raison des cuisses solides et des mollets à l'arrondi délicat. Même les chevilles et les pieds sont musclés et forts, bien habitué à la rattraper lors de sauts effectués depuis un mur ou à lui sauver sa douce et précieuse peau lors de courses-poursuite particulièrement exténuantes.
Malgré ce physique qui témoigne de ses rudes exercices, ses mains restent petites et fines, presque enfantines dans leur forme toute ronde.
Ainsi vue de l'extérieur, Haruko peut inspirer l'admiration ou la tendresse, car si son corps est fort séduisant, sa façon de sautiller sur place sans aucune unité entre les membres témoigne d'un vestige d'enfance encore bien présent lorsqu'elle s'impatiente.
Caractère :
(7 lignes minimum)
Si la personnalité d'Haruko était un mot, on commencerait par la qualifier d'amusante. Puis, selon le camp dans lequel on se trouve, la relation qu'on a avec elle, on pourrait changer d'avis. "Déterminée" ou bien "Têtue", c'est le mot qu'utilisent les gens qui cherchent à la contraindre à exécuter une action quelconque ou à la plier à leur volonté. "Douce", "Câline", "Collante", ses amants de passage ont parfois bien du mal à se décider. Ce qui est sûr c'est qu'en la rencontrant, elle et sa voix de poitrine si bien contrôlée, leur attirance ne s'exprimait par aucun mot si ce n'est "Entraînante". Non pas comme une musique mais comme la femme qui séduit si bien qu'on ne peut que désirer entrer dans son jeu.
Ses proches, tels que ses parents la qualifieraient plutôt de "Enfantine", car ses géniteurs ou ses parents de cœur lui inspirent une telle confiance qu'elle perd au moins quarante pour cent de son tempérament d'adulte responsable.
Ses rares amis pourraient dire qu'elle est "Futée", "Expansive", "Positive", mais surtout "Attachante". Après tout, comment résister à ce sourire ambulant qui offre de vous prendre dans ses bras ou de vous attaquer avec des bisous à tout moment ? Et comment soupçonner la violence avec laquelle la jeune femme est qualifiée de "Bagarreuse" dans les bars qu'elle fréquente parfois en quête de bon temps ?
Autant de mots, autant de facettes de sa personnalité qui restent à la fois invisibles et ouvertes au quatre vents. Autant de façons d'être qu'elle éprouve mais qu'elle n'expose pas. Elle ne cache pourtant pas son caractère frivole, se nommant elle-même "Crevette Frétillante" lorsqu'on lui fait remarquer son énergie et son optimisme.
Pourtant lorsqu'on en vient à la rivalité et à la bagarre, tout change. Bien trop au fait de ce qu'elle veut pour être naïve mais beaucoup trop honnête pour manipuler quelqu'un, et peu à l'aise avec les mots quand il ne s'agit plus d'écrire des poèmes, elle est du genre à parle un peu, cogner beaucoup, voir si elle parle mieux après et cogner encore si ce n'est pas le cas.
Bon, bien sûr, elle est forte au combat puisqu'elle possède un corps taillé dans ce but précis, mais il lui arrive de tomber sur plus fort qu'elle et quelques cicatrices éparses, l'une sur sa pommette droite, d'autres dans le dos et sur les jambes lui rappellent les cuisantes dérouillées qu'elle a connues dans sa vie.
Ce côté emporté un peu accentué parfois parce qu'elle aime à se donner un style ne l'empêchent pas de séduire, et c'est terriblement douce qu'elle aborde un jeune homme à son goût, attentive à ses mots comme à ses gestes, analysant au plus juste possible la personnalité du garçon pour être sûre de lui plaire et de lui procurer une expérience agréable si toutefois il lui plaît encore une fois qu'elle le connaît un peu plus.
Toute à ses jeux de séduction et de violence, malgré son addiction à l'ocytocine, cette hormone de la tendresse qu'on aime tous tant, elle ne s'est jamais donné le temps de connaître un vrai amour et tous les petits copains qu'elle a pu avoir depuis ses années de lycée n'ont jamais dépassé trois mois avant la date de péremption, bien souvent parce que les sentiments réciproques se tarissaient, peut-être trop avidement consommés au départ.
Et même si elle n'en a pas conscience, le jour ou son cœur va décider de tomber vraiment amoureux, ça va lui faire une drôle de surprise.
Particularités ?
En dehors de son affection pour les bijoux, qui se compose d'un trio de bracelets, d'une bague et d'un tour de cou en cuir, et des ongles coupés de sorte à être suffisamment pointus pour bien griffer, il n'y a rien à ajouter.
Histoire
( Le temps de votre histoire importe peu. Ce qui importe, c'est que vous respectiez les règles et la syntaxe du français... 15 lignes minimum, mais plus serait grandement apprécié. )
Histoire :
Contrairement à bien des gens, l'histoire d'Haruko est une belle histoire, du moins au début. Née dans une maison de Yokohama et non pas dans une maternité comme on pourrait s'y attendre, c'est dans le lit appartenant à ses parents que le petit bébé qui deviendrait un jour Haruko poussa ses premiers cris. C'est donc sans le traumatisme physique des pinces, du bain donné par une sage-femme ou des chambres aseptisées de la maternité que la nouveau-née ouvrit les yeux pour la première fois, découvrant la fraîcheur de l'extérieur et la chaleur du sein de sa mère.
Allaitée, aimée, entourée, fille unique, c'est une petite fille éveillée et curieuse qui fit son entrée dans la vie du couple qui l'avaient conçue, avide d'apprendre, de découvrir et de grandir. C'est une enfant joyeuse et vivante qui embellit la vie de ce même couple. C'est une adolescente aimante et décomplexée qui apprit auprès d'eux. Et sans la victoire de Kira, elle ne serait pas devenue ce qu'elle est aujourd'hui. Mais avec l'arrivée de Kira au pouvoir, tout a basculé.
_"... Comment j'en suis arrivée là ? Tu veux dire comment j'en suis arrivée à m'incruster chez les gens pour leur piquer les magazines qui remplissent leur petit cerveau ? Ben... en fait, c'est très simple. Ça faisait déjà un moment que je désapprouvais le 'Nouveau Dieu', mais j'avais 19 ans, qu'est ce que je pouvais faire ? C'est dans un bar, à demi saoule et quatre boutons de chemise en moins que j'ai entendu la nouvelle. Une nouvelle qui parlait d'une résistance, d'une facette de la population montée contre Kira quelques années auparavant déjà. Du coup, même raide comme je l'étais à ce moment là, j'ai noté l'information dans un coin de ma tête pour pouvoir creuser le sujet après avoir décuvé.
Et très vite, la rumeur s'est révélée être vraie. J'aurais pu m'engager dans un groupe lambda, des qui me plaisaient bien il y en avait à la pelle, et puis l'envie de renverser Kira, ce n'était pas ce qui me manquait. Mais le groupe qui me faisait vraiment rêver, c'était la mafia résistante.
Comment ça, "ce sont les plus violents" ? Bien sûr que ce sont les plus violents, pourquoi tu crois que je désire les rejoindre à ce point ? Bref, donc, c'est pour ça que je ne me suis encore ralliée à personne et que j'ai préféré agir seule, un peu comme une vierge qui se réserve le bon partenaire mais qui se débrouille en solo en attendant, tu vois ? Sauf que moi, je sais déjà qui je veux, c'est ça la différence."
Pas sûr que la comparaison aurait plu à Mello, mais ça, Haruko ne peut pas le savoir puisqu'elle ne connaît personne de son groupe au moment où elle la prononce. Mais contrairement au souvenir de ce blasphème, son rêve demeure, nourrissant en elle bien plus d'énergie que la joie de vivre et l'ocytocine réunis.
_"Oooh, je n'aurais jamais dû boire ce truc... Qu'est ce qui m'a révoltée contre Kira, tu dis ? La peur. Pas que j'ai peur de lui, enfin si, un peu mais ce n'es pas ce que je veux dire. Ce dont je parle, c'est la peur qu'il inspire aux gens. Parce que bon, le couvre-feu, ça me saoule un peu mais l'alcool, on en a toujours chez soi et ça saoule bien plus efficacement que les horaires de ce psychopathe radicale-totalitaire. Sérieux, même Mao était un nounours à côté de lui. Même si on mange mieux ici qu'à l'époque de Mao, j'avoue.
Mais je digresse. Ce que je voulais dire donc, c'est que ce qui m'a énervée, c'est la pression qu'il met en permanence sur les gens pour s'assurer de leur obéissance. Sans parler de sa vanité. Tu parles d'un cas de narcissisme carabiné !
Et puis quoi, ça craint de se prendre pour Dieu et de décider de la vie ou de la mort de n'importe qui. Ça, c'est le privilège des vrais dieux qui sont là depuis des millénaires, pas d'un type sorti de nulle part et mentalement instable. Et puis sérieusement, c'est quoi cette idée de punir un criminel en le tuant ? Ça met juste fin à sa peine plus vite, c'est idiot ! Les mecs, on les punit de trente ans au trou et là, hop, lui il arrive avec sa magie de Kira Cooperfield et il les sors de leur galère sans que personne puisse les y remettre. Et on pourra dire tout ce qu'on voudra comme quoi ils payeront leur crime dans l'Autre Monde, un crime commis sur Terre devrait être purgé, enfin...comment dire, réparé tu vois, puni sur Terre. Question de logique. Alors même "Au nom de la justice" comme il le dit si bien, on a pas besoin de lésiner quand aux moyens qu'on peut mettre pour le faire redescendre de son petit nuage. Non, franchement, un gars qui joue au dieu comme ça juste parce qu'il peut se permettre de le faire, on devrait lui rappeler que si haut que soit le siège, on est jamais assis que sur son cul."
Ces paroles d'une délicatesse légendaire au parfum de quelques verres d'alcool, Haruko les a prononcés quelques temps après être devenue résistante. Mais il lui a fallu bien du chemin pour arriver là. D'abord, s'assurer que la nouvelle n'était pas qu'une rumeur.
Retrouver des membres de la résistance, n'importe lesquels. Cela lui prit près de trois mois de recherches intensives. Bon, évidemment, ça aurait pu être pire puisqu'elle n'avait aucune expérience en ce qui concernait la "traque" de qui que ce soit.
C'est en fait un peu trop impatiente qu'elle décida de foncer tête baissée, à la recherche du coin le moins fréquentable de la ville. C'était stupide, très stupide. Encore frêle et fragile, pas encore vraiment sortie de l'enfance, elle aurait bien pu tomber sur des personnes malintentionnées et n'ayant rien à voir avec des résistants. Mais la chance était avec elle cette fois et l'accompagna tout le long de sa soirée d'infiltration.
Encore une fois, elle fut terriblement idiote. Voir un homme louche ici, c'était normal. Mais le suivre ? Elle ne pouvait même pas savoir qui il était et si il était contre Kira ou non ! Et elle aurait pu être démasquée si facilement, elle qui ne connaissait que si peu l'art de la discrétion. Pourtant, c'est ce qu'elle fit. Encore une fois, la chance lui donna un petit coup de patte, car si les résistants étaient d'ordinaire prudents, celui-ci était en colère.
Sagement blottie derrière une poubelle, l'adolescente imprudente l'entendit rejoindre ce qui lui sembla être une femme à cause de la voix.
_"Bordel de merde, le chef a tellement gueulé que j'ai encore les oreilles qui bourdonnent ! Pourtant, je l'ai réussie, ma mission ! Il m'avait demandé de dégager les affiches des pro-Kira sur le tableau de la mairie et c'est fait !! Juste parce que celle devant la mairie est restée, il m'a fait un discours de trois kilomètres de long ! "
_"Nils, tais-toi ! On pourrait t'entendre ! Viens, rentres te calmer ici, on sera plus à l'abri."
Quelle vulgarité gratuite. Oui, dans un moment pareil, Haruko nota la sophistication du langage de l'homme. De toute façon, elle tenait non seulement une preuve , mais un réel plan pour résister. Ne cherchant pas à suivre les deux inconnus plus loin, elle se contenta de s'assurer de leur départ avant de quitter sa cachette, le cœur léger. Elle aussi allait pouvoir être utile. Elle ne connaissait pas suffisamment la résistance pour décider de rejoindre un groupe, ne sachant même pas encore qu'il y en avait plusieurs, mais cela n'allait pas l'empêcher de chercher à contrer Kira.
Trop jeune et pas assez forte pour combattre de front, s'activer la nuit en toute discrétion lui conviendrait mieux. Et quel danger indirect pire que la propagande ? C'est ainsi qu'avant même d'être de retour chez elle, inspirée par la mission du dénommé Nils, son choix fut fait.
Mais bien sûr, elle ne pouvait pas se jeter dans la bataille immédiatement. Même la nuit, la police de Kira rôdait, et si violer le couvre-feu était déjà un pas vers une punition exemplaire, massacrer les affiches à l'effigie de Kira risquait de mettre sa vie en danger. Alors, bien déterminée à devenir à la hauteur, Haruko s'inscrit à des cours de krav-maga, une technique d'autodéfense destinée non-seulement à lui apprendre à combattre mais aussi à renforcer son corps.
Bien vite, sa vie se mit à tourner autour de ce but. Combattre Kira.
Devenue pratiquement obsessionnelle, la jeune femme ne s'en tint pas aux cours de combat, bloquant deux heures de ses soirées, la première consacrée à l'assouplissement de son corps, la seconde à développer sa musculature.
C'est au bout de quatre ans que, âgée de vingt-deux ans, la jeune femme attint un niveau physique qu'elle estima suffisant pour commencer à pratiquer les activités clandestines qu'elle désirait depuis déjà si longtemps, bien qu'il lui reste encore des progrès à faire en self-défense.
D'abord de jour, elle se contenta de travailler sa discrétion, repérant les endroits les plus gonflés de la propagande de Kira sans se faire repérer des agents qu'elle pouvait parfois croiser. De toute façon, des gens qui fuyaient ces impitoyables tueurs, on en voyait tous les jours, alors elle ne fut qu'une parmi tant d'autres.
Puis au bout de quelques mois, elle se mit à sortir la nuit et à effectuer ses premières actions solitaires. Au début, elle se borna à mutiler ou décoller les panneaux et affiches à l'effigie du pseudo-dieu du Japon, puis elle se mit à tenter l'infiltration, parvenant après un repérage en bonne et due forme à mettre à mal le stock d'une librairie pro-Kira.
S'enhardissant avec l'expérience, elle se mit à user de ces deux pratiques fréquemment, de sortie presque tout les soirs, en attendant de trouver une cible plus marquante.
Mais malgré son habitude de se vêtir tout en noir, de masquer son visage d'un cache-nez tout aussi sombre et de se déplacer à pas feutrés, il lui arrivait de tomber sur un agent ennemi. La plupart du temps, elle parvenait à passer inaperçue, mais dût recourir à la force une fois, pas assez rapide pour échapper à son adversaire. Peut-être les véritables dieux étaient-ils avec elle lorsqu'ils lui permirent de lui échapper, de justesse et non sans dommages.
Rendue bien plus prudente par cette malencontreuse aventure, elle redoubla de dureté avec elle-même, imposant à son corps une discipline de fer. Elle cessa de manger de la viande, de sorte à ne pas être encombrée par la lourdeur de cet aliment, remplaçant les protéines avec de l’œuf ou du soja.
Mais il ne faut pas croire que la jeune femme avait abandonné toute vélléité d'entrer dans un véritable groupe de résistants. Tout d'abord, avant de prendre le moindre contact qui puisse lui être dangereux, elle retourna dans les quartiers moins corrects de la ville, en vue de se faire fabriquer des faux-papiers. Ainsi, elle disposerait d'une protection supplémentaire en cas de problème et si elle était capturée, les agents ne remonteraient peut-être pas jusqu'à sa famille à qui elle souhaitait éviter des tortures inutiles. C'est donc sans inquiétude qu'elle abandonna le nom de Kaori Yamazaki, son nom originel, pour prendre la couverture de Haruko Yokosashi, simple employée d'un café de jour, baby-sitter le week-end.
Ainsi naquit Haruko, l'électron solitaire à la recherche du parfait atome auquel s'ajouter.
De l'autre côté de l'écran ?
Vous ?
Swaggie, Amandine, Panzani, à vous de choisir !
Votre âge :
(question optionnelle)
15 ans. Dites bonjour à Bébé Cadum.
Comment avez-vous trouvé le forum sur le net, que pensez-vous de lui ?
Je cherchais un forum avec Death Note pour thème et celui-ci a mis fin à mon errance dans les limbes d'Internet. Ce que j'en pense, c'est que en dehors du fait que je ne suis toujours pas remise de la beauté de la bannière, j'ai failli ne pas rester parce que le contexte me semblait trop peu original. Mais après j'ai vu comme c'était travaillé et là, plus question d'aller voir ailleurs.
Quelque chose à ajouter ?
Si ce n'est que "Vive les câlins et les bisous" et "Je vous demande pardon si je me suis trompée d'endroit pour poster ma fiche", non, rien à ajouter.